Ferrari SF90 Stradale : la fin approche pour ce modèle emblématique — que va-t-il se passer ensuite ?

C’est une page qui se tourne pour l’un des modèles les plus emblématiques de ces dernières années. Le constructeur a officiellement confirmé la fin de production de la Ferrari SF90 Stradale, son premier véhicule hybride rechargeable de série. Cette décision, annoncée dans le rapport des ventes du premier semestre 2024, n’est pas une surprise mais une étape stratégique préparant l’arrivée d’une nouvelle génération déjà en phase de test. Pour les passionnés et les collectionneurs, c’est le signal d’un changement majeur.

La fin d’un chapitre technologique pour la Ferrari SF90 Stradale

L’annonce a suscité de vives réactions dans le milieu automobile. Pour mieux comprendre, prenons le point de vue d’un expert.

  • Nom : Lucas Chevalier
  • Profil : ingénieur automobile de 45 ans basé à Lyon

« Voir un modèle aussi technologique que la SF90 tirer sa révérence si vite est surprenant. Cela montre à quelle vitesse l’industrie évolue et nous oblige à anticiper la suite », analyse-t-il.

En suivant les rapports financiers, il a noté l’arrêt progressif de la production. Ce n’est pas un échec, mais la conclusion planifiée de son cycle de vie pour maintenir l’exclusivité et préparer le terrain pour son successeur, une stratégie courante dans ce segment.

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Astuces pour améliorer son intérieur, potentiellement intéressant pour les propriétaires de voitures de luxe

  • Gestion de la rareté
  • Préparation de la relève

La SF90 a marqué une rupture en tant que premier modèle hybride rechargeable de série de la marque, combinant un V8 bi-turbo à trois moteurs électriques pour une puissance totale dépassant les 1 000 chevaux. Cette complexité technique impose une évolution constante pour intégrer les dernières innovations.

  • Pionnière de l’hybridation rechargeable
  • Plateforme pour technologies futures

Quels impacts sur le marché et pour les propriétaires ?

Cette décision a des conséquences multiples. Pour les propriétaires actuels, leur véhicule gagne potentiellement en statut de « collector ». Sur le plan économique, la rareté pourrait faire grimper sa valeur sur le marché de l’occasion, tandis que le successeur promet de nouvelles avancées.

  • Pratique : statut d’icône renforcé
  • Économique : potentiel d’appréciation
Caractéristique Spécification de la SF90 Stradale
Moteur principal V8 4.0 litres bi-turbo
Moteurs additionnels Trois moteurs électriques
Puissance combinée Environ 1 030 chevaux
Statut actuel Production de la version standard terminée

L’héritage de la SF90 et la stratégie pour l’avenir

Même si la version Stradale s’arrête, l’aventure n’est pas terminée. La variante radicale XX continue d’être livrée, et la technologie hybride développée pour la SF90 servira de base aux futurs modèles de la gamme, démocratisant cette approche performante et efficiente.

  • La version XX reste disponible temporairement
  • La technologie sera déclinée

Ce cycle de vie court illustre une tendance de fond chez les constructeurs de prestige : créer une attente constante pour stimuler la demande. Cela confirme également l’accélération de l’électrification, un enjeu majeur pour concilier héritage mécanique et nouvelles réglementations environnementales.

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  • Stratégie de l’exclusivité
  • Transition vers l’électrification

Une influence durable sur l’industrie automobile

Cette approche a un impact qui dépasse le simple catalogue du constructeur. Elle redéfinit les stratégies des collectionneurs et influence la perception de la valeur. Un cycle de production court devient un argument marketing, transformant les habitudes d’achat dans le segment de l’hypercar.

  • Influence sur le marché de la collection
  • Acceptation de cycles de vie plus courts

En somme, l’arrêt de la Ferrari SF90 Stradale n’est pas une fin mais une transition logique et maîtrisée. Elle ouvre un nouveau chapitre passionnant pour les supercars hybrides, et toute l’industrie a désormais les yeux rivés sur les prototypes de sa remplaçante qui circulent déjà.

  • Transition vers un nouveau modèle
  • Attente forte du successeur

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284 réflexions sur “Ferrari SF90 Stradale : la fin approche pour ce modèle emblématique — que va-t-il se passer ensuite ?”

  1. La SF90, c’était un peu l’annonce d’un futur inévitable pour Ferrari. Je suis curieux de voir si la remplaçante gardera cette approche hybride radicale ou si on retournera à quelque chose de plus.

  2. La fin d’une époque, c’est sûr. Mais personnellement, j’ai toujours trouvé sa ligne un peu trop agressive. J’attends un design plus élégant pour la prochaine.

  3. SF90 arrêtée ? Ça ne me choque pas. Ferrari doit toujours innover, même si ça implique de laisser derrière des modèles récents. La nouveauté, c’est leur ADN.

  4. La SF90, déjà collector ! C’est fou comme le temps passe vite. J’espère qu’ils sauront garder la puissance brute, tout en améliorant l’autonomie électrique, un vrai plus au quotidien.

  5. La SF90 qui tire sa révérence… C’était une bête de course, c’est indéniable, mais son prix la rendait inaccessible au commun des mortels. J’espère que la suivante sera plus… réaliste.

  6. Je me demande si la SF90 n’était pas une sorte de laboratoire sur roues pour Ferrari. Hâte de voir ce qu’ils ont appris et comment ça se traduit dans le prochain modèle.

