Voir ses herbes aromatiques dépérir au premier froid est une frustration courante. Chaque année, le même cycle se répète : des plants vigoureux au printemps qui peinent à survivre l’hiver. Le secret pour des massifs robustes ne réside pas dans un soin particulier, mais dans le calendrier.
Jean-Luc Moreau, 58 ans, enseignant à la retraite vivant près de Nantes, a mis des années à le comprendre. « J’étais convaincu qu’il fallait tout planter au printemps. Mes aromatiques me prouvaient chaque hiver que j’avais tort, jusqu’à ce que je change radicalement de méthode. »
Suivant le conseil d’un vieux pépiniériste, il a tenté de planter son thym, son romarin et sa sauge en septembre. Les plants, profitant d’une terre encore chaude, ont développé un système racinaire dense avant les premières gelées, leur permettant de traverser l’hiver sans aucune difficulté.
L’explication est simple : en septembre, le sol a emmagasiné la chaleur de l’été, ce qui stimule l’enracinement. Combinée au retour de l’humidité, cette condition permet aux plantes de s’établir solidement. Elles sont ainsi mieux armées pour affronter le froid et repartir vigoureusement au printemps suivant.
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Conseils pour l'entretien optimal des plantes de jardin, en lien avec la culture des herbes aromatiques
Cette méthode a un triple avantage. Pratique, elle allège le calendrier de plantation printanier. Économique, elle évite de devoir racheter des plants chaque année. Enfin, elle garantit l’accès à des herbes fraîches pour la cuisine, même au cœur de la saison froide, un véritable atout bien-être.
Pour optimiser cette approche, privilégiez les aromatiques vivaces et ligneuses comme la sarriette ou la lavande. Pour les variétés plus fragiles comme la ciboulette, une plantation en pot sur un balcon abrité du vent reste une excellente alternative pour prolonger leur durée de vie.
Ce principe de plantation automnale s’applique d’ailleurs au-delà des aromatiques. De nombreux bulbes à floraison printanière, arbustes et plantes vivaces bénéficient de cette mise en terre précoce. C’est une façon de travailler avec les cycles naturels plutôt que de lutter contre eux pour un jardinage plus intuitif.
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Astuces d'aménagement qui peuvent s'appliquer à la création d'un espace pour cultiver des herbes aromatiques en intérieur
Adopter ce calendrier modifie en profondeur les habitudes du jardinier. On passe d’une logique de « tout faire au printemps » à une vision plus étalée et stratégique. Cette approche favorise des jardins plus résilients, demandant moins d’interventions et offrant une satisfaction durable tout au long de l’année.
Planter ses aromatiques en septembre est donc une astuce simple mais fondamentale pour garantir leur robustesse. N’attendez plus le printemps pour agir, la terre chaude de l’automne est votre meilleure alliée pour un massif parfumé et verdoyant, même en plein hiver.
Intéressant! Planter en septembre, ça change des conseils habituels. J’imagine que ça donne aux plantes le temps de s’enraciner avant le vrai froid. À tester dans mon jardin l’année prochaine.
Bof. Encore un article qui commence bien et s’arrête net. J’espère qu’il y a une suite, parce que là, on ne sait absolument pas pourquoi septembre serait la date magique.
Ah, septembre… ça me rappelle les rentrées et la fin des récoltes. Si ça marche pour les aromatiques, tant mieux ! Perso, je replante toujours au printemps, question d’habitude. On verra bien.
Septembre, hein ? Mouais… J’ai toujours pensé que c’était trop tard. J’ai plus de succès avec un semis protégé en mars, puis repiquage quand il fait plus doux.
Jean-Luc me parle ! J’ai aussi des aromatiques qui font la tête. Hâte de connaître son secret, parce que pour l’instant, c’est juste une introduction… et la frustration monte !
Mouais, septembre, ça me fait penser aux jours qui raccourcissent… Un peu déprimant pour le jardin, non ? J’ai peur que mes petites pousses n’aient pas assez de soleil.
Septembre ? Drôle d’idée ! Ma grand-mère disait toujours : « À la Sainte-Catherine, tout bois prend racine ». C’est fin novembre, ça… Peut-être une variante locale ?
Septembre, ça me parle. L’été est fini, moins de parasites, la terre est encore chaude. Peut-être que Jean-Luc a raison, ça vaut le coup d’essayer!
C’est marrant, Jean-Luc me fait penser à mon voisin. Il a toujours des idées « à contre-courant » et ça marche souvent. Je me demande quelles variétés il privilégie pour une plantation si tardive…
Jean-Luc, un enseignant à la retraite… Ça sent la méthode rigoureuse testée et approuvée, ça. J’attends de voir si ça demande beaucoup d’entretien, parce que l’idée de ne rien faire, ça me …
Un retraité près de Nantes… C’est peut-être un microclimat, non ? Chez moi, en Lorraine, septembre, c’est déjà le brouillard et la grisaille ! J’attends la suite avec intérêt, mais je reste sceptique.
Septembre, ça me fait penser à la rentrée, au retour des vacances… Planter des aromatiques, c’est une façon de prolonger l’été, non ? Un petit goût de soleil dans l’assiette même quand il fait gris.
Nantes, septembre… ça sent bon la terre et les dernières tomates du jardin ! Si Jean-Luc a une astuce, je suis preneur, marre de racheter du persil tous les ans.
Septembre, les aromatiques ? C’est le mois de la confiture chez moi, pas du jardinage ! J’espère que Jean-Luc a une bonne recette, parce que le temps, c’est une denrée rare.
Des aromatiques en septembre ? J’y avais jamais pensé. Mon truc, c’est plutôt de rentrer les pots à la maison avant les gelées.
Septembre pour les aromatiques, c’est comme semer son gazon en automne : on se dit qu’on est fou, mais au printemps, on est le roi du quartier. Reste à savoir quelles variétés choisir.
Septembre, le mois où je ressors mes pulls et où la terrasse commence à se vider. Des aromates ? Bof, je me contenterai de ceux du supermarché cet hiver. Moins d’entretien, même si le goût…
Jean-Luc a raison, c’est le bon moment ! La terre a profité de l’été, elle est prête. Moins besoin d’arroser aussi.
Planter en septembre… pourquoi pas ? Finalement, c’est peut-être une question de bon sens paysan oublié. J’espère juste que l’article donnera des conseils concrets, pas juste une vague idée.
Plantez en septembre, dites-vous ? Moi, je me bats déjà pour sauver mes tomates cerises jusqu’à octobre… on verra bien ce que Jean-Luc a à nous dire.
Le cycle infernal des aromates qui meurent, je connais ! Septembre, ça me semble tôt, mais après tout, la nature a ses raisons. Curieux de savoir quelles variétés il privilégie.
Septembre, c’est déjà le repli pour moi. L’idée d’anticiper l’hiver avec des aromates, ça a un côté réconfortant, comme préparer son nid. À voir si l’investissement en vaut la chandelle.
Jean-Luc me parle. Mon père disait pareil, « l’automne prépare le printemps ». J’attends de voir les détails, mais ça résonne en moi.
Septembre pour les aromates ? Ça me fait penser à la rentrée des classes, un nouveau départ… pour le jardin ! J’aime bien cette idée de continuité.
Moreau, un enseignant retraité… Ça sent la méthode et la patience. J’imagine des rangées impeccables et des étiquettes soignées. Un peu trop carré pour moi, mais intéressant.
Un prof retraité qui parle aux plantes, ça me fait sourire. J’espère qu’il va pas nous sortir un cours magistral sur la photosynthèse !
Septembre, les aromates… ça sent le coup marketing des pépiniéristes, non ? Faut bien écouler les stocks avant l’hiver.
Un enseignant à la retraite ? Ça me rassure presque. Il a sûrement du temps à revendre, contrairement à moi. J’espère que sa méthode est adaptable aux jardiniers du dimanche.
Septembre… ça me rappelle surtout la fin des bonnes récoltes. L’idée de replanter, ça demande un effort. Faut vraiment que ça vaille le coup en goût.
Septembre, planter des aromatiques… Ça me rappelle les confitures que ma grand-mère préparait à cette période. Un peu de thym, de laurier… L’idée de prolonger l’été dans l’assiette, c’est séduisant.
Moreau, c’est un nom de vin, non ? Espérons que ses conseils soient aussi bons qu’un bon verre. L’hiver, un peu de vert, ça change la vie.
Septembre ? C’est l’époque où je ramasse les feuilles mortes, pas où j’en remets en terre. J’espère que M. Moreau a une bonne astuce contre les limaces.
Des aromatiques en septembre ? Drôle d’idée. J’ai toujours cru que c’était le moment de préparer le jardin au repos, pas de le relancer. Ça vaut peut-être le coup d’essayer, qui sait.
Plantez en septembre, dites-vous ? Chez moi, c’est surtout le mois des dernières tomates. J’ai du mal à imaginer cohabitation.
Septembre pour les aromatiques, tiens donc. Moi, c’est surtout l’odeur du bois qui crépite dans la cheminée qui me vient à l’esprit. Un peu de romarin séché, ça parfume bien le feu.
Septembre, replanter… Je me demande si le sol est encore assez chaud pour que ça prenne bien. L’idée d’avoir du basilic frais en novembre me tente, mais j’ai peur de gaspiller des plants.
Septembre, replanter des aromatiques ? Bof. Je préfère utiliser mes herbes fraîches tout l’été et puis passer aux versions séchées en hiver. C’est plus simple, non ?
J’ai toujours pensé que les aromatiques, c’était comme les maillots de bain : on les range en septembre. L’idée de replanter, ça me paraît un peu contre-nature, comme vouloir retenir l’été.
Des aromatiques en septembre? Mouais, ça me fait penser aux radis que je sème en août pour avoir une récolte tardive. C’est toujours un peu la roulette russe avec le temps.
Moi, septembre, c’est plutôt le mois des conserves. Mais des aromatiques fraîches en plein hiver, ça changerait du persil séché. À tenter, peut-être, avec quelques plants faciles.
Septembre pour les aromatiques, ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours que la terre d’automne avait un goût spécial, plus sucré pour les plantes. Peut-être qu’elle avait raison.
Moreau, Moreau… Ça me rappelle un prof de maths bourru. Espérons que son truc marche mieux que ses équations ! Je vais peut-être essayer avec la menthe, elle est tellement envahissante, ça ne me coûtera pas grand-chose.
Septembre, c’est le mois de la rentrée, pas du jardinage intensif ! Mais bon, si ça permet d’égayer les plats d’hiver… pourquoi pas quelques brins de ciboulette ?
Jean-Luc Moreau, un nom à retenir. J’ai toujours cru qu’il fallait forcer sur l’engrais. Le calendrier, voilà peut-être la clé.
Intéressant. Moi, j’ai surtout l’impression que mes aromatiques survivent grâce à l’oubli. Celles que je néglige le plus sont souvent les plus fortes !
Curieux timing… Planter en septembre, ça veut dire renoncer à la récolte d’automne, non ? Un sacrifice pour le futur, à voir si ça en vaut la chandelle.
L’histoire de Jean-Luc, c’est touchant. On sent le jardinier qui a tâtonné, comme nous tous. Peut-être qu’il a trouvé le truc, qui sait ?
Tiens, la retraite, ça doit laisser du temps pour observer les herbes. J’espère juste que ce n’est pas une lubie de jardinier du dimanche !
C’est marrant, j’ai toujours pensé que le secret c’était plus l’exposition que la date.
Ça sent le vécu, l’histoire de Jean-Luc. J’imagine bien la satisfaction de gratter la terre en janvier pour trouver une pousse verte. Ça change des soucis de retraite.
Mouais, septembre… ça me fait penser aux jours qui raccourcissent et à l’humidité. J’ai peur que mes plants ne pourrissent plus qu’autre chose.
Bof, encore un article qui donne des leçons. Chaque jardin est différent, son sol, son microclimat… Ce qui marche pour Jean-Luc ne marchera pas forcément chez moi.
Septembre ? Ça me rappelle les confitures de mûres de ma grand-mère. Elle disait toujours : « faut cueillir avant les premières pluies ». Peut-être que Jean-Luc a le même feeling avec ses herbes.
Planter en septembre… C’est pas bête. La terre est encore chaude, ça doit faciliter l’enracinement avant les vraies gelées. Je vais peut-être essayer avec la sauge, elle a toujours du mal chez moi.
Septembre pour les aromatiques ? Ça me rappelle mon père. Il disait toujours que c’était le mois des « dernières chances » au jardin. Un peu mélancolique, mais ça marchait souvent.
Septembre, c’est la rentrée… et aussi le rempotage ? L’idée me plaît, ça donne un objectif positif à cette période souvent déprimante. Un petit projet vert pour contrer la grisaille.
Plutôt que septembre, je me demande si la clé n’est pas d’abord la variété des aromatiques. Certaines sont tellement plus résistantes que d’autres !
Septembre… ça me fait penser à l’odeur de la terre après la récolte des tomates. Peut-être que Jean-Luc a raison, une deuxième vie pour le potager avant l’hiver.
Septembre, tiens, tiens… Ça me fait penser aux odeurs d’automne, aux feuilles qui craquent sous les pieds. Est-ce que c’est vraiment la saison idéale pour penser au renouveau, même aromatique ?
Septembre, planter des aromates ? Drôle d’idée. Moi, je pensais plutôt à rentrer les géraniums. L’avantage, c’est qu’au moins, ils sont à l’abri.
Septembre pour les aromatiques, ça veut dire moins d’arrosage pendant les vacances d’été ! Un argument de fainéant, mais ça me parle.
Septembre, c’est curieux. J’ai toujours pensé que c’était le moment de préparer le jardin au repos, pas de relancer la machine. À essayer, peut-être, sur une petite parcelle…
Septembre, planter les aromatiques… J’ai toujours eu l’impression que le soleil de juillet leur donnait plus de goût. Est-ce qu’elles sont aussi parfumées quand on les plante à cette période ?
Septembre ? C’est peut-être vrai, mais mes aromatiques en pot survivent très bien sur le rebord de la fenêtre. Un peu moins de soleil, mais pas de gel.
Septembre, vraiment ? J’ai toujours cru qu’il fallait leur laisser le temps de s’installer avant les fortes chaleurs. Un redémarrage à l’automne, ça me paraît risqué, non ?
Jean-Luc me fait penser à mon grand-père, toujours à contre-courant. Planter en septembre, c’est défier la nature ! Mais après tout, pourquoi pas ? La curiosité l’emportera, je vais tenter l’expérience.
Septembre ? Bof. Mon souci, c’est plutôt les limaces qui boulottent tout, peu importe la saison. Une histoire de calendrier ne changera rien à leur appétit.
Jean-Luc a peut-être raison, mais mes sols argileux, c’est une autre paire de manches. L’eau stagne, tout pourrit.
Mouais, septembre… ça me rappelle surtout la rentrée et la fin des barbecues. J’ai du mal à associer ça à un renouveau du jardin.
Bizarre, cette idée de septembre… Moi qui me bats contre les mauvaises herbes tout l’été, j’aurais peur de leur donner un coup de pouce en même temps qu’aux aromatiques.
Moreau, un enseignant à la retraite… ça sent la méthode testée et approuvée, pas le coup de tête. Ça me donne confiance, tiens.
Septembre, tiens… ça me parle. Moins de boulot au jardin qu’au printemps, plus le temps de chouchouter les aromates. Bonne idée, je retiens !
Tiens, c’est marrant, mon voisin fait pareil et ses herbes sont magnifiques. Je pensais qu’il avait la main verte, mais c’est peut-être juste une question de timing.
Intéressant. Moi qui pensais que l’exposition était cruciale, voilà qu’on me parle de timing. Hâte de lire la suite pour comprendre le pourquoi du comment.
Septembre… c’est la saison des confitures chez moi. On a déjà du mal à tout gérer, alors rajouter du jardinage… L’idée est bonne, mais le temps, lui, n’est pas extensible.
C’est amusant, j’ai toujours pensé qu’il fallait les dorloter au printemps pour qu’elles poussent bien. Peut-être que moins d’attention est la clé ?
Planter en septembre, dites-vous ? Chez moi, c’est surtout l’époque où je ramasse les dernières tomates avant les premières gelées. J’espère que Jean-Luc a une astuce pour les protéger du froid, ses aromates.
L’histoire de Jean-Luc me rappelle mon grand-père. Il disait toujours que la nature a son propre rythme, pas le nôtre. Peut-être qu’il y a du vrai là-dedans.
Septembre pour les aromates ? Drôle d’idée. Moi, c’est plutôt le moment où je me concentre sur les chrysanthèmes pour fleurir les tombes. On verra ce que Jean-Luc raconte ensuite.
Enseignant retraité, hein ? J’espère qu’il a des preuves solides, parce que les « j’ai toujours fait comme ça » au jardin, ça ne marche pas toujours.
Des aromatiques en septembre ? Mouais… moi, j’ai toujours peur qu’elles ne prennent pas racine avant l’hiver. Le printemps, c’est la renaissance, elles ont plus de temps.
Retraité, près de Nantes… ça sent la douceur de vivre et le jardin bien entretenu. J’espère que ses conseils sont adaptés à mon climat plus continental.
Septembre, ça me laisse perplexe. J’ai toujours cru qu’il fallait les replanter chaque année, ces aromatiques. Un peu comme des annuelles, quoi.
Nantes, c’est vrai que le climat aide. Ici, en Alsace, c’est une autre paire de manches. J’ai peur que la neige vienne tout aplatir avant que ça pousse.
Intéressant ! Moi, ça me parle. J’ai remarqué que ce qui pousse tout seul est souvent plus fort que ce que je bichonne. La nature fait son affaire, finalement.
Septembre… Ça veut dire qu’il faut anticiper, ne pas attendre le dernier moment. Un peu comme préparer les confitures avant l’hiver, une façon de se sentir prêt.
Septembre, c’est le moment où je vide mes jardinières d’été, pas où j’en replante. Ça me semble un peu contre-intuitif, mais je suis curieux de lire la suite.
Plutôt que de me battre contre l’hiver, l’idée de travailler avec lui, ça me plaît. Voir si ça donne des herbes plus résistantes, c’est un défi intéressant.
L’automne, c’est la saison des potirons chez moi. Planter des herbes, j’avoue que ça ne me serait pas venu à l’esprit. À voir si ça vaut le coup de changer mes habitudes.
Ah, encore un « secret » de jardinier ! On verra bien ce qu’il raconte. J’espère juste qu’il parle d’autre chose que du thym et du romarin, les seuls qui survivent toujours chez moi.
Plutôt que viser la survie hivernale, je préfère miser sur une explosion de saveurs au printemps. L’hiver, c’est repos pour le jardinier, non ?
Septembre, tiens donc. Ma grand-mère disait toujours « à la Sainte-Catherine, tout bois prend racine ». C’est en novembre, ça. Il y a peut-être un juste milieu.
Des aromates robustes… Moi, je cherche surtout à ce qu’ils parfument! Est-ce que la saveur est au rendez-vous en plantant en septembre? C’est ma question.
C’est marrant, moi je pensais que le plus important c’était la qualité de la terre. Septembre, ça me semble un peu secondaire.
Mouais, septembre… Ça me rappelle la rentrée des classes, pas vraiment les mains dans la terre. Mais bon, si ça marche, pourquoi pas essayer ? On verra bien si mes semis d’automne seront plus courageux que les autres.
Intéressant ! Moi qui pensais qu’il fallait les chouchouter avec des voiles d’hivernage. Peut-être que la clé, c’est de les laisser s’endurcir naturellement dès le départ.
Bof, ça sent l’astuce de vieux jardinier qui marche peut-être dans sa région et pas ailleurs. J’attends de voir les détails avant de me lancer.
Peut-être que ça marche pour lui, mais mes hivers sont rudes ici.
Un enseignant à la retraite… Ça sent le monsieur qui a du temps à revendre pour bichonner ses plantes. Moi, avec mon boulot, je doute pouvoir m’y consacrer autant. On verra la suite.
Septembre, c’est le moment où je ramasse les tomates… J’ai du mal à imaginer replanter autre chose, ça me paraît contre-nature.
Plutôt que de me battre contre l’hiver, je me demande si je ne devrais pas simplement accepter que mes aromates se reposent aussi. La nature fait bien les choses, non ?
Septembre… ça me rappelle les conserves de tomates de ma mère. Jamais pensé à planter des aromates à ce moment-là. L’idée d’anticiper l’hiver me plaît, mais j’espère que ça n’impactera pas le goût.
Plantez en septembre… Mouais, ça me fait penser aux chrysanthèmes qu’on met sur les tombes. L’idée d’un truc qui survit, c’est pas hyper joyeux pour des aromates.
Septembre, l’odeur des feuilles mortes… Planter, ça fait penser à un nouveau départ avant l’hiver. Un peu comme ranger sa maison pour l’hibernation. Curieux de voir si ça marche vraiment.
Des aromates qui survivent ? Ça me rappelle ma grand-mère qui disait que tout se joue à la Sainte-Catherine. Septembre, c’est peut-être son équivalent moderne pour les herbes.
Nantes… Tiens, comme chez ma tante. Elle a toujours un jardin incroyable. Le secret, c’est peut-être juste ça : l’adaptation au climat local.
Septembre, c’est le mois de la rentrée, pas celui du jardinage chez moi ! L’idée de repenser complètement mon calendrier me perturbe un peu. À voir si ça vaut vraiment le coup.
C’est marrant, j’ai toujours pensé que le printemps était LA saison pour les aromates. Changer mes habitudes, ça demande une sacrée remise en question… et de la logistique !
Septembre pour les aromates ? Drôle d’idée. Moi, je pensais plutôt les rentrer à l’intérieur, en pot, pour l’hiver. Ça me paraît plus logique.
J’ai toujours boudé les conseils de jardinage « tout fait ». Chaque jardin est unique, non ? Peut-être que septembre marche chez lui, mais chez moi… j’attends de voir.
L’idée me séduit : un septembre actif pour un hiver parfumé ! Adieu les herbes rachitiques, peut-être. Je vais tenter le coup avec le thym, il est increvable de toute façon.
Nantes, un enseignant à la retraite… ça sent la méthode douce et le savoir empirique. Je me demande quelles aromatiques sont concernées exactement. Le persil, ça ne marche pas, en général.
Intéressant ! Moi, je replante mes aromatiques dans des pots plus grands en septembre. Ça leur donne un coup de boost avant le froid, plutôt que de les mettre directement en terre.
J’ai toujours pensé que le goût des aromates d’été était incomparable. L’idée de les faire survivre à tout prix, est-ce que ça en vaut vraiment la saveur ?
Mouais… des aromates en hiver, c’est sympa, mais est-ce que ça change vraiment ma vie? J’avoue que je préfère acheter un petit bouquet frais de temps en temps.
« Je les ai plantés en septembre »… ça me rappelle ma grand-mère. Elle avait toujours du romarin à disposition, même sous la neige. Ça ne doit pas être si sorcier finalement.
Septembre, tiens, tiens… Et si c’était surtout une histoire de sol bien préparé *avant* septembre, plutôt que la date elle-même qui importe ? J’ai toujours privilégié ça.
Plutôt que me focaliser sur le « quand », je me demande si le « comment » ne serait pas plus crucial. Une bonne exposition, un drainage parfait… ça change tout, quelle que soit la saison.
Le titre est alléchant, mais j’attends de voir la liste des aromates concernés. Toutes ne se valent pas face au froid. La ciboulette, par exemple, c’est mission impossible chez moi.
Bof, moi, le jardin, c’est surtout pour le plaisir des yeux. Si j’ai du basilic en novembre, tant mieux, sinon… ça pousse au printemps !
Septembre… c’est le mois où je range tout et où j’ai la flemme. Planter des aromates ? Honnêtement, ça ne me motive pas beaucoup. Je préfère profiter des dernières belles journées.
Septembre pour les aromates ? Drôle d’idée. Moi, j’ai toujours eu plus de succès en bouturant au printemps. Un peu de patience et c’est reparti !
Les aromates en hiver, c’est un peu comme retrouver un parfum d’été en plein mois de décembre. Ça réchauffe le cœur! J’essaierai septembre, qui sait, peut-être que Jean-Luc a raison.
Intéressant, cette idée de septembre. Moi, je me bats surtout contre les limaces au printemps ! Peut-être qu’en décalant, je les éviterais…
Septembre, l’entre-deux… L’idée est séduisante, mais mon terrain argileux me fait douter. Est-ce que ça ne risque pas de noyer les racines avec les pluies d’automne ?
Ça sent la sagesse paysanne, cette histoire de septembre. Un truc simple, qui va à contre-courant. J’aime bien, ça donne envie d’y croire.
Mouais, encore un « secret » de jardinier… J’ai l’impression qu’on nous prend un peu pour des quiches parfois. On verra bien la suite de l’article.
L’idée de septembre me parle. Mon grand-père disait toujours : « La nature sait mieux que nous ». Peut-être qu’elle a juste besoin de temps pour s’installer avant l’hiver.
Septembre ? Ça me rappelle les rentrées scolaires. Un nouveau départ pour le jardin aussi, peut-être… À essayer, pourquoi pas ?
J’ai toujours mis ça sur le compte de la malchance, moi, les aromatiques qui crèvent.
Septembre ? Tiens, c’est marrant, je pensais justement à refaire ma lasagne… Si ça peut me donner du basilic frais plus longtemps, je suis preneur !
Bof, septembre… J’ai déjà du mal à gérer la rentrée des enfants, alors le jardin attendra l’année prochaine.
Je suis toujours méfiante avec les « secrets ». Mais bon, un retraité nantais, ça sonne pas mal. Je vais lire la suite, on verra bien s’il y a une astuce concrète derrière tout ça.
Jean-Luc, un nom qui sent bon la terre. Septembre, c’est la fin des tomates, pas le début d’un nouveau truc. Curieux de voir son explication.
Septembre… ça me fait penser aux derniers barbecues. Des herbes fraîches pour accompagner les grillades, c’est tentant. J’espère que l’article explique comment les protéger du gel.
Enseignant à la retraite près de Nantes ? Ça sent la recette de grand-mère revisitée. J’espère qu’il ne va pas nous parler que de mildiou…
Plutôt que de « secret », je parlerais d’observation. Planter en septembre, c’est laisser le temps au sol de faire son œuvre avant le gel. Simple bon sens, non ?
« Secret », « calendrier »… Ça me fait penser aux recettes de cuisine un peu pompeuses. J’espère qu’il y a plus que des mots derrière cette histoire de septembre.
Un enseignant à la retraite qui parle de « secret »… Ça me fait penser à un devoir de vacances bien préparé. J’espère qu’il expliquera pourquoi septembre et pas octobre, par exemple !
« La malchance », je connais ça. Le thym citronné qui part en sucette, la ciboulette qui jaunit… Je me demande si ce « secret » est vraiment à ma portée, moi qui oublie déjà d’arroser mes plantes d’intérieur.
Mouais, encore un article qui promet la lune. Moi, j’ai juste envie de persil frais en décembre, pas d’un jardin d’Eden. On verra bien si M. Moreau a une vraie solution, ou si c’est juste de la théorie.
Septembre, c’est vrai que j’y pense jamais pour les aromatiques. Toujours au printemps, comme tout le monde. Peut-être que c’est ça mon erreur, à essayer de forcer la nature.
Septembre… Tiens, c’est original comme idée. D’habitude, je suis plus préoccupé par la rentrée scolaire que par mon carré potager. À voir si ça vaut le coup de se remettre au boulot après les vacances.
Septembre… Ça me rappelle quand ma grand-mère replantait la menthe. Elle disait que ça lui donnait le temps de « s’installer » avant l’hiver. Un peu comme nous, en fait.
Nantes… Ça me rappelle les hivers doux. Peut-être que ce qui marche là-bas ne fonctionnera pas chez moi, dans le Nord. L’idée est séduisante, mais il faut adapter.
L’avantage de septembre, c’est que la terre est encore chaude. Mes semis d’épinards adorent ça, pourquoi pas le thym ? À tester, mais j’avoue, ça change des chrysanthèmes de la Toussaint.
Le coup de la retraite près de Nantes, ça sent l’article sponsorisé. Mais bon, si ça peut éviter de racheter du romarin chaque année… je suis preneur.
J’ai toujours pensé que le printemps était le seul moment pour planter. Septembre, ça déstabilise un peu mes habitudes. On verra bien !
J’ai toujours eu l’impression que les aromatiques étaient les plantes les plus fragiles du jardin. Si septembre peut changer ça, pourquoi pas ?
Intéressant. Ma mère a toujours dit qu’il fallait écouter les anciens. Peut-être qu’elle avait raison, finalement.
Je suis curieux de savoir quelles aromatiques sont concernées. Toutes ne se valent pas face au froid. La ciboulette, oui, mais la sauge, c’est une autre histoire.
Moi, les aromatiques, c’est un peu comme des animaux de compagnie : je les aime, mais je les oublie souvent. Si septembre pouvait me simplifier la vie, je dis banco.
Moi, septembre, c’est plutôt le mois du désherbage frénétique avant la grisaille. Planter, je n’y aurais jamais pensé. Curieux de lire la suite.
Moreau, un nom qui résonne avec jardinage… Espérons que son secret soit moins ésotérique que son patronyme.
Septembre… ça me rappelle le retour des vacances et la rentrée des classes. Pas vraiment le moment où j’ai envie de jardiner, mais bon, pourquoi pas essayer de changer les habitudes ?
Septembre ? Bof. J’ai déjà assez à faire avec les récoltes et la préparation du potager pour l’hiver. Rajouter une plantation, ça me fatigue d’avance.
Des aromatiques robustes, c’est le rêve. Mais j’ai peur du mildiou qui rôde en automne. L’humidité nantaise, c’est pas toujours une amie.
Mouais, encore un article qui me dit que je fais tout de travers. J’ai toujours planté au printemps, et ça marche… plus ou moins. Mais bon, ça ne coûte rien d’essayer, hein ?
Plutôt intrigant. Planter en septembre pour avoir des aromates en hiver, c’est un peu contre-intuitif. Hâte de voir si cette méthode marche mieux que mes tentatives désespérées de rentrer le basilic à l’intérieur.
Tiens, planter en septembre… Ça me rappelle les conseils de ma grand-mère, qui disait que la nature savait mieux que nous. On verra bien si ça marche aussi pour moi !
Plutôt que la date, c’est surtout la variété qui compte, non ? Le thym citron par exemple, il tient mieux que le basilic, quelle que soit la saison.
Septembre… c’est le mois où je replante toujours ma ciboulette. Elle repart de plus belle après la canicule, ça doit être le même principe. À tester !
L’article commence bien, mais ça manque cruellement d’explications ! Pourquoi septembre, au juste ? Le monsieur a peut-être une bonne raison, mais on ne la connaît pas encore.
J’ai toujours pensé que le printemps était LA saison pour les aromates. L’idée de septembre me perturbe un peu, mais la curiosité l’emporte. On verra bien si ce monsieur a raison.
Jean-Luc de Nantes… ça sent le vécu ! Moi, les conseils qui viennent du terrain, je les écoute. On verra la suite, mais ça me parle déjà plus que les articles théoriques.
Retraité aussi, tiens donc. J’imagine bien le tableau : moins de pression, plus de temps pour observer son jardin. Peut-être que son secret, c’est juste ça : l’attention.
Nantes, septembre… ça sent la rentrée, la fin des vacances, pas forcément les plantations ! J’attends de voir les arguments, car instinctivement, je dirais que la terre est fatiguée après l’été.
L’automne, c’est la saison des chrysanthèmes chez moi, pas des aromates! J’ai peur que le sol soit trop humide pour la plupart.
Mouais, encore un article qui promet la lune. J’espère qu’il va parler de la terre et de son amendement parce que juste la date, ça me paraît un peu léger.
Jean-Luc a raison sur un point : l’hiver est impitoyable. Mes aromatiques, je les bichonne, mais rien n’y fait, elles rendent l’âme. Peut-être que le secret est ailleurs, moins dans le soin que dans le timing.
Septembre, pourquoi pas ? Ma grand-mère disait toujours qu’il fallait écouter la nature. Si Jean-Luc a trouvé le truc, je suis prêt à essayer. Après tout, qu’est-ce que j’ai à perdre ?
Nantes, c’est pas le sud… J’espère qu’il précise les aromates qui marchent. Le thym, oui, mais le basilic, j’ai des doutes.
Septembre, ça me rappelle surtout le potager de mon père. Il disait que c’était le moment de préparer la terre pour l’année suivante, pas forcément de planter.
Bof, les aromates, ça me rappelle surtout les plats de ma mère. Si ça marche en septembre, tant mieux, mais moi, c’est surtout le goût qui compte !
J’ai toujours pensé que l’automne, c’était pour rentrer les récoltes, pas pour semer. Mais l’idée d’avoir du persil frais en décembre… ça me titille.
Plantez en septembre ? Drôle d’idée. Moi, j’ai toujours rempoté mes préférées pour les rentrer au chaud. Ça marche pas mal.
Enseignant retraité, près de Nantes… ça sent l’expérience, pas le coup marketing. J’imagine bien le monsieur dans son jardin, à observer ses plantes. Simple et efficace, peut-être.
L’histoire de Jean-Luc, ça me parle. Mon jardin, c’est un peu mon refuge. Si planter en septembre peut me prolonger ce plaisir, je dis banco. On verra bien!
Plutôt que de me battre contre le gel, je vais peut-être laisser faire. L’idée de planter à contre-courant, ça change. On dirait presque une rébellion potagère !
Je suis curieux de savoir quelles variétés supportent bien le froid. Planter en septembre, c’est intéressant, mais il faudrait un guide des aromates adaptés à cette méthode.
Le coup de l’enseignant retraité, c’est malin pour nous donner confiance. Mais sans détails sur les variétés, c’est un peu léger, non ?
Le « secret » de Jean-Luc, c’est peut-être juste qu’il a un sol qui draine bien. Le mien est argileux, j’imagine déjà la soupe en novembre…
Ça me rappelle mes tentatives ratées. Je vais peut-être enfin comprendre pourquoi ! L’échec a du bon, si on en tire des leçons. Hâte de lire la suite.
Septembre, c’est la rentrée, pas les semis ! J’ai toujours associé cette période aux chrysanthèmes, pas au basilic. À voir si ça tient ses promesses, mais j’ai des doutes.
Mouais, encore un « secret » de jardinier. J’attends de voir la suite de l’article avant de me lancer. J’ai déjà assez de mauvaises surprises comme ça.
Intrigant ! Moi qui pensais qu’il fallait forcément forcer la dose d’engrais à l’automne pour booster la résistance. Septembre, c’est contre-intuitif, j’aime bien.
C’est marrant, moi j’ai toujours pensé que c’était la lune qui jouait un rôle. Septembre, pourquoi pas, si ça marche… Je vais tester sur un petit coin, on verra bien.
Septembre… ça veut dire moins de boulot au printemps, non ? Si ça peut me simplifier la vie, je suis preneur. Marre de courir après le temps.
Septembre… ça me parle. Les jardineries liquident leurs stocks, on peut faire de bonnes affaires et donner une seconde chance à des plants un peu fatigués.
Septembre ? L’odeur des feuilles mortes et la fin des barbecues… Des aromates, ça me mettrait un peu de soleil dans la grisaille.
Plante en septembre, dis-tu ? Tiens, ça me rappelle la rentrée des classes et le goût des soupes chaudes. Des aromates, ça parfumerait les plats d’automne.
Septembre… Ça me fait penser aux dernières tomates du jardin. Planter des aromatiques, c’est une bonne idée pour prolonger un peu le plaisir des saveurs fraîches avant l’hiver.
Septembre, l’entre-deux saisons… J’imagine que ça laisse le temps aux racines de s’installer avant le vrai froid. Peut-être que ça marche mieux que de tout brusquer au printemps.
Le « secret » du calendrier, c’est un peu simpliste, non ? La qualité de la terre, l’exposition… ça compte aussi, beaucoup même. Septembre tout seul ne fera pas de miracle si le sol est pourri.
Septembre… La fin des vacances et le retour au calme. Un peu comme un dernier cadeau avant l’hiver, offrir un nouveau départ à mes herbes. J’aime l’idée.
Intéressant cette idée de septembre. Moi, c’est surtout le thym qui me pose problème. Il finit toujours par faire la tête en hiver. Peut-être que ce monsieur a raison.
Septembre… ça me fait penser aux confitures. Peut-être que des aromates plus forts en hiver, ça serait top pour relever le goût des fruits d’automne. Une idée à creuser pour les desserts.
Septembre, ça sent la rentrée, le crayon neuf… et la fin de la saison des mojitos. Peut-être que replanter la menthe à ce moment-là, c’est lui offrir une retraite paisible pour mieux repartir l’an prochain.
Septembre, c’est le moment où je récolte les graines de mes aromatiques préférées. Les replanter ? Pourquoi pas, mais j’ai toujours préféré repartir de mes propres semis.
Septembre pour les aromatiques ? Bof, moi je suis plutôt du genre à les laisser se débrouiller. Si elles survivent, tant mieux, sinon… on en rachète au printemps !
Septembre pour les aromatiques ? Drôle d’idée. Moi, j’ai toujours pensé qu’il fallait attendre le printemps, avec le retour du soleil.
Septembre, tiens donc… Moi qui pensais que le jardinage, c’était surtout une affaire de feeling et d’observation, pas de date précise. J’attends de voir la suite de l’article avant de me lancer.
Mouais, septembre… ça ne me convainc pas à 100%. Ma grand-mère disait toujours qu’il faut écouter la terre, pas le calendrier. J’attends la suite de l’article pour voir si l’explication est convaincante.
Septembre, l’époque où je rempote mes plantes d’intérieur avant de rallumer le chauffage. Ça pourrait marcher pour les aromatiques en pot aussi, non ? L’article me donne envie d’essayer, au moins pour le romarin.
Septembre ? Honnêtement, j’ai toujours eu l’impression que c’était le mois du rangement, pas du jardinage actif. Curieux de voir comment ça marche pour les aromates.
J’ai toujours pensé que la nature faisait ce qu’elle voulait, surtout l’hiver. Septembre, c’est peut-être un bon compromis entre « trop tard » et « trop tôt » pour ces petites plantes.
Septembre, ça me rappelle surtout les dernières tomates du jardin… et la déprime de voir l’été s’en aller. Planter des aromates à ce moment-là, c’est peut-être une belle façon de prolonger un peu la saison.
Septembre ? L’année dernière, j’ai divisé ma ciboulette à cette période. Elle a redémarré du tonnerre au printemps. Peut-être que ce monsieur a raison finalement.
Septembre, la rentrée… et si on rentrait aussi ses aromates ? L’idée d’anticiper l’hiver au jardin me plaît bien. Moins de culpabilité au printemps si ça ne pousse pas.
Septembre… ça me fait penser aux conserves de tomates et de poivrons qu’on prépare pour l’hiver. Peut-être que planter les aromates à ce moment-là, c’est une autre façon de faire des provision…
Septembre… le mois où je replante la menthe envahissante. Peut-être que c’est le même principe pour les autres aromates ? Une seconde chance avant l’hiver.
Planter en septembre ? Drôle d’idée. J’ai toujours cru que les aromatiques, c’était du costaud. Peut-être que ça marche mieux avec des variétés spécifiques…
Septembre… ça sent déjà la soupe au potiron chez moi. Des aromates frais pour relever tout ça, ce serait top ! Je vais tenter le coup, on verra bien.
Septembre, c’est aussi le moment où je rentre mon basilic. L’idée de le laisser dehors, même planté, me stresse. Je préfère la solution facile du pot sur le rebord de la fenêtre.
Septembre, c’est le moment où je me dis que la saison est finie. Repiquer des aromates ? J’avoue que j’aurais plutôt tendance à acheter une botte au marché en cas de besoin.
Septembre, c’est le mois des confitures chez moi. L’idée d’ajouter des aromates frais à mes préparations me séduit plus que d’avoir un massif décoratif tout l’hiver.
Septembre, pour moi, c’est plutôt le moment de récolter les graines pour l’année prochaine. Planter, c’est un peu contre nature à cette période, non ? On verra bien si l’expérience de ce monsieur est concluante.
Septembre, pour moi, c’est synonyme de lasagnes. L’origan frais fait toute la différence. Si planter maintenant garantit ça en continu, je signe !
Septembre et aromates ? Ça me rappelle surtout le parfum des dernières grillades. Peut-être que ce monsieur a raison, mais j’ai peur du travail que ça représente.
Septembre, c’est le retour à la maison après les vacances. L’idée de recréer un petit coin de verdure avant l’hiver, ça donne envie de prolonger l’été un peu.
Septembre, c’est souvent la course. Alors, prendre le temps de planter, c’est un luxe que je m’accorde rarement. Mais l’idée d’avoir du thym frais pour mes tisanes tout l’hiver.
L’idée de planter en septembre me plaît car ça me donnerait une occupation de jardinage douce pour l’automne, avant le grand repos hivernal. Un peu comme une transition en douceur.
Plutôt que de replanter, je me demande si je ne devrais pas simplement mieux protéger mes plants existants. Paillage épais, voile d’hivernage… Ça me semble plus logique.
Plutôt que septembre, je me demande si le type de sol n’est pas plus déterminant. Chez moi, c’est la terre argileuse qui tue tout, peu importe la saison.
L’idée est séduisante, mais je me demande si c’est valable partout. Mon jardin est exposé plein nord, septembre ou pas, ça ne change pas grand-chose.
J’ai toujours pensé que les aromatiques, c’était comme les souvenirs d’été : on en profite tant que ça dure, et on passe à autre chose quand l’automne arrive.
Moreau a peut-être raison, mais je me méfie des généralités. Chaque jardin est un microcosme, avec ses propres règles.
Mouais, septembre… Chez moi, c’est surtout le mois des araignées qui tissent leurs toiles partout. Mes aromatiques, elles, s’arrangent comme elles peuvent.
J’ai toujours pensé que le problème venait de moi, pas de la saison. Je suis peut-être juste une mauvaise jardinière !
Intéressant… Moi, je pensais qu’il fallait les rentrer à la maison, mes aromatiques ! En pot, bien sûr.
Moreau, un enseignant à la retraite… Ça sent la sagesse acquise avec le temps. Je vais peut-être tenter le coup, après tout, qu’est-ce que j’ai à perdre ?
Septembre, c’est déjà la rentrée… et je suis déjà en train de penser à l’hiver ? Bof, je préfère savourer les dernières tomates du jardin. On verra ça plus tard.
Septembre pour les aromatiques? Ça me rappelle les bonnes résolutions qu’on oublie vite. J’espère que ça sera plus efficace!
Des aromatiques robustes en hiver, c’est tentant, mais je me demande quelles variétés sont les plus adaptées à cette plantation tardive. Le persil, par exemple, tient-il le coup ?
Des massifs d’aromatiques tout l’hiver ? Ça me rappelle les promesses qu’on nous fait dans les pubs pour les yaourts « spécial immunité » : on a envie d’y croire, mais…
Septembre, tiens… Ça me fait penser à l’odeur des feuilles mortes et aux soupes chaudes. Planter des aromates à ce moment-là, c’est presque un acte de rébellion contre la mélancolie automnale,…
Moreau, un enseignant à la retraite… J’imagine bien le jardin impeccablement organisé, les étiquettes soignées. Moi, c’est plus « laissez faire la nature », donc… à voir si ça marche chez moi.
Moreau dit « septembre », mais est-ce qu’il prend en compte les hivers différents selon les régions ? Un hiver nantais, c’est pas la même chose qu’en Alsace !
Plutôt septembre ? Drôle d’idée. Moi, j’ai toujours cru qu’il fallait attendre le printemps, comme tout le monde. On verra bien si ça vaut le coup de changer mes habitudes.
Moi, septembre, c’est le mois où je replante les fraises. Des aromates, jamais pensé ! Curieux de voir son explication.
Septembre ? Ça me paraît logique finalement. Les plants ont le temps de s’enraciner avant les grands froids, contrairement à une plantation printanière un peu précipitée.
Moreau a peut-être raison… mais le vrai secret, c’est surtout d’avoir un terrain qui draine bien. J’ai tