Cette erreur de taille ruine votre laurier : la bonne méthode pour le garder dense et resplendissant

Voir son laurier dépérir après une taille que l’on pensait bénéfique est une frustration que de nombreux jardiniers connaissent. Le problème n’est souvent pas le geste, mais le moment. Une erreur de calendrier peut ruiner la floraison et affaiblir l’arbuste. La solution réside dans une méthode simple : tailler au bon moment, c’est-à-dire après la floraison, pour garantir un feuillage dense et resplendissant.

Les secrets d’une taille de laurier réussie

Pour beaucoup, le laurier est un symbole de jardin luxuriant. Pourtant, un entretien inadapté peut rapidement mener à la déception. Les signes d’une mauvaise taille sont souvent les mêmes :

  • Un feuillage qui devient clairsemé.
  • Une absence quasi totale de fleurs l’année suivante.
  • L’apparition de branches faibles et désordonnées.

Cette situation, de nombreux propriétaires de jardins l’ont vécue, se demandant où ils ont bien pu se tromper. La réponse est plus simple qu’il n’y paraît et ne demande aucun équipement supplémentaire, juste un peu de patience.

Le témoignage qui change tout : l’expérience d’un jardinier averti

Jean-Pierre Dubois, 58 ans, retraité à Toulouse, a longtemps lutté avec ses lauriers. « Chaque printemps, c’était la même angoisse. Je taillais, et mon laurier semblait me le reprocher en perdant toute sa vigueur. Je pensais vraiment devoir l’arracher. » Son erreur, partagée par 8 jardiniers sur 10, était de tailler trop tôt, sacrifiant sans le savoir la promesse des futures fleurs.

En discutant avec un voisin pépiniériste, il a totalement changé son approche. Le processus a été simple :

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Cet article traite aussi de l'entretien des plantes au jardin, en particulier des problèmes courants avec les tomates

  1. Il a observé son laurier fleurir durant l’été.
  2. Il a attendu la toute fin de la floraison pour intervenir.
  3. Il a effectué une taille légère pour nettoyer le bois mort et redonner une forme.

L’année suivante, le résultat fut sans appel : l’arbuste était plus dense et couvert de fleurs. C’est devenu sa méthode immuable.

Comprendre le cycle du laurier pour mieux le tailler

L’erreur principale est de traiter le laurier-rose comme d’autres arbustes qui se taillent en fin d’hiver. Le mécanisme biologique est clair : le laurier-rose prépare ses fleurs sur le bois de l’année précédente. En taillant au début du printemps, on supprime tout simplement les futurs bourgeons. C’est un principe fondamental :

  • La taille post-floraison stimule la croissance de nouvelles tiges.
  • Ces nouvelles pousses porteront les fleurs de la saison suivante.

En respectant ce cycle, on travaille avec la plante, et non contre elle. C’est une approche qui garantit non seulement l’esthétique mais aussi la santé de l’arbuste sur le long terme.

Les bénéfices multiples d’une taille bien planifiée

Adopter le bon calendrier de taille a des impacts bien au-delà de la simple apparence. C’est une démarche gagnante sur plusieurs plans. Les avantages directs sont :

  • Pratique : la méthode ne demande aucune compétence technique avancée.
  • Économique : elle assure la longévité de vos arbustes et vous évite de devoir les remplacer.
  • Santé de la plante : elle prévient le stress de l’arbuste et le rend plus résistant aux maladies.

Cette technique simple permet d’obtenir des résultats professionnels avec un minimum d’effort.

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Bien que sur un sujet différent, cet article propose également une astuce simple pour résoudre un problème courant dans la maison

Aller plus loin : techniques et astuces complémentaires

Le moment de la taille est crucial, mais le geste l’est aussi. La qualité de votre intervention dépendra de vos outils et de la technique employée. Pour un résultat optimal, pensez à varier les types de taille selon les besoins de votre arbuste.

Type de taille Objectif Période recommandée
Taille d’entretien Conserver une forme harmonieuse et aérer le centre Juste après la floraison
Taille de rajeunissement Redynamiser un vieil arbuste en coupant les vieilles branches Fin d’hiver, tous les 4-5 ans

Pour des coupes propres, il est essentiel d’utiliser des outils adaptés :

  • Un sécateur bien affûté pour les petites branches.
  • Un ébrancheur ou une scie pour les branches plus épaisses.
  • Pensez toujours à désinfecter vos outils avant et après usage pour éviter la propagation de maladies.

Cette approche globale transforme l’entretien de vos lauriers en un véritable acte de soin, dont les bénéfices se verront saison après saison. C’est l’assurance d’un jardin non seulement beau, mais aussi en pleine santé.

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320 réflexions sur “Cette erreur de taille ruine votre laurier : la bonne méthode pour le garder dense et resplendissant”

  1. Mouais, tailler après la floraison, c’est le B.A.-BA. Mais est-ce que ça parle vraiment de l’importance de la taille légère et régulière pour un laurier vraiment dense ? J’en doute.

  2. C’est vrai que j’ai toujours un peu peur de tailler le mien, de peur de faire une bêtise. Peut-être que ce conseil me donnera le courage de m’y mettre enfin.

  3. Bof, l’article survole le sujet. On dirait une pub déguisée pour un sécateur. J’aurais aimé plus de détails sur la taille des lauriers plus âgés qui ont des branches dégarnies.

  4. Je me reconnais tellement ! J’ai eu un laurier magnifique… que j’ai ruiné un printemps par impatience. Depuis, je me contente d’admirer ceux des autres. La date, c’est vraiment crucial.

  5. Mon laurier a toujours fait ce qu’il voulait, floraison ou pas. Je crois que l’emplacement et l’arrosage comptent bien plus que cette histoire de timing parfait.

  6. Franchement, mon laurier, je le taille quand il me gêne. Il a l’air de s’en ficher complètement ! Peut-être que je suis chanceux… ou qu’il est juste increvable.

  7. J’ai arrêté d’écouter les « conseils » sur le laurier. Le mien, je le laisse vivre sa vie. Il est beau, il est grand, et on est tous les deux contents comme ça.

  8. Je me demande si le type de laurier joue aussi. J’ai deux variétés différentes et l’un réagit bien mieux à la taille que l’autre.

  9. Je suis d’accord sur le principe, mais « après la floraison » c’est vague. La floraison, ça dure ! C’est quand exactement qu’il faut sortir le sécateur ?

  10. Je me demande si on ne dramatise pas un peu trop la taille du laurier. Le mien a survécu à mes pires erreurs de débutant. La nature est parfois plus résiliente qu’on ne le pense.

  11. Je trouve ça rassurant de lire ça. J’ai toujours eu l’impression de faire n’importe quoi avec mon laurier, mais au moins, maintenant, je sais qu’il y a une logique derrière tout ça.

  12. Je trouve ça bien de rappeler que la taille n’est pas anodine. Moi, c’est l’inverse, j’ai peur de ne pas assez tailler et qu’il devienne envahissant !

  13. C’est vrai que la taille peut faire peur. Moi, je me contente d’enlever le bois mort et ça a toujours suffit. Pas besoin de se prendre la tête.

  14. Moi, je me demande surtout à quoi sert de le tailler si ce n’est pour une question esthétique. C’est un peu comme se couper les cheveux, non ?

  15. C’est marrant, j’ai toujours cru que tailler, c’était surtout pour éviter que ça ne devienne une jungle. L’idée que ça puisse l’abîmer, ça me surprend.

  16. Moi, j’ai toujours pensé que le laurier se débrouillait tout seul, sans qu’on ait besoin de s’en mêler. Cet article me fait presque culpabiliser de l’ignorer!

  17. Moi, je me suis toujours demandé si cette histoire de taille après floraison n’était pas un peu un truc de pro. J’ai l’impression que ça marche bien pour certains, mais que pour d’autres, le laurier s’en fiche un peu.

  18. Je n’ai jamais vraiment pensé à la taille en termes de « santé » du laurier. Pour moi, c’était surtout une question de vue depuis la fenêtre du salon.

  19. Mon laurier, c’est un peu comme un vieux copain. Il est là, il fait son truc. Je l’observe, je me dis qu’il a peut-être besoin d’un coup de ciseaux, mais j’ai peur de le vexer.

  20. Tiens, je réalise que j’ai toujours taillé mon laurier au feeling, sans vraiment réfléchir au cycle de floraison. J’espère ne pas avoir trop compromis sa beauté…

  21. C’est bien beau tout ça, mais mon laurier, il fleurit à peine. Je risque d’attendre longtemps avant de pouvoir le tailler, non ? Finalement, est-ce que cette règle s’applique à tous les lauriers ?

  22. Mon laurier a l’air de se moquer complètement des règles. Il pousse, il fleurit, je taille quand ça me chante, et il est toujours là. Peut-être que la nature est plus résiliente qu’on ne le pense.

  23. Je me demande si ce conseil est valable pour les jardiniers du dimanche comme moi. J’ai surtout peur de ne pas reconnaître la fin de la floraison…

  24. Si seulement j’avais lu ça avant ! Mon laurier ressemble plus à une sculpture abstraite qu’à un arbuste resplendissant, et je sais maintenant pourquoi.

  25. Mouais, facile à dire « après la floraison »… Mais quand on a plusieurs lauriers, la floraison n’est jamais synchro. Du coup, on fait comment ?

  26. La taille, c’est un stress pour la plante, non ? J’ai toujours eu l’impression de lui faire une petite opération à chaque fois. Du coup, je me dis qu’il vaut mieux y aller mollo.

  27. C’est rassurant d’avoir une règle simple. J’avais toujours un peu peur de faire n’importe quoi, du coup je n’osais presque pas le tailler.

  28. L’article est un peu simpliste. J’ai toujours taillé au printemps, avant le boom de la végétation, et mes lauriers se portent très bien. Peut-être que ça dépend de la variété ?

  29. Je trouve ça culpabilisant ! On dirait que si mon laurier n’est pas parfait, c’est forcément ma faute. Peut-être qu’il est juste… normal ?

  30. Franchement, « dense et resplendissant », c’est un peu la promesse d’un shampooing, non ? Je préfère un laurier un peu sauvage, avec sa propre personnalité.

  31. Moi, ce qui me perturbe, c’est cette obsession de la « densité » et du « resplendissement ». On dirait qu’il faut que tout soit parfait, même nos plantes ! Un laurier, c’est beau même un peu dégarni, …

  32. L’article oublie un truc : la qualité de la terre ! J’ai un laurier magnifique sans me soucier du calendrier de taille. Un bon terreau, ça fait des miracles.

  33. Personnellement, je trouve que l’article manque de concret. « Après la floraison », d’accord, mais ça veut dire quoi exactement ? En juin ? En août ? Un peu plus de détails seraient les bienvenus.

  34. Moi, je me demande surtout si le laurier a vraiment besoin d’être taillé, en fait. On dirait qu’on ne peut pas juste le laisser vivre sa vie tranquille.

  35. Je suis d’accord avec l’idée du bon timing. J’ai bousillé un forsythia une fois en taillant en automne… Plus de fleurs au printemps !

  36. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « il faut faire absolument ça ». J’ai l’impression qu’on nous infantilise un peu, non ? Un laurier, c’est pas si fragile que ça.

  37. Moi, j’aime bien quand mes lauriers prennent de la hauteur. Ça fait un peu écran naturel, et ça cache le vis-à-vis avec les voisins. Pas besoin qu’il soit hyper touffu, tant qu’il remplit son rôl…

  38. Moi, je me demande si c’est si grave de rater la taille. Un laurier, ça repousse, non ? J’ai toujours fait un peu au feeling, et ça a toujours fini par aller.

  39. Le mien, il a vécu des étés caniculaires et des hivers rudes. La taille, c’est secondaire, je crois. C’est surtout une question de résilience, finalement.

  40. C’est marrant, moi je pensais que le laurier était surtout sensible aux maladies. La taille, j’avoue, je n’y ai jamais prêté une attention folle.

  41. C’est vrai que « ruiner » est un mot fort. Je me demande surtout si ça vaut le coup de se prendre la tête pour quelques fleurs en plus.

  42. Je me demande si cette histoire de taille après floraison s’applique à toutes les variétés de laurier. Le mien fleurit presque en continu, je ferais quoi, attendre Noël pour tailler ?

  43. Je suis plus embêté par les cochenilles que par la taille, personnellement. C’est ça qui le rend moins resplendissant, mon laurier !

  44. Moi, ce qui m’intéresse surtout, c’est comprendre *pourquoi* tailler après la floraison rend le laurier plus dense. L’article effleure le sujet, mais j’aimerais plus de détails sur le processus biologique.

  45. J’ai toujours taillé un peu au pif, en fait. Après tout, c’est un laurier, pas une orchidée ! Ça a toujours repoussé, même après mes massacres.

  46. Je trouve l’article un peu alarmiste. Mon laurier, je le taille quand il commence à me gêner, point. Il a l’air de s’en accommoder.

  47. Le « resplendissant », ça me fait sourire. Le mien est surtout un brise-vue efficace, le côté esthétique, je l’avoue, passe après.

  48. Tailler, c’est un peu comme une coupe de cheveux, non ? On espère que ça va améliorer les choses, mais parfois… catastrophe. J’ai surtout peur de le défigurer, mon laurier.

  49. Bof, tailler après la floraison… J’ai toujours fait ça au printemps, avant que ça ne devienne un monstre. Il se porte bien, merci.

  50. « Resplendissant », je ne sais pas. Dense, par contre, c’est ce que je recherche, il cache le vis-à-vis.
    ***
    Je crois que je vais tenter cette année la taille après floraison.

  51. La « bonne méthode », ça me rappelle un peu trop les recettes miracles. J’ai toujours pensé que le laurier, c’était un peu comme le lierre : ça pousse malgré tout.

  52. Un laurier resplendissant ? On dirait presque une pub pour un produit de beauté. Moi, je cherche juste à ce qu’il ne devienne pas une jungle impénétrable.

  53. « Resplendissant », c’est peut-être un peu fort, mais l’idée de ne pas flinguer la floraison en taillant au mauvais moment, ça me parle. J’ai eu le coup une fois, j’étais dégoûté.

  54. J’ai l’impression que l’article oublie un truc essentiel : le temps qu’on a à consacrer à son jardin. « Après la floraison », c’est vague. Si on a déjà le potager à gérer, la pelouse, les rosiers.

  55. Le mien, il a surtout des pucerons. La taille, c’est le cadet de mes soucis. Je préférerais un article sur comment les virer, ces bestioles !

  56. Ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de l’aspect. Moi, le laurier, c’est surtout le souvenir des plats de ma grand-mère. J’espère juste qu’il ne mourra pas.

  57. Moi, ce qui m’inquiète surtout, c’est la prolifération du laurier. On en voit partout, c’est presque devenu une plante invasive. L’article devrait peut-être aborder cet aspect.

  58. Moi, je me demande si le type de laurier joue aussi. J’en ai un à petites feuilles et un autre plus grand. La taille doit sûrement varier selon la variété, non ? L’article ne le précise pas.

  59. Moi, le laurier, c’est surtout son odeur quand il pleut. Je le taille jamais vraiment, il fait partie du décor, un peu sauvage. Ça me dérange pas qu’il ne soit pas « resplendissant ».

  60. La taille, c’est une chose, mais moi, j’ai surtout peur qu’il gèle. Chaque hiver, je croise les doigts. La densité, le « resplendissant », ça passe après.

  61. Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne parle jamais de l’utilisation des feuilles après la taille. C’est un peu gâcher de les jeter, non ?

  62. C’est vrai que la taille après la floraison, c’est logique… Mais bon, si on aime les baies, on fait comment ? J’avoue, j’aime bien l’idée de voir les oiseaux se régaler en hiver.

  63. C’est vrai que la taille c’est important, mais j’avoue que je le fais un peu au feeling, quand ça me prend. Pas toujours après la floraison… Tant qu’il est vert, ça me va.

  64. Franchement, le côté « resplendissant », ça me laisse un peu froid. J’aime quand mes plantes ont l’air de vivre leur vie, même un peu désordonnées.

  65. « Resplendissant », franchement, c’est un peu le mot de trop. La nature a rarement besoin de superlatifs. Un laurier en bonne santé me suffit amplement.

  66. Le « resplendissant », bof. Moi, je préfère un laurier qui sent bon et qui me rappelle les vacances dans le sud. Sa santé, c’est déjà beaucoup.

  67. Je viens d’en planter un, j’espère qu’il va prendre ! La taille, on verra plus tard, pour l’instant, je veux juste qu’il survive.

  68. Je me demande si cet article prend en compte les jardiniers débutants comme moi. « Après la floraison », oui, mais comment on la reconnaît, la floraison, exactement ? J’aurais aimé une photo ou une description plus précise.

  69. Je me demande si cette règle de taille est universelle. Mon voisin taille le sien deux fois par an, au printemps et à l’automne, et il est magnifique.

  70. Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée de « ruiner » un laurier. C’est quand même une plante assez robuste, non ? On dirait qu’il faut un doctorat pour le tailler correctement.

  71. Je comprends l’idée de la taille après floraison, mais personnellement, je préfère laisser faire la nature. Un laurier un peu sauvage a plus de charme, je trouve.

  72. Moi, je me demande surtout si ça vaut vraiment le coup de se prendre la tête pour un laurier. C’est pas comme si on parlait d’un bonsaï rare. Un coup de cisaille de temps en temps, et basta.

  73. Moi, ce qui m’inquiète avec la taille, c’est surtout d’oublier de désinfecter mes outils. J’ai peur de filer une maladie à mon pauvre laurier.

  74. Moi, ce qui me préoccupe, c’est pas tant l’esthétique que l’utilité. J’utilise les feuilles de laurier dans mes plats. Est-ce que tailler après la floraison affecte le goût des feuilles ? Ça, l’article ne le dit pas.

  75. Moi, je trouve ça bien de rappeler qu’il y a un moment idéal. J’ai toujours taillé un peu au pif, et c’est vrai que parfois, il a moins fleuri l’année suivante.

  76. « Ruiner » un laurier, c’est fort de café ! Le mien, je l’oublie souvent, il pousse quand même. Un peu d’eau de pluie, et c’est reparti.

  77. C’est marrant, moi je pensais que la taille, c’était surtout pour maîtriser sa taille justement ! La densité, j’avoue, je n’y avais jamais pensé…

  78. Mouais, « resplendissant », faut pas exagérer ! Le mien, il est surtout pratique pour cacher le vis-à-vis avec le voisin. On va dire que tant qu’il fait ça, je ne me plains pas.

  79. Le mien a surtout des cochenilles. L’article parle de taille, mais la vraie question, c’est comment les faire partir, ces bestioles !

  80. La densité, c’est bien joli, mais moi, j’aimerais surtout qu’il arrête d’attirer autant d’abeilles ! Impossible de déjeuner dehors quand il est en fleurs.

  81. Le mien, je le taille quand il me gêne. Point. Je ne me suis jamais posé la question du « bon » moment. Il a l’air de s’en sortir.

  82. Ah, le laurier ! Pour moi, c’est surtout un souvenir d’enfance, l’odeur dans le jardin de ma grand-mère. Plus que la densité ou la taille parfaite, c’est ça qui compte.

  83. L’article est un peu simpliste. Mon laurier est splendide… et je le taille quand j’ai 5 minutes, jamais après la floraison ! La terre doit jouer plus que le timing.

  84. Après la floraison ? Tiens, c’est une idée. J’ai toujours eu peur de couper les fleurs en taillant. Du coup, je ne taille presque jamais! Peut-être que je devrais essayer.

  85. C’est marrant, moi je pensais que la taille servait surtout à maîtriser sa croissance, pas à le rendre « resplendissant » ! L’esthétique, c’est secondaire pour moi.

  86. « Ruiner » un laurier, c’est peut-être exagéré, mais c’est vrai que j’ai déjà eu des mauvaises surprises après une taille un peu trop enthousiaste. Il met un temps fou à s’en remettre après !

  87. L’article me fait sourire. J’imagine le laurier comme une vieille tante qu’on brusque un peu. Elle râle, mais elle revient toujours pour le repas de famille.

  88. Intéressant de penser à la taille comme un soin pour la plante, au-delà de juste couper des branches. Je vais peut-être arrêter de le voir comme une corvée !

  89. Mon laurier a toujours été un peu rachitique. Je me demande si le problème ne vient pas plutôt de l’exposition. L’article parle juste de la taille, c’est peut-être réducteur.

  90. « Resplendissant », c’est un bien grand mot. J’ai surtout envie qu’il me fasse de l’ombre, moi. La taille, c’est pour pas qu’il empiète trop sur la terrasse, point.

  91. Mouais, resplendissant… on dirait un slogan publicitaire. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la rouille qui s’installe sur les feuilles. La taille, c’est bien, mais ça ne résout pas tout.

  92. Et si la densité du feuillage dépendait plus de l’engrais que de la taille ? J’ai l’impression d’avoir plus de succès avec ça, personnellement.

  93. Moi, j’ai toujours taillé « au feeling », quand il me semblait que ça devenait trop brouillon. Jamais vraiment réfléchi au calendrier. Et il s’en est toujours bien porté, le bougre.

  94. Moi, je suis surtout embêté par les nids d’oiseaux qu’il faut déloger avant de tailler. C’est ça, le vrai problème, pas le calendrier !

  95. Je me demande si la taille après floraison est une règle absolue. Mon voisin taille le sien en automne et il est magnifique. Peut-être que ça dépend de la variété ?

  96. Tailler après la floraison… J’y avais jamais pensé. J’ai toujours cru que le laurier était increvable, peu importe ce qu’on lui faisait subir. C’est peut-être pour ça qu’il est juste « correct » et pas « resplendissant ».

  97. La taille après floraison, c’est noté. Espérons que ça marche, car le mien a une tête… disons, peu harmonieuse. On dirait qu’il a été coiffé par un enfant.

  98. C’est bien beau de parler de taille, mais le mien, c’est surtout les pucerons qui l’adorent. Avant de tailler, je préfère m’occuper de ça.

  99. Resplendissant, resplendissant… ça me fait surtout penser au prix des haies de laurier chez le pépiniériste. Si une petite taille suffit à éviter de les remplacer tous les ans, je suis preneur …

  100. « Resplendissant », ça me fait sourire. Le mien est surtout pratique : il sert de brise-vue. Si tailler après la floraison le maintient en vie, c’est déjà pas mal.

  101. Mouais, « ruiner » c’est fort. J’ai surtout peur de le ratiboiser complètement par accident. Une taille ratée, ça repousse ?

  102. Je trouve ça rassurant, finalement. J’ai toujours eu l’impression que la taille était une science infuse, réservée aux experts. Si un simple timing peut faire la différence, je me sens moins inti…

  103. Après la floraison, d’accord… Mais quand *exactement* ? Le mien fleurit pendant des semaines. J’ai peur d’attendre trop et de rater le coche pour la nouvelle croissance.

  104. Je me demande si cette histoire de taille après floraison est valable pour toutes les variétés de laurier. Le mien n’arrête jamais vraiment de fleurir, alors…

  105. Moi, je l’avoue, la taille, c’est un peu au feeling. Tant que ça reste vert et que ça cache le vis-à-vis, je suis content. Pas sûr que je vais me prendre la tête avec le calendrier des floraisons.

  106. J’aime bien l’idée de respecter le cycle de la plante. On est souvent trop dans l’optique de « contrôler » la nature, alors que l’accompagner, c’est peut-être plus simple.

  107. SportifDuDimanche

    Franchement, j’ai toujours taillé au printemps, avant les grosses chaleurs. Ça a toujours bien marché, alors je ne suis pas sûr de changer mes habitudes.

  108. C’est vrai que j’ai jamais trop réfléchi au moment. Je taille quand il devient trop envahissant. J’espère juste que l’article a raison et que ça peut vraiment l’aider à être plus beau.

  109. Plutôt que de me focaliser sur la « beauté » du laurier, j’espère que cette méthode aidera à limiter sa croissance. Il devient vite un monstre !

  110. ProvincialeHeureuse

    C’est marrant, moi j’ai toujours pensé que la taille, c’était surtout pour la forme qu’on voulait lui donner. L’idée que ça impacte vraiment sa santé, c’est nouveau pour moi.

  111. MécanicienRetraité

    Mouais, « erreur de taille » c’est un peu fort comme titre. Je pense qu’un laurier en pleine forme, il encaisse quand même pas mal de choses.

  112. InstitutricePassionnée

    Je me demande si c’est pas un peu trop simpliste. Mon laurier, il a l’air de s’en foutre complètement de quand je le taille. Il pousse toujours comme un dingue.

  113. L’article est pertinent, mais on dirait qu’il oublie l’aspect « sécurité ». Je taille surtout pour éviter qu’il ne gêne le passage ou qu’il n’empiète sur le terrain du voisin.

  114. Baptiste Bernard

    Je suis un peu déçue. Je m’attendais à plus de détails sur la « méthode simple ». « Après la floraison », c’est vague. Toutes les floraisons se ressemblent-elles ?

  115. Clément Bernard

    Je trouve le titre un peu alarmiste. Mon laurier, c’est surtout une haie brise-vue. Tant qu’il remplit sa fonction, je ne me soucie pas trop de sa « densité resplendissante ».

  116. Je me demande si cet article ne s’adresse pas surtout à ceux qui veulent des lauriers « parfaits ». Le mien est un peu sauvage, mais il fait le job pour me cacher du vis-à-vis.

  117. Étienne Bernard

    J’avoue, je me sens moins coupable maintenant. Je taille un peu au pif, quand j’ai le temps. Tant qu’il reste vert, je ne m’inquiète pas trop.

  118. Je me demande si ça s’applique à toutes les variétés de laurier. Le mien fleurit presque en continu, alors quand est-ce le « bon » moment ?

  119. C’est vrai que je me suis toujours fié au calendrier plutôt qu’à l’état de mon laurier. Peut-être que je devrais observer ses besoins plus que suivre bêtement les conseils généraux.

  120. Moi, je taille surtout pour qu’il reste à une taille raisonnable. Le côté « dense et resplendissant », c’est du bonus.

  121. Moi, le laurier, c’est surtout un souvenir d’enfance. L’odeur me rappelle les vacances chez ma grand-mère, bien plus que l’idée d’un arbuste « dense et resplendissant ».

  122. Moi, ce que je redoute, c’est surtout de le tailler trop court et de me retrouver avec un trou béant dans ma haie. La « densité », c’est bien, mais faut pas que ça se voie que j’ai coupé !

  123. Le côté « dense et resplendissant », ça me fait un peu sourire. Moi, je suis surtout content quand il ne crève pas pendant l’hiver ! C’est déjà une victoire.

  124. Franchement, « dense et resplendissant », ça me fait penser aux pubs pour shampoing. Moi, je le taille surtout pour pas qu’il déborde chez le voisin.

  125. La « frustration » de voir un laurier dépérir, ils y vont fort ! Moi, je suis juste content quand il grandit, peu importe la densité. C’est de la verdure en plus, c’est toujours ça de pris.

  126. « Dense et resplendissant »… C’est joli, mais mon laurier, je le taille surtout pour qu’il ne fasse pas trop d’ombre à mes tomates. Priorités, quoi.

  127. Le laurier, c’est un peu l’arbre à tout faire du jardin, non ? Brise-vue, aromate… Perso, je le taille quand il me gêne, point. Le reste, c’est du marketing.

  128. Intéressant, cette histoire de taille après floraison. J’ai toujours taillé un peu au feeling, quand ça me semblait nécessaire. Peut-être que je pourrais avoir un plus beau résultat en m’y prenant autrement.

  129. Sébastien Bernard

    Tailler après la floraison ? Ça a du sens. J’avoue que je ne me suis jamais posé la question de l’impact sur la floraison suivante. Merci pour l’info !

  130. Mouais, après la floraison… facile à dire ! Mon laurier sauce, il est plus souvent envahi par les pucerons que par les fleurs. Je vais peut-être essayer un traitement bio, avant de penser à le tailler.

  131. Alexandre Bernard

    Je me demande si ce conseil est valable pour toutes les variétés de laurier. Le mien a des feuilles panachées, et je n’ai jamais vraiment fait attention à une floraison particulière.

  132. Benjamin Bernard

    Moi, mon laurier, je le vois comme un copain un peu envahissant. Je l’aide juste à pas prendre trop de place, sans me soucier du reste. Il fait ce qu’il veut, tant qu’il reste dans son coin.

  133. Christophe Bernard

    Je me suis toujours demandé si cette « densité » était vraiment naturelle. Le mien est un peu ébouriffé, et ça lui donne un charme fou, je trouve.

  134. Le mien, il est un peu comme une sculpture naturelle, je le laisse vivre. Tant qu’il ne déborde pas trop sur le passage, je le laisse faire sa vie. La nature sait mieux que nous.

  135. Emmanuel Bernard

    J’ai toujours eu peur de trop tailler, alors je laisse mon laurier pousser comme il l’entend. Un peu sauvage, certes, mais authentique.

  136. François Bernard

    La « densité » parfaite, très peu pour moi. Je préfère un laurier avec du caractère, même si ça veut dire quelques branches rebelles. Un peu de désordre, c’est la vie !

  137. Grégoire Bernard

    Franchement, « resplendissant », ça me fait sourire. Le mien, il est surtout utile pour les grillades. Tant qu’il fournit les branches, je suis content !

  138. « Resplendissant », c’est un peu vendeur, non ? Le mien, je le taille surtout pour qu’il ne cache pas la lumière de la cuisine. Objectif pragmatique, on va dire.

  139. Tailler après la floraison ? Intéressant. Moi, je me fie surtout au calendrier lunaire, ça marche plutôt bien pour moi, et c’est un peu plus précis que « après la floraison ».

  140. La taille, c’est toujours un peu angoissant, non ? J’ai l’impression de dénaturer la plante, de la forcer à être ce qu’elle n’est pas.

  141. Béatrice Bernard

    « Resplendissant » et « dense »… J’avoue, ça me parle peu. Moi, je le taille surtout pour que les voisins ne râlent pas. Une haie bien taillée, c’est avant tout une question de bon voisinage, non ?

  142. Tailler après la floraison, d’accord… Mais je fais comment pour être sûr de ne pas louper le coche ? C’est court, une floraison de laurier.

  143. Delphine Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout les maladies. La taille, c’est une porte ouverte, non ? J’essaie d’éviter au maximum.

  144. Moi, je me demande si la variété du laurier joue beaucoup. J’ai l’impression que certains pardonnent plus les erreurs de taille que d’autres.

  145. Moi, ce qui me dérange dans cet article, c’est l’obsession du « beau ». Un laurier, c’est avant tout un brise-vue efficace et un abri pour les oiseaux, non ? Le reste, c’est du marketing.

  146. Gabrielle Bernard

    Moi, je me demande si on ne complique pas un peu les choses. J’ai toujours pensé que le laurier, c’était plutôt solide, et que ça pardonnait pas mal d’erreurs.

  147. Hélène Bernard

    Moi, ce que j’aime dans le laurier, c’est son côté un peu sauvage. Je le laisse pousser presque librement, et je trouve ça plus joli qu’une haie au carré.

  148. Isabelle Bernard

    Je suis d’accord sur le fond, mais l’article me semble un peu alarmiste. J’ai déjà taillé mon laurier à différents moments de l’année sans catastrophe majeure.

  149. Personnellement, je taille mon laurier quand il commence à empiéter sur le passage. Le « bon moment », c’est surtout quand ça m’arrange !

  150. C’est vrai que j’ai jamais vraiment réfléchi au « bon moment » pour tailler. Je fais ça un peu au feeling, quand ça me semble nécessaire. Tant que ça reste vert, je me dis que ça va.

  151. Le mien, je le taille au printemps, avant que les nouvelles pousses ne soient trop avancées. Ça lui donne un bon coup de fouet pour l’été.

  152. Je comprends l’idée, mais « ruiner » me paraît exagéré. Mon laurier a survécu à bien pire que quelques coups de sécateur maladroits.

  153. Nathalie Bernard

    Le laurier, c’est un peu comme les cheveux : plus on en coupe, plus ça repousse! Chez moi, je taille surtout pour la cuisine. Un petit coup de ciseaux par-ci, par-là, et hop, dans la sauce!

  154. C’est marrant, j’ai jamais pensé à tailler mon laurier après la floraison… Je le fais surtout avant l’hiver, pour qu’il soit moins encombrant sous la neige.

  155. Je me demande si cet article parle du laurier-sauce ou du laurier-rose. On dirait qu’il s’agit plutôt de l’ornemental, non ? J’utilise les feuilles du mien tout le temps en cuisine, je ne me soucie pas de la floraison.

  156. Je trouve ça intéressant comme conseil, mais ça suppose qu’on le cultive pour la beauté de sa floraison, ce qui n’est pas forcément le cas de tout le monde.

  157. Je me demande si cette règle de la taille après floraison s’applique aussi bien aux jeunes plants qu’aux lauriers plus âgés et bien établis. Mon expérience est que les jeunes sont plus sensibles.

  158. Moi, ce qui me stresse, c’est surtout la taille en elle-même. J’ai toujours peur de faire une bêtise et de le défigurer complètement !

  159. Valérie Bernard

    Moi, je me suis toujours demandé si la lune avait une influence sur la repousse après la taille. Quelqu’un a déjà essayé de tailler en fonction des phases lunaires ?

  160. Moi, je crois que le plus important, c’est surtout d’avoir un sécateur bien aiguisé. Ça fait une coupe nette et ça évite les maladies, non ?

  161. Catherine Bernard

    Moi, je me demande surtout si ça vaut vraiment le coup de se prendre la tête pour ça. Un laurier, c’est quand même assez résistant, non ? Tant qu’il est vert, ça me va !

  162. Moi, ce qui me préoccupe avec les lauriers, c’est les maladies. J’ai toujours peur qu’il attrape un truc et que ça se propage à tout le jardin. La taille, c’est peut-être aussi pour ça, non ? Pour enlever les branches malades avant que ça empire.

  163. Florence Bernard

    Je n’ai jamais pensé à la floraison comme un indicateur pour tailler. Le mien est plus un brise-vue qu’autre chose, je le taille quand il déborde trop sur le passage.

  164. C’est vrai qu’on pense souvent qu’il faut tailler pour « nettoyer », sans penser aux conséquences sur la plante. J’ai bousillé un forsythia comme ça..

  165. Huguette Bernard

    C’est vrai que j’ai toujours pensé que le laurier, c’était increvable. Cet article me fait réaliser qu’il mérite peut-être un peu plus d’attention, au fond.

  166. Intéressant ! Moi, je trouve surtout que le laurier, ça prend une place folle. On commence par une petite haie et dix ans après, on est envahi. La taille, c’est surtout pour limiter les dégâts ch…

  167. Jacqueline Bernard

    C’est bon à savoir. J’ai toujours taillé un peu au feeling, quand il me semblait que ça devenait trop touffu. J’espère que je n’ai pas trop fait de dégâts !

  168. La densité, c’est bien joli, mais le mien, je le taille surtout pour pouvoir passer avec la tondeuse ! Le reste, je dois dire, c’est du bonus.

  169. Après la floraison, d’accord, mais quelle floraison ? Le mien fleurit à peine, quelques fleurs éparses. Je vais attendre quoi, exactement ?

  170. Mon laurier, c’est un peu ma madeleine de Proust. Il me rappelle la maison de mes grands-parents. Je le taille jamais vraiment, juste quelques branches sèches de temps en temps.

  171. Mouais, « resplendissant », faut pas exagérer. Le mien est juste vert, et c’est déjà bien suffisant. J’ai d’autres chats à fouetter que de le bichonner.

  172. Guillaume Dubois

    J’ai toujours cru que le laurier se débrouillait tout seul. Maintenant, je me demande si mes « nettoyages » annuels sont une bonne idée ou si je le stresse plus qu’autre chose.

  173. « Après la floraison »… facile à dire ! Le mien est toujours plein d’abeilles et de papillons, j’aurais trop mauvaise conscience de le tailler à ce moment-là.

  174. Tailler après la floraison, ça me semble logique. Le problème, c’est que j’oublie toujours quand elle a eu lieu, cette fameuse floraison ! Un petit rappel en début d’été serait bienvenu.

  175. J’ai toujours eu peur de le tailler, de peur de faire une bêtise. Du coup, il part un peu dans tous les sens, mon laurier. Un vrai rebelle !

  176. Je me demande si l’article prend en compte les lauriers en pot. Le mien est en pot sur le balcon, la taille doit être différente, non?

  177. C’est vrai qu’on se concentre souvent sur « comment » tailler, mais le « quand » est tout aussi crucial. J’ai bousillé un rosier comme ça une fois…

  178. C’est marrant, moi je le taille surtout pour récupérer les feuilles pour la cuisine. Du coup, le timing « après la floraison » n’est pas du tout ma priorité !

  179. Moi, j’ai jamais vraiment réfléchi à la taille. Il pousse, je le laisse faire. Tant qu’il reste vert et qu’il me fait de l’ombre, ça me va.

  180. C’est vrai que je n’avais jamais pensé à l’affaiblir en le taillant au mauvais moment. J’espère ne pas avoir fait de dégâts irréversibles ! Je vais être plus attentif l’année prochaine.

  181. Moi, le laurier, c’est surtout une histoire de souvenirs. L’odeur me rappelle la maison de ma grand-mère. Du coup, je le taille un peu au feeling, sans trop me prendre la tête.

  182. Sébastien Dubois

    Intéressant cette histoire de timing ! Moi, j’ai toujours pensé qu’il fallait tailler avant l’hiver pour pas que le poids de la neige casse les branches. Faut peut-être que je revoie ma méthode.

  183. Mon laurier, il a survécu à un hiver particulièrement rude, alors une taille malheureuse… je me dis qu’il est solide. Mais bon, autant faire les choses bien, hein. On verra au printemps.

  184. « Après la floraison », ok, mais ça dépend quel laurier, non? J’en ai un qui fleurit presque tout l’été ! On fait comment dans ce cas-là ?

  185. Alexandre Dubois

    Le laurier, c’est un peu comme les cheveux, finalement. On coupe, on espère que ça repousse plus beau. J’espère que cet article évitera des coupes ratées !

  186. Un article de plus qui culpabilise ! J’ai toujours taillé mon laurier quand il me gênait, et il est toujours là. Faut pas stresser pour si peu, la nature est résiliente.

  187. Le laurier, c’est joli, mais ça prend une place folle ! Plus que la floraison, je me bats surtout pour pas qu’il envahisse le passage. Le reste, c’est du bonus.

  188. Tailler après la floraison, c’est noté. Pour moi, le plus dur c’est de me décider à le faire. J’ai toujours peur d’enlever plus qu’il ne faut.

  189. François Dubois

    Moi, c’est plus la peur des chenilles processionnaires sur le laurier qui me stresse que la taille. Une horreur ces bestioles !

  190. Grégoire Dubois

    Je me demande si cette histoire de taille est vraiment cruciale. J’ai toujours laissé le mien pousser à sa guise, et il a l’air plutôt content.

  191. Moi, j’avoue, le laurier, c’est surtout pour cacher le vis-à-vis avec les voisins. La floraison, je la remarque à peine, alors la taille… c’est un peu au feeling !

  192. Tiens, ça me rappelle la fois où j’ai ratiboisé le mien en plein mois d’août… Il a mis un temps fou à s’en remettre, le pauvre. J’aurais dû écouter ma grand-mère.

  193. C’est vrai que le timing doit jouer. Moi, je me souviens surtout de l’odeur de la taille, ça embaume tout le jardin ! Un vrai plaisir sensoriel.

  194. C’est marrant, on dirait qu’on doit tous être des experts en laurier! Moi, je le taille surtout pour récupérer des feuilles pour la cuisine. L’article a raison, c’est mieux après la floraison, elles sont plus parfumées.

  195. Béatrice Dubois

    Mouais, « ruiner » c’est un peu fort comme mot. Le mien fleurit toujours, même si je taille n’importe comment. C’est peut-être une question de variété, non ?

  196. Je trouve ça bien qu’on rappelle le bon timing. Perso, j’utilise surtout le laurier pour faire des bouquets garnis, alors la floraison, je m’en soucie peu.

  197. Moi, ce qui m’inquiète surtout avec le laurier, c’est sa toxicité. J’ai des petits-enfants, faut faire gaffe à ce qu’ils ne mettent rien à la bouche. La taille, c’est secondaire.

  198. Le laurier, c’est un peu comme un vieux compagnon. On l’oublie souvent, mais il est toujours là. Tant qu’il reste vert, ça me va.

  199. Intéressant, mais l’article ne parle pas des maladies. Le mien est souvent attaqué par des cochenilles, et là, la taille n’y change rien.

  200. Gabrielle Dubois

    Le laurier, c’est un peu le pilier de mon jardin. Plus qu’une question de taille, c’est un repère qui me rappelle les saisons qui passent. Un peu comme un calendrier vivant.

  201. Le laurier, c’est un peu l’arbre de la tranquillité chez moi. Je le taille quand il me semble trop imposant, sans me soucier de la floraison. C’est peut-être pas idéal, mais ça marche.

  202. La densité, c’est bien joli, mais je préfère un laurier un peu sauvage, avec son allure naturelle. Moins « coiffé », plus authentique.

  203. C’est vrai que le laurier peut vite devenir envahissant. Je le vois plus comme une haie brise-vue qu’une œuvre d’art à sculpter.

  204. Tailler après la floraison, oui, c’est logique. Mais franchement, je fais surtout ça pour récupérer les feuilles pour la cuisine. Le reste, c’est du bonus.

  205. J’ai toujours pensé que le laurier se débrouillait très bien tout seul, sans trop d’intervention. Le mien a l’air heureux comme ça.

  206. Tailler après la floraison, c’est bien beau, mais ça veut dire sacrifier les jolies baies rouges qui arrivent après ! J’aime bien cet aspect décoratif, même si ce n’est pas « dense ».

  207. Je me demande si cette méthode fonctionne aussi bien pour les lauriers en pot sur un balcon. Le mien a tendance à jaunir, la taille est-elle vraiment la solution miracle ?

  208. Moi, le laurier, je l’aime pour son odeur. Quand il fait chaud, il embaume tout le jardin. La taille, c’est secondaire, tant qu’il sent bon.

  209. Je trouve ça rassurant de lire ça. J’ai toujours eu peur de le massacrer en le taillant, du coup je ne le fais presque jamais. Peut-être que « après la floraison » est un repère simple à retenir.

  210. Personnellement, je me demande si la taille est vraiment indispensable. J’ai vu des lauriers magnifiques laissés à eux-mêmes. Un peu de liberté, ça leur va bien, non ?

  211. Je suis plus inquiet du contraire : qu’il ne pousse pas assez vite ! J’aimerais bien qu’il cache plus rapidement mon vis-à-vis… La taille pour la densité, c’est un luxe que je n’ai pas encore.

  212. C’est marrant, moi c’est l’inverse, je suis toujours trop zélé avec mes outils. J’ai peur qu’il devienne trop grand et je coupe sans réfléchir. Peut-être que je devrais le laisser vivre un peu plus, le pauvre.

  213. « Dense et resplendissant »… ça sonne un peu comme une pub pour shampoing, non ? Moi, je veux juste qu’il survive à l’hiver, le reste, c’est du luxe.

  214. Catherine Dubois

    Je me demande si « après la floraison » est une règle absolue. Le mien fleurit à des moments différents selon les années… Je me fie plus à son aspect général.

  215. J’ai toujours pensé que le laurier avait besoin d’être taillé pour le contenir, pas pour le rendre plus beau. C’est une haie brise-vue, pas un topiaire !

  216. « Dense et resplendissant », c’est peut-être un peu exagéré pour mon vieux laurier, mais l’idée de tailler après la floraison, ça me parle. J’ai toujours fait ça au pif, maintenant j’ai une excus…

  217. Tailler après la floraison, oui, mais encore faut-il avoir vu les fleurs ! Le mien est tellement vigoureux que je suis souvent obligée d’intervenir avant qu’il n’étouffe tout le reste.

  218. Moi, ce qui me stresse, c’est les maladies. La taille, oui, mais est-ce que l’article parle des outils à désinfecter pour éviter de propager la saleté ?

  219. Moi, j’ai surtout peur de ne pas reconnaître les bourgeons à fleurs et de tout couper avant qu’ils n’éclosent. Une année, j’ai eu une seule fleur, j’étais dégoûtée.

  220. « Dense et resplendissant », ça me fait sourire. Mon laurier, c’est surtout un refuge pour les oiseaux. Tant qu’il fait le job, je ne me prends pas trop la tête avec l’esthétique.

  221. Jacqueline Dubois

    La taille post-floraison, je comprends. Mais le « dense et resplendissant », c’est subjectif. Le mien a des trous, des branches un peu sèches, et alors ? Il fait son job de brise-vent, c’est le principal.

  222. Moi, je trouve qu’on parle toujours de laurier « parfait ». Le mien a des cicatrices, des feuilles mangées… C’est la vie, quoi. Un jardin, c’est pas une salle d’exposition.

  223. Moi, ce qui me rassure, c’est qu’il y a une méthode. J’ai toujours eu peur de le massacrer et qu’il ne repousse plus. Au moins, là, j’ai un point de repère.

  224. Je me demande si ça marche aussi pour les lauriers sauce. Le mien est plus dans ma cuisine qu’au jardin, mais il a quand même besoin d’un coup de ciseaux de temps en temps.

  225. Guillaume Durand

    Le laurier, c’est la plante increvable de mon jardin. Je me demande si tous ces conseils sophistiqués sont vraiment nécessaires.

  226. Je suis d’accord avec l’idée de tailler après la floraison, mais c’est toujours un peu la loterie… Chez moi, le soleil tape fort, et même en taillant « au bon moment », il crame parfois quelques feuilles.

  227. L’article est bien gentil, mais il oublie un truc essentiel : le temps qu’on a! Entre le boulot et les enfants, si je dois scruter la fin de la floraison du laurier pour sortir le sécateur, il va att…

  228. Un laurier « resplendissant », ça me fait rêver ! Mais le mien est surtout là pour limiter le bruit de la rue. Tant qu’il pousse et qu’il me protège, je suis content.

  229. « Resplendissant », « dense »… on dirait qu’on parle d’une star de cinéma, pas d’un laurier ! Perso, je me contente qu’il ne soit pas complètement rachitique.

  230. Un laurier « resplendissant »… ça me rappelle ma grand-mère et ses recettes de grand-mère. Elle avait toujours des conseils pour tout. Je vais peut-être essayer, juste pour elle.

  231. Tailler après la floraison, oui, mais faut-il encore avoir vu la floraison! Le mien est tellement touffu qu’il fleurit à l’intérieur, je ne vois jamais rien!

  232. Moi, ce qui m’inquiète avec le laurier, c’est surtout qu’il ne devienne pas trop grand. J’ai peur qu’il finisse par envahir tout le jardin ! La taille, c’est plus pour le contrôler que pour le rendre « resplendissant ».

  233. Moi, je me demande surtout si tailler après la floraison ne risque pas de supprimer les futures baies. J’aime bien quand les oiseaux viennent les picorer en hiver.

  234. Moi, j’ai toujours entendu dire que le laurier, c’était surtout solide et facile à vivre. L’idée qu’il puisse « dépérir » à cause d’une simple taille, ça me surprend un peu.

  235. Sébastien Durand

    Moi, ce qui me chiffonne, c’est que l’article parle de « ruiner » un laurier. J’ai toujours pensé que c’était increvable, ces trucs-là! Ça me donne envie de me renseigner plus…

  236. Moi, ce qui me taraude, c’est l’idée que la taille soit une question de timing parfait. J’ai toujours fait ça au feeling, un peu quand ça déborde trop.

  237. Alexandre Durand

    Moi, je me demande si l’article parle bien du laurier-sauce ou du laurier-palme… C’est pas la même taille, ni le même usage !

  238. Moi, ce qui me frappe, c’est l’emphase sur l’esthétique. Mon laurier, il est surtout là pour son parfum, pas pour la beauté.

  239. Le titre fait très « conseil de magazine féminin », non ? Je préfère un laurier en pleine forme qu’un laurier « resplendissant ».

  240. Le laurier, c’est comme les cheveux, une petite coupe de temps en temps, ça suffit non ? Pas besoin d’en faire tout un plat avec une méthode « miracle ».

  241. François Durand

    Moi, j’ai toujours taillé mon laurier un peu au pif, quand il prend trop de place. Peut-être que je devrais y faire plus attention, surtout si ça joue sur sa santé.

  242. Grégoire Durand

    C’est vrai que j’ai jamais pensé à la taille comme un truc qui pouvait *vraiment* faire du mal. Je vais peut-être faire plus gaffe maintenant, tiens.

  243. Ah, un article sur la taille du laurier ! Moi, c’est surtout les pucerons qui me donnent du fil à retordre, pas tellement la taille. Un coup de jet d’eau, ça suffit souvent.

  244. J’ai toujours cru que le laurier était increvable. Apparemment, je suis passé à côté de quelque chose… Peut-être que c’est pour ça qu’il fleurit si peu, en fait.

  245. Bof, j’ai jamais vraiment réussi à le faire fleurir, mon laurier. Peut-être que ce conseil va enfin m’aider. On verra bien.

  246. Béatrice Durand

    J’ai toujours pensé que le laurier se débrouillait tout seul. Le mien pousse très bien sans que je m’en occupe. Peut-être que je devrais le tailler après la floraison, juste pour voir la différence, mais sans grande conviction.

  247. Intéressant. J’ai un voisin qui taille le sien n’importe comment, et pourtant il est magnifique. Peut-être que la chance joue aussi un rôle ?

  248. Mouais, tailler après la floraison, c’est peut-être la théorie, mais j’ai surtout l’impression que ça dépend du climat. Ici, dans le Sud, le soleil tape fort, alors je taille souvent avant, pour qu’il se refasse une beauté avant l’été.

  249. Je me demande si c’est vraiment si crucial. J’ai toujours pensé qu’un laurier un peu sauvage avait plus de charme qu’un truc taillé au carré. Peut-être que je préfère le laisser vivre sa vie.

  250. Je suis assez d’accord, la taille au bon moment change tout. J’ai vu la différence sur le mien : bien plus de fleurs et un port plus élégant.

  251. Gabrielle Durand

    Je me demande si toute cette histoire de taille n’est pas un peu trop « mise en scène ». J’aime bien l’idée d’un jardin un peu désordonné, où la nature reprend ses droits.

  252. C’est marrant, moi j’ai toujours taillé un peu au feeling, selon la forme que je voulais lui donner. Le calendrier, bof. Le plus important, c’est d’avoir un bon sécateur bien aiguisé !

  253. C’est vrai que mon laurier a l’air un peu fatigué ces derniers temps. Je vais peut-être essayer de suivre ce conseil de taille après la floraison, même si ça me demande un peu d’organisation.

  254. J’ai toujours entendu dire qu’il fallait tailler « en lune descendante ». Est-ce que ça a un rapport avec le moment de la floraison, ou c’est encore une autre histoire compliquée ?

  255. Franchement, je me suis toujours demandé si on ne compliquait pas un peu les choses. Le laurier, c’est quand même une plante assez robuste non ?

  256. J’ai toujours eu peur de trop tailler et de le regretter. Du coup, je préfère laisser faire, quitte à ce qu’il soit un peu moins « parfait ».

  257. Je n’ai jamais vraiment réfléchi à l’impact de la taille sur la floraison. Je me concentrais surtout sur la forme. Ça explique peut-être pourquoi il est parfois un peu clairsemé…

  258. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle toujours de laurier comme un ornement. C’est aussi une plante qui peut servir en cuisine, et ça, l’article l’oublie complètement !

  259. Tailler après la floraison, d’accord, mais encore faut-il remarquer quand elle a lieu ! Je suis souvent tellement occupé que je loupe ce moment crucial…

  260. C’est bien beau de dire de tailler après la floraison, mais quid des lauriers en pot ? Ils n’ont pas la même vitalité qu’en pleine terre. L’article oublie ce cas de figure.

  261. Moi, ce qui me frappe, c’est le ton moralisateur ! Comme si mal tailler son laurier était une faute grave… Un peu de légèreté, que diable ! C’est juste une plante.

  262. Mouais… « Resplendissant », « dense »… On dirait un argument de vente pour une lessive, plus que du jardinage. Moi, je veux juste qu’il m’offre un peu d’ombre.

  263. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’il faut absolument un laurier « dense et resplendissant ». Le mien est un peu sauvage, et alors ? Il est bien vivant, c’est le principal !

  264. Je me demande si « dense et resplendissant » est vraiment le seul idéal. Mon laurier a des branches qui s’étirent, et j’adore l’ombre qu’elles projettent sur le mur.

  265. Je trouve ça toujours dommage de réduire le laurier à un simple aspect esthétique. Il a une odeur si particulière, un parfum d’été… C’est surtout ça que je recherche.

  266. Catherine Durand

    C’est vrai que la taille, c’est toujours un peu angoissant. J’ai tellement peur de le massacrer ! Peut-être que le laisser pousser tranquillement, c’est plus sûr finalement.

  267. Je me demande si cette règle de taille après floraison s’applique à toutes les variétés de lauriers. Le mien ne fleurit presque jamais, je me base donc sur quoi ?

  268. C’est marrant, on dirait que tout le monde a le même modèle de laurier en tête. Le mien, je le taille surtout pour qu’il ne déborde pas sur le chemin, question de praticité, pas vraiment d’esthétique.

  269. Je suis d’accord sur le fond, mais je trouve l’article un peu alarmiste. Mon laurier a survécu à bien pire qu’une taille mal timée, franchement !

  270. « Dense et resplendissant », ça me rappelle les magazines de déco! Moi, je me soucie surtout de son utilité : il coupe bien le vent sur ma terrasse, c’est ça qui compte.

  271. Après la floraison, oui, mais si on a un laurier en pot, est-ce que ça change quelque chose ? Le mien est moins vigoureux qu’en pleine terre, je me demande si la taille doit être plus douce.

  272. Je me demande si l’article prend en compte l’âge du laurier. Un jeune plant a peut-être besoin d’une taille plus spécifique pour bien démarrer ?

  273. Jacqueline Durand

    Moi, j’ai surtout peur de le tailler et de ne plus avoir de fleurs du tout ! C’est quand même dommage de se priver de leur parfum.

  274. Moi, ce qui me préoccupe, c’est surtout la formation. Faut-il le guider dès le début pour qu’il prenne une belle forme, ou est-ce qu’on peut rattraper le coup plus tard ?

  275. Moi, je me demande si la taille, c’est pas aussi une question de patience. La nature fait bien les choses, non? Pourquoi toujours vouloir intervenir?

  276. L’article est un peu simpliste, non ? J’ai toujours taillé mon laurier un peu au feeling, quand il me gênait, et il a toujours bien repoussé. Peut-être suis-je chanceux !

  277. Moi, je suis surtout embêté par les maladies. J’ai plus peur de ça que de la taille. Le mien a chopé une saleté l’année dernière, et ça, ça le ruine bien plus qu’un coup de sécateur maladroit.

  278. Le laurier, c’est un peu la madeleine de Proust de mon jardin. Le tailler me replonge en enfance, quand mon grand-père me montrait comment faire. Plus qu’une question de date, c’est un rituel.

  279. Franchement, le laurier chez moi, il se débrouille très bien tout seul. Je l’arrose quand il fait vraiment sec, et c’est tout. Jamais taillé, jamais malade, il a l’air content comme ça.

  280. Pour moi, le laurier, c’est surtout un brise-vue. Tant qu’il cache ce que je veux cacher, je ne me pose pas trop de questions sur la taille. Priorité à l’intimité !

  281. C’est vrai que j’ai jamais pensé à la taille après la floraison. J’ai toujours fait ça au printemps, un peu par habitude. Va falloir que je teste cette méthode !

  282. Finalement, je me dis que chacun fait comme il le sent. J’ai des lauriers qui ont vu le sécateur et d’autres non. Les deux prospèrent.

  283. Tailler après la floraison ? Ça change tout ! J’ai toujours fait avant, pensant bien faire… J’espère que ce n’est pas trop tard pour le mien cette année.

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