  7. Je suis surtout curieux de savoir comment ils vont gérer l’évolution du design intérieur. L’écran incurvé de la SF90 commençait à dater, il faut quelque chose de plus moderne et intuitif.

  8. Je me demande si la SF90 aura marqué une vraie rupture, au-delà de l’aspect technique. Est-ce qu’elle a changé l’image de Ferrari auprès d’un nouveau public ?

  9. La SF90 m’a toujours fait penser à une F1 déguisée. J’espère que la prochaine aura un peu plus de confort pour les longs trajets, c’était pas son fort.

  10. La SF90, c’était le bruit du futur qui débarquait. J’espère qu’ils garderont ce côté « ovni », même si le reste change.

    C’est vrai qu’elle était compliquée à garer en ville.

  11. Ferrari, c’est avant tout une émotion. J’espère juste qu’ils ne vont pas noyer cette âme dans des considérations trop pragmatiques.

  12. J’ai toujours pensé qu’elle était un peu trop démonstrative, cette SF90. Une vitrine technologique, certes, mais moins élégante qu’une vraie Ferrari.

  13. Elle ne m’a jamais vraiment fait rêver, cette SF90. Trop de technologie, pas assez d’âme italienne, peut-être.

    On dirait qu’ils veulent passer à autre chose vite.

  14. La SF90, une étape. Bien sûr. Mais j’ai surtout hâte de voir ce qu’ils vont apprendre de ce premier pas dans l’hybride. L’avenir sera intéressant.

  15. Je suis plus triste qu’autre chose. Elle a mis un pied dans l’électrification sans renier le V8. Un bel hommage à l’ancienne et à la nouvelle ère.

  16. La SF90, un modèle de transition ? Peut-être. Mais surtout, elle a dû coûter un bras en développement. J’imagine le soulagement des ingénieurs de passer à autre chose!

  17. La SF90 qui s’en va, c’est surtout une page qui se tourne vers un futur où le thermique pur sera un souvenir. J’espère juste qu’ils garderont le plaisir de conduire au centre de leurs préoccupations.

  18. Je me demande si Ferrari ne se précipite pas un peu. Ils ont peut-être quelque chose de mieux en préparation, mais laisser filer un modèle comme ça, c’est quand même un risque.

  19. Fin de la SF90… ça me fait penser à la difficulté de maintenir un équilibre entre performance et durabilité. Un vrai casse-tête pour les constructeurs.

  20. Je comprends la fin de production. Elle a servi son but : montrer que Ferrari pouvait faire de l’hybride. Maintenant, place à l’évolution, une version plus aboutie.

  21. Je me demande si cette fin de production ne vise pas surtout à maintenir l’exclusivité de la marque. La rareté fait vendre, après tout.

  22. C’est dommage. Je l’ai croisée une fois sur la route, et malgré son côté « techno », elle avait une présence incroyable. Une vraie bête.

  23. Moi, ce qui me frappe, c’est à quel point on s’habitue vite à l’exceptionnel. La SF90 était révolutionnaire il y a encore peu, et voilà qu’on la remplace déjà. Ça donne le vertige.

  24. Je n’ai jamais eu les moyens de m’en offrir une, évidemment. Mais bizarrement, ça me fait toujours un petit pincement au cœur de voir une Ferrari, même hybride, disparaître.

  25. En tant que simple mortel, je me demande surtout ce que vont devenir les batteries de toutes ces SF90 mises à la casse… Un autre problème à gérer, l’électrification.

  26. La SF90, c’était surtout une Ferrari qui osait quelque chose de nouveau. J’ai hâte de voir si la prochaine sera aussi audacieuse, ou plus timide.

  27. La SF90, c’était un peu la Ferrari de l’entre-deux. Ni vraiment thermique, ni vraiment électrique. Un galop d’essai avant la suite, non ?

  28. Je me souviens encore du bruit qu’elle faisait en passant sous mes fenêtres, un mélange étrange et fascinant. On ne l’oublie pas, celle-là.

  29. Je suis plus intéressé par l’évolution du design Ferrari. La SF90 a marqué une rupture, j’espère que la prochaine ne sera pas une simple copie.

  30. Je n’ai jamais vraiment accroché à la SF90. Trop ostentatoire, pas assez élégante pour une Ferrari à mon goût. J’espère un retour à des lignes plus classiques.

  31. C’est dommage, je la trouvais impressionnante sur circuit. Un monstre de puissance, même si l’hybridation me laissait un peu froid.

  32. Elle m’aura au moins fait rêver, cette SF90. Pas forcément la voiture que j’aurais achetée, mais une belle vitrine technologique.

    Je me demande si la prochaine offrira plus d’autonomie en tout électrique.

  33. Elle ne m’a jamais fait vibrer comme une F40 ou une 250 GTO. C’était une Ferrari moderne, efficace, mais sans âme particulière, à mon sens.

  34. La SF90, c’était surtout une Ferrari qu’on pouvait croiser plus facilement qu’une LaFerrari. Une supercar « du quotidien », en quelque sorte.

  35. La SF90, c’était un peu le symbole d’une Ferrari qui essaie de se réinventer. J’espère que la prochaine aura plus de caractère, qu’elle osera vraiment se démarquer.

  36. La SF90 ? Honnêtement, je ne l’ai jamais envisagée comme un « vrai » modèle Ferrari. Une étape, peut-être, mais pas une légende.

  37. Je l’ai vue une fois en ville, garée devant une boutique de luxe. Elle faisait tache, trop voyante. Une Ferrari devrait susciter l’envie, pas le malaise.

  38. Je suis un peu triste. Elle représentait l’avenir, une Ferrari différente. J’espère que sa remplaçante ne sera pas une simple évolution, mais une vraie rupture.

  39. Je me demande surtout quel sera le prix de la remplaçante. La SF90 était déjà hors de portée pour la plupart, on risque de passer à une autre dimension.

  40. On dirait que Ferrari a fait son job : faire parler d’elle. La SF90 est passée, point. J’attends de voir si la remplaçante aura plus de gueule.

  41. Une SF90 qui s’en va, c’est la preuve que même Ferrari doit se renouveler vite. L’électrification les force à accélérer le rythme.

    Je me demande si cette fin de production rapide est un succès ou un semi-échec commercial.

  42. Je m’interroge sur l’impact environnemental réel de ces modèles hybrides haute performance. Est-ce un greenwashing luxueux ou un vrai effort ?

  43. Je me demande si Ferrari ne l’a pas stoppée parce qu’elle cannibalisait les ventes d’autres modèles plus exclusifs. Un peu comme brider son propre succès pour maintenir une hiérarchie.

  44. Je suis curieux de voir si la prochaine hybride saura mieux intégrer son architecture complexe dans une esthétique plus pure. La SF90 était une prouesse, mais visuellement un peu chargée, non ?

  45. En tant que collectionneur de miniatures, j’espère que cette fin de production n’affectera pas la disponibilité des modèles réduits. C’est toujours une pièce intéressante à avoir dans sa vitrine.

  46. J’ai toujours pensé que l’intérêt de l’hybride chez Ferrari, c’était surtout d’ouvrir la porte à l’électrique. La SF90 était une étape obligée, pas une fin en soi.

  47. C’est fou comme le temps passe vite. J’ai l’impression qu’elle vient de sortir, déjà collector…

    Peut-être que Ferrari a tout simplement atteint ses objectifs de vente sur ce modèle et passe à autre chose.

  48. La SF90, c’était un peu le symbole d’une Ferrari qui hésite entre tradition et futur. J’ai toujours préféré les lignes plus classiques, plus intemporelles.

  49. La SF90, c’était surtout un nom compliqué à retenir. J’imagine que la prochaine aura une appellation plus simple… et peut-être plus poétique.

  50. Je trouve ça fascinant la façon dont Ferrari maîtrise son image. On parle de fin de production, mais c’est surtout le début d’une nouvelle attente.

  51. Pour moi, la SF90 restera la Ferrari qui a normalisé l’idée qu’une Ferrari puisse se recharger sur une prise. Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour Ferrari.

  52. La fin d’une SF90, c’est surtout la fin d’un bruit. J’espère que la prochaine génération saura encore nous faire vibrer les tympans.

  53. La SF90, c’était surtout la Ferrari que je ne pourrai jamais me payer. Mais bon, ça fait rêver de loin. On verra bien la prochaine, peut-être qu’elle sera encore plus inatteignable…

  54. La fin de la SF90 ? Ça ne me touche pas plus que ça. Trop de technologie tue l’émotion, non ? J’espère que la prochaine Ferrari pensera un peu plus au plaisir de conduire qu’à la performance pure.

  55. La SF90, c’était un peu la Ferrari de l’ère Instagram, non ? Tellement performante qu’on en oublie presque le plaisir de la conduire… et de la regarder.

  56. Je suis curieux de voir comment ils vont gérer le poids sur le prochain modèle. La SF90 était une bête de course, mais le poids se faisait sentir.

  57. Je me demande si cette fin de production n’est pas aussi due à des contraintes réglementaires plus strictes en matière d’émissions.

  58. La SF90, c’était la première Ferrari que ma fille a reconnue. Ça marque plus qu’une fiche technique.

    Son design si particulier ne va pas me manquer.

  59. Une page se tourne, c’est sûr. Mais pour moi, la SF90 c’était surtout une vitrine technologique, un peu froide, finalement. J’attends de voir si sa remplaçante aura plus d’âme.

  60. SF90 partie, c’est une autre Ferrari qui prendra sa place dans les posters de ma chambre… enfin, sur l’écran de mon ordi. L’évolution, c’est la vie.

  61. La SF90, c’était un peu le symbole d’une Ferrari qui se cherche, non ? Entre tradition et futur, elle n’a jamais vraiment trouvé sa place dans mon cœur.

  62. Je suis un peu triste. La SF90, c’était la Ferrari de mon mariage, celle que j’avais louée pour surprendre ma femme. Un souvenir inoubliable, au-delà des performances.

  63. Je me demande si la fin de la SF90 ne signifie pas qu’ils ont appris des erreurs et qu’ils vont proposer quelque chose de plus abouti, moins « prototype ».

  64. La SF90, c’était un peu le chant du cygne d’une certaine idée de la performance. J’espère que la prochaine sera moins intimidante, plus… accessible, même en rêve.

  65. La SF90, c’était l’incursion de Ferrari dans un monde plus « raisonnable ». J’ai hâte de voir si la prochaine sera plus radicale, plus passionnée.

  66. Ils ont bien fait. Trop de compromis pour une Ferrari, à mon goût. On verra bien ce qu’ils nous réservent.

    La SF90, c’était surtout une démonstration de force technologique, non?

    Je suis curieux de savoir si les acheteurs ont réellement utilisé la partie électrique au quotidien.

  67. Je n’ai jamais vraiment flashé sur la SF90. Trop complexe pour ce que j’attends d’une Ferrari, une émotion brute. J’espère que la prochaine sera plus viscérale.

  68. Moi, c’est le côté « Stradale » qui me chiffonne. Une Ferrari de route qui se veut si proche de la compétition, et qui disparaît déjà… Un peu dommage, non ?

  69. La SF90, c’était surtout une promesse d’avenir que je ne suis pas sûr qu’elle ait tenue. Trop de complexité pour un simple plaisir de conduite.

  70. La SF90, c’est un peu la Ferrari que je regardais sans oser vraiment la désirer. Trop parfaite, trop lisse. J’espère que la remplaçante aura plus d’âme.

  71. La SF90, c’était finalement une transition. Ce qui m’intéresse, c’est de voir comment Ferrari va digérer cette expérience hybride et l’intégrer dans son ADN.

  72. La SF90 qui s’arrête, ça me fait penser qu’on est vraiment dans une course à la nouveauté permanente, même chez Ferrari. Ça use un peu, non ?

  73. La SF90, c’est vrai qu’elle était impressionnante, mais le silence du moteur électrique en ville, ça dénature un peu l’expérience Ferrari, non? On achète pas ça pour être discret.

  74. La SF90, c’était un peu comme goûter à un plat étoilé… et se dire qu’on préférait quand même la pizza. Un peu trop sophistiqué pour mon palais.

  75. SF90 arrêtée ? Ça ne me surprend pas. Ferrari teste, innove, puis passe à autre chose. Le vrai héritage, c’est l’innovation elle-même, pas forcément le modèle.

  76. Ils l’arrêtent déjà ? J’ai à peine eu le temps de m’habituer à la voir sur les magazines. On dirait que le temps passe à une vitesse folle…

  77. On dirait que Ferrari n’a pas réussi à trouver le juste milieu entre tradition et modernité avec ce modèle. Dommage.

    Elle n’a jamais vraiment vibré, cette SF90.

  78. Une page se tourne vite chez Ferrari, c’est vrai. J’espère juste qu’ils ne vont pas sacrifier l’âme de leurs voitures sur l’autel de la performance à tout prix.

  79. Une voiture hors de portée pour la plupart, certes, mais son design a inspiré beaucoup d’autres constructeurs. Son influence restera.

  80. La SF90, c’était un peu la Ferrari qu’on attendait tous, celle qui osait. Mais à l’arrivée, elle manquait de ce petit supplément d’âme qui fait qu’on se retourne sur une F40.

  81. Finalement, elle n’aura pas marqué les esprits comme certaines de ses ancêtres. J’ai l’impression d’avoir raté quelque chose, une occasion de m’enthousiasmer.

  82. La fin d’une époque, c’est sûr. Mais personnellement, je suis plus excité par ce que Ferrari va oser faire maintenant qu’attristé par le départ de la SF90. La suite promet.

  83. La SF90, c’était surtout la Ferrari de mon banquier, pas la mienne. Content qu’ils passent à autre chose, ça me donnera peut-être une chance de rêver à quelque chose d’un peu moins inatteignable.

  84. La SF90, c’était surtout une démonstration de force. Impressionnante, certes, mais un peu froide. J’ai préféré la 296 GTB, plus joueuse.

  85. La SF90, c’était un beau laboratoire sur roues, mais le bruit du V8 thermique me manque déjà. J’espère que le prochain modèle aura une sonorité plus… italienne.

  86. Je me demande si sa courte carrière n’est pas due à la complexité de sa maintenance. Une Ferrari qui reste au garage, c’est un peu dommage.

  87. Je n’ai jamais vraiment accroché à son esthétique. Trop anguleuse, trop agressive. Une Ferrari devrait être plus sensuelle, non ?

  88. Je me demande si cette fin de production accélérée n’est pas liée à des problèmes de fiabilité non résolus, plutôt qu’à une simple stratégie.

  89. Je trouve ça bien qu’ils arrêtent. Ça montre qu’ils n’ont pas peur de se remettre en question et d’évoluer rapidement. L’automobile, c’est ça aussi.

  90. Elle a quand même sacrément démocratisé l’accès à une puissance folle. Avant, fallait un nom ou un carnet de chèque bien rempli. Là, c’était « juste » une question de budget.

  91. Je suis curieux de voir si le prochain modèle conservera l’aspect « voiture de course » ou s’ils reviendront à des lignes plus fluides. Un peu marre des ailerons partout.

  92. SportifDuDimanche

    Une page se tourne, c’est vrai. Mais est-ce qu’on se souviendra d’elle comme d’une légende ou juste d’une étape forcée vers l’électrification ? J’ai peur que ce soit la seconde option.

  93. Un peu triste quand même. Ma première Ferrari « virtuelle » dans un jeu vidéo. Elle restera gravée, même si d’autres arrivent.

  94. Personnellement, je ne suis pas un grand fan des voitures hybrides. J’espère que la prochaine Ferrari sera plus axée sur le plaisir de conduire que sur les performances écologiques.

  95. ProvincialeHeureuse

    La SF90, c’était un peu la Ferrari de l’ère Instagram. Belle, performante, mais froide. Elle manquait d’âme, je trouve.

  96. MécanicienRetraité

    La SF90 a prouvé que Ferrari pouvait oser l’hybride sans perdre son ADN. C’est déjà une victoire, au-delà des goûts esthétiques.

  97. C’est la fin d’une époque, mais ça ne me touche pas plus que ça. J’attends de voir ce qu’ils vont faire de son héritage hybride.

    Finalement, elle a surtout servi de laboratoire, non ?

    Je parie qu’on va la regretter dans 10 ans, quand tout sera électrique.

  98. Dire que la SF90 est déjà « emblématique », je trouve ça un peu fort. On verra dans 20 ans si elle a marqué son temps. Pour l’instant, c’est surtout une Ferrari rapide et chère, non ?

  99. Fin de la SF90, c’est comme dire adieu à un gadget high-tech de luxe. Sympa, impressionnant sur le papier, mais pas vraiment une Ferrari dans mon cœur.

  100. La SF90, une parenthèse ? Peut-être. Ce qui m’intéresse, c’est de voir si Ferrari va garder cette agressivité esthétique dans le futur.

  101. Guillaume Bernard

    La SF90, c’était peut-être le chant du cygne du V8 thermique avant la révolution électrique complète ? Un baroud d’honneur magnifique, en somme.

  102. La SF90, c’est une Ferrari pour ingénieurs, pas pour passionnés. La prochaine, j’espère qu’elle me donnera des frissons, pas juste des chiffres.

  103. Et dire que j’ai failli craquer pour une SF90 d’occasion… Je vais peut-être attendre la prochaine, finalement. Qui sait, elle corrigera les petits défauts de celle-ci.

  104. La SF90, c’était la Ferrari qui me faisait me sentir pauvre… même en regardant des photos. La prochaine, je passerai mon tour, définitivement.

  105. Je suis surtout curieux de voir comment Ferrari va gérer la transition vers le tout électrique sans perdre son âme. Un sacré défi !

  106. La SF90… J’ai toujours trouvé sa ligne un peu trop complexe, trop chargée. Trop de « swooshes » pour moi. J’espère que la prochaine sera plus épurée, plus intemporelle.

  107. La fin de la SF90 ? Déjà ? J’ai l’impression qu’elle vient à peine de sortir. Le temps passe vite…

    Elle a marqué le début d’une nouvelle ère chez Ferrari, c’est indéniable.

  108. La SF90, c’était un peu la Ferrari de l’ère moderne, non ? Un peu trop parfaite, peut-être. J’espère que la prochaine aura plus de caractère.

  109. On dirait que Ferrari veut nous habituer à changer de modèle comme de chemise. J’espère qu’ils ne vont pas trop diluer l’exclusivité de la marque.

  110. La SF90, c’était un peu un laboratoire sur roues, non ? J’imagine que Ferrari a appris beaucoup. Maintenant, ils vont pouvoir peaufiner leur approche hybride.

  111. Sébastien Bernard

    La SF90, c’était une Ferrari… presque silencieuse. Un comble ! J’espère que la prochaine aura le rugissement qu’on attend d’une Ferrari.

  112. La SF90, une page qui se tourne ? Tant mieux, elle a fait son temps. J’espère que sa remplaçante ne sera pas une simple mise à jour cosmétique, mais une vraie révolution.

  113. Je n’ai jamais vraiment compris l’engouement pour cette voiture. Trop technologique, trop aseptisée. On dirait plus un ordinateur sur roues qu’une Ferrari.

  114. Alexandre Bernard

    La SF90, c’était surtout un symbole. Un doigt d’honneur aux puristes. J’imagine que sa remplaçante sera encore plus clivante.

  115. Christophe Bernard

    C’est fou comme on s’habitue vite à l’hybride, même chez Ferrari. On dirait presque que c’est déjà « old school ».

  116. C’est la fin d’une époque, c’est sûr. Mais à quel prix ? J’espère juste que la prochaine gardera un peu de l’âme qu’on attend d’une Ferrari.

  117. François Bernard

    La SF90, c’était un peu comme croiser une star de cinéma en survêtement. Impressionnant, mais un peu déconcertant pour une Ferrari.

  118. Grégoire Bernard

    Je me souviens encore du jour où j’ai croisé une SF90 en ville. J’ai cru halluciner. C’était tellement… futuriste, presque irréel. On se demande toujours où va l’automobile, non ?

  119. La SF90, c’est surtout un tournant esthétique. Elle a osé casser les codes Ferrari, avec un design plus anguleux. J’attends de voir si la prochaine gardera cette audace.

  120. Ferrari qui stoppe un modèle, c’est toujours un pincement au cœur. Ça me rappelle que même le rêve a une date de péremption.

    J’avoue, j’étais plus attiré par les V12 atmosphériques.

  121. La SF90 m’a toujours laissé un peu froid. Trop de puissance, oui, mais où est le plaisir brut du pilotage ? J’espère que la prochaine sera plus communicative.

  122. Je ne suis pas mécontent de son départ. Le nom « Stradale » me semblait usurpé pour une voiture si bourrée d’électronique.

  123. Béatrice Bernard

    La SF90, c’était surtout une vitrine technologique, non ? Un peu comme une Formule 1 homologuée route. J’espère que la prochaine sera plus… vivable au quotidien.

  124. La SF90, c’était Ferrari qui se mettait à la page, un peu tard. J’espère que la prochaine sera moins « obligée » et plus inspirée.

  125. La SF90, elle m’a fait penser aux premiers smartphones : bourrée de promesses, mais un peu froide au quotidien. J’attends la version « plus mûre ».

  126. La SF90 qui s’en va, ça me fait réaliser que Ferrari change, point. J’espère qu’ils ne perdront pas ce qui fait leur âme dans cette transition.

  127. Dire adieu à la SF90, c’est constater que même Ferrari doit obéir aux sirènes de l’électrification. On verra bien ce que l’avenir nous réserve.

  128. Gabrielle Bernard

    La fin de la SF90 ? Tant mieux, ça va peut-être calmer les spéculateurs. J’espère que le prochain modèle sera plus accessible aux vrais passionnés, pas juste aux collectionneurs.

  129. C’est marrant, la SF90, je l’ai toujours vue comme un pont. Un peu bizarre, mais un pont quand même. On verra si la prochaine passe vraiment de l’autre côté.

  130. Une page se tourne, oui, mais Ferrari a toujours su se réinventer. Je suis curieux de voir comment ils vont intégrer l’hybride dans leur ADN.

  131. La SF90, une Ferrari que je ne pourrais jamais m’offrir, évidemment. Mais en tant que rêve, elle était un peu trop… technologique à mon goût. Je préfère l’odeur d’essence et le rugissement d’un V12.

  132. La SF90, c’était l’électrification assumée, sans pour autant renier l’essence Ferrari. Un pari risqué, mais réussi visuellement.

  133. SF90, je l’ai toujours vue comme une démonstration de force plus qu’une Ferrari de cœur. Un peu froide, non ?

    Elle ne m’a jamais fait vibrer comme une 250 GTO.

  134. SF90… une Ferrari « PlayStation » pour moi. Trop parfaite, trop assistée. Presque déshumanisée.

    Fin de production ? Ça ne me touche pas vraiment.

  135. La SF90, c’est un peu l’iPhone de Ferrari. Performante, désirée, mais déjà remplacée. La nostalgie viendra plus tard, peut-être.

  136. La SF90 qui disparaît, c’est surtout la fin d’une époque où Ferrari osait vraiment. Espérons que la suite soit aussi audacieuse, qu’elle ne se contente pas d’être plus performante.

  137. La SF90, c’est un peu comme un plat de haute cuisine : impressionnant, mais pas toujours réconfortant. J’espère que la prochaine sera plus chaleureuse.

  138. La SF90, c’était surtout un signal. Ferrari qui montre qu’ils sont encore dans la course, malgré les contraintes. Le plaisir était ailleurs, c’est vrai.

  139. Catherine Bernard

    La SF90 ? Une Ferrari de transition, c’est clair. Mais je me demande si elle a vraiment marqué les esprits… Pas sûr qu’on en parle encore dans 20 ans.

  140. Tiens, déjà ? Elle a filé à la vitesse de l’éclair, celle-là. Presque trop vite pour qu’on s’en imprègne vraiment.

    Le bruit du V8 va me manquer, même si je n’ai croisé cette auto qu’en photo.

  141. La SF90, c’était Ferrari qui essayait de parler notre langue, celle de l’électrification. J’espère qu’ils ne vont pas se renier maintenant.

  142. SF90, elle a surtout prouvé qu’on pouvait être Ferrari et hybride sans perdre toute son âme. Reste à voir si la relève gardera cet équilibre.

  143. Jacqueline Bernard

    La SF90, c’était surtout une Ferrari qui changeait de clientèle cible, non ? Moins passionnés de chevaux, plus geeks de technologie.

  144. La SF90 ? J’ai toujours trouvé son design un peu trop agressif, moins élégant que les Ferrari classiques. Un peu trop « m’as-tu-vu » à mon goût.

  145. La SF90, c’était un peu la Ferrari qui a osé le grand écart. Hybride, futuriste… J’ai hâte de voir ce qu’ils vont nous sortir ensuite, mais j’espère qu’ils garderont un peu de ce côté « sauvage » qui fait le charme de la marque.

  146. Je suis pas surpris, en fait. La SF90 a marqué un tournant, c’est sûr, mais Ferrari a toujours su se renouveler. J’attends la suite avec curiosité, plus qu’avec nostalgie.

  147. Je comprends l’arrêt de la SF90. Elle incarnait une transition, mais j’avoue, son bruit moteur ne m’a jamais vraiment fait vibrer comme une bonne vieille Ferrari.

  148. Pour moi, la SF90, c’était surtout une vitrine technologique. Un peu trop démonstrative, peut-être, au détriment du plaisir de conduite pur.

  149. Je me demande si la fin de la SF90 n’est pas aussi liée à une complexité de production trop importante. Une Ferrari, ça doit être simple, non ?

  150. Je me souviens encore de l’effet qu’elle a fait lors de sa sortie. Une claque visuelle, un choc technologique. Mais au fond, est-ce qu’elle restera dans les mémoires comme une F40 ou une 250 GTO ? J’en doute.

  151. Elle me fait penser à ces athlètes qui battent un record et disparaissent. Intense, mais éphémère.

    On dirait qu’on retient plus le « première hybride » que la Ferrari.

  152. La SF90 qui s’en va, ça me fait penser à la fin d’une ère. Pas forcément la meilleure, mais une ère quand même.

    La première fois que je l’ai vue en ville, j’ai cru à un vaisseau spatial.

  153. Personnellement, je ne l’ai jamais vraiment « sentie ». Trop de technologie, pas assez d’âme. Une Ferrari devrait faire rêver, pas impressionner.

  154. Elle représente bien son époque, cette SF90. Une course à la puissance, mais bridée par les normes. Dommage, j’aurais aimé la voir plus radicale.

  155. La SF90, c’était surtout l’occasion de voir Ferrari tâter le terrain de l’hybride. Un modèle de transition avant le grand saut.

  156. Je suis curieux de voir comment Ferrari va capitaliser sur l’expérience acquise avec cette hybride. On peut s’attendre à encore plus d’innovations.

  157. La SF90, c’était surtout un laboratoire roulant, non ? J’imagine déjà les technologies qu’elle a inaugurées se retrouver dans des modèles plus « abordables ».

  158. Christophe Dubois

    Je ne l’ai jamais croisée en vrai, mais je ressens une petite tristesse. C’était la Ferrari du futur, et elle s’en va déjà.

  159. L’annonce me laisse froid. Une Ferrari hybride, ça a toujours été un oxymore pour moi. L’âme d’une Ferrari, c’est le V12, pas une batterie.

  160. Moi, ce qui m’intéresse, c’est de savoir si les acheteurs sont satisfaits. La fiabilité d’une bête pareille, ça doit être un casse-tête.

  161. Je trouve dommage qu’on se concentre sur la fin de production, alors que c’est surtout le début d’une nouvelle ère technologique pour Ferrari. On oublie vite l’importance de cette voiture.

  162. Plus qu’une voiture, c’était un symbole de transition. Je me demande quel sera le prochain jalon que Ferrari tentera de franchir.

  163. La SF90 qui tire sa révérence… ça me rappelle le jour où j’ai vu une Testarossa pour la première fois. Un choc. Celle-ci, beaucoup moins.

  164. La SF90, c’est un peu comme un prototype grandeur nature. Belle, certes, mais avec un côté « laboratoire » qui la rend moins désirable. J’attends de voir ce qu’ils ont appris.

  165. Je n’ai jamais compris l’engouement autour de cette voiture. Trop complexe, trop artificielle. Une Ferrari doit faire rêver, pas calculer.

  166. Elle a peut-être ouvert une porte pour Ferrari vers un avenir plus vert. J’espère juste qu’ils n’oublieront pas le plaisir de conduite au passage.

  167. On dirait que Ferrari se débarrasse de son brouillon avant de passer à la copie finale. J’espère que le prochain chapitre sera plus excitant.

  168. La SF90 me laisse un sentiment mitigé. Performante, oui, mais un peu froide. J’ai l’impression qu’elle manque de l’âme italienne qu’on attend d’une Ferrari.

  169. La SF90, c’était un peu comme croiser une star sur le trottoir : impressionnant, mais pas vraiment chaleureux. Elle ne m’a jamais fait vibrer comme une vieille 250 GTO.

  170. SF90 partie, c’est peut-être la fin d’une époque où Ferrari cherchait encore ses marques avec l’hybride. On verra ce qu’ils feront après.

  171. Fin de la SF90… ça sent la grosse cavalerie qui arrive. J’imagine déjà les V12 hurlants compensant le côté « sage » de l’hybride.

  172. La SF90, c’est un peu la Ferrari de l’ère Instagram : photogénique, impressionnante sur le papier, mais est-ce qu’elle raconte une histoire ?

    J’ai toujours trouvé sa ligne un peu trop agressive, comme si elle criait « regardez-moi ! » au lieu de simplement séduire.

  173. La SF90, je la voyais comme un pont. Un peu maladroit peut-être, mais nécessaire pour traverser vers l’électrification. Espérons que le prochain pont sera plus élégant.

  174. Disparition de la SF90, un peu comme le dernier jour d’un parc d’attractions. On a bien rigolé, mais on passe à autre chose.

    Elle a surtout prouvé que Ferrari pouvait faire de l’hybride sans perdre (complètement) son identité.

  175. Je ne l’ai jamais conduite, mais son nom me faisait rêver. SF90, ça sonne comme un code secret, pas une voiture. Un peu dommage qu’elle disparaisse déjà.

  176. Moi, ce qui me chiffonne, c’est la rapidité du cycle. On dirait qu’ils ont juste coché la case « hybride » pour passer à autre chose.

  177. Je me demande si cette fin de production ne révèle pas des soucis de fiabilité non avoués. La technologie hybride poussée à l’extrême, c’est parfois plus de problèmes qu’autre chose.

  178. Je ne suis pas surpris. Ferrari a toujours su susciter le désir en créant la rareté. La SF90 laisse sa place, et l’attente pour la suivante ne fait que grandir.

  179. Je suis un peu triste, en fait. Elle avait quelque chose d’unique, cette SF90. Un côté « première fois » qu’on ne retrouvera plus.

    On l’oubliera vite, malheureusement.

  180. J’espère que la prochaine sera moins compliquée à entretenir ! Un ami en a une, et les visites à l’atelier sont fréquentes… ça calme.

  181. Pour moi, c’est surtout la fin d’une certaine innocence. Ferrari qui entre pleinement dans le 21ème siècle, avec tout ce que ça implique. Une page se tourne, c’est sûr.

  182. Honnêtement, je n’ai jamais vraiment accroché à la ligne de la SF90. Trop agressive, trop « ordinateur ». Une Ferrari devrait susciter l’émotion, pas l’admiration froide.

  183. Elle m’aura fait rêver, c’est sûr. Mais je me demande si elle restera dans l’histoire comme la F40 ou la 288 GTO. Le temps le dira.

  184. Jacqueline Dubois

    Finalement, elle aura été plus un laboratoire roulant qu’un rêve accessible, même pour les riches. Espérons que les technologies qu’elle a validées profiteront à des modèles plus « grand public ».

  185. La SF90, c’est un peu comme un concept-car qu’on a pu conduire. Impressionnant, certes, mais pas forcément attachant sur le long terme.

    Est-ce qu’on se souviendra de son intérieur dans 20 ans ? J’en doute.

  186. La SF90, je la vois comme un pari risqué réussi. Ferrari a osé et ça, c’est déjà une victoire.

    C’est fou comme le temps passe vite, on dirait qu’elle vient de sortir.

  187. La fin de la SF90 ? Tant mieux, ça va peut-être calmer les spéculateurs qui la revendent déjà deux fois son prix. Marre de voir ces voitures devenir des placements financiers.

  188. Je me demande si l’arrêt de la SF90 ne signifie pas une accélération vers le tout électrique chez Ferrari. Un peu triste, quand même.

  189. Je suis surtout curieux de voir comment Ferrari va gérer la transition vers une gamme plus électrifiée sans perdre son identité. Un défi de taille.

  190. J’ai toujours pensé qu’elle ressemblait un peu trop à une McLaren. Une Ferrari doit avoir ce je-ne-sais-quoi d’italien, cette élégance…

  191. Une page se tourne, c’est certain. Mais pour moi, la SF90 restera surtout comme la Ferrari qui m’a fait comprendre que l’électrification, même chez les pur-sang, c’était inévitable.

  192. La SF90 qui disparaît, ça me fait surtout penser à la complexité grandissante des voitures. On perd un peu le côté « plaisir brut » au profit de la performance pure.

  193. La SF90, c’était la Ferrari « Playstation ». Hyper performante, bourrée d’électronique, mais émotionnellement… froide.

  194. C’est vrai qu’elle était impressionnante sur le papier, mais je n’ai jamais vraiment rêvé d’en avoir une. Trop moderne, peut-être ?

  195. La fin d’une époque, c’est sûr. Mais je suis plus impatient de voir ce que cette nouvelle génération nous réserve en termes de design. J’espère qu’ils oseront plus !

    Une Ferrari hybride, c’était déjà un choc.

  196. La SF90, c’était un peu le symbole d’une Ferrari qui se cherche, non? Pas la plus belle, mais sans doute la plus courageuse. Espérons que la prochaine trouve son propre style.

  197. La SF90 partie, c’est peut-être le moment pour Ferrari de revenir à des lignes plus pures, moins agressives. J’espère qu’ils se souviendront de leur héritage.

  198. Je suis curieux de voir comment ils vont gérer la transition vers quelque chose de nouveau. La SF90 avait un look tellement spécifique, je me demande si la prochaine sera une rupture totale ou une évolution.

  199. Alexandre Durand

    SF90 arrêtée ? Tant mieux, elle ne m’a jamais vraiment parlé, esthétiquement parlant.

    Une page qui se tourne, certes, mais Ferrari a toujours su rebondir.

  200. La SF90, une voiture que je n’aurais jamais pu me permettre, évidemment. Mais sa disparition me fait penser que même le rêve a une date de péremption.

  201. Christophe Durand

    La SF90, c’était surtout un prix inaccessible. Sa fin ne me touche pas particulièrement, j’attends de voir l’impact concret de cette « nouvelle génération » sur le marché de l’occasion.

  202. La SF90, c’était une Ferrari pour les geeks de la technologie, pas forcément pour les amoureux du pur plaisir de conduite. J’espère que la prochaine mettra le fun au volant au premier plan.

  203. La SF90, c’était Ferrari qui expérimente, qui ose. On ne peut pas leur reprocher de ne pas innover. J’espère juste que la prochaine ne sera pas une usine à gaz.

  204. François Durand

    La SF90, c’était un pas de géant, certes, mais un peu trop timide. J’espère qu’ils oseront vraiment l’électrification à fond la prochaine fois, sans faux-semblants.

  205. Grégoire Durand

    Je me demande si l’arrêt de la SF90 ne marque pas surtout la fin d’une certaine idée de l’hybride chez Ferrari, une sorte de solution transitoire plus qu’une véritable conviction.

  206. La SF90, c’était un peu la Ferrari que mon fils de 10 ans dessinerait. Trop de lignes, trop de tout. J’espère que la prochaine aura plus de grâce.

  207. La SF90, c’était un symbole. La fin d’une époque où l’on tâtonnait. J’espère que la prochaine sera plus mature, plus assumée.

  208. La SF90, c’était un peu le chant du cygne du thermique avec un vernis d’électrique. J’espère que la prochaine aura une âme, qu’elle vibrera.

  209. La SF90, c’est surtout un nom. Un hommage à une écurie mythique. J’espère que le prochain modèle aura une appellation aussi inspirée.

  210. Béatrice Durand

    On dirait que Ferrari passe à autre chose, c’est tout. La SF90 n’était qu’une étape. J’imagine qu’ils ont des ambitions plus grandes.

  211. La SF90 partie, on dirait que Ferrari tourne la page d’un chapitre. Un peu triste, comme quand on se sépare d’un objet qui nous a fait rêver. Vivement la suite, en espérant qu’elle garde un peu de cette magie.

  212. La SF90 qui s’arrête, ça me fait penser à ces groupes de musique qui sortent un album expérimental avant de revenir à leurs fondamentaux. Hâte de voir la suite.

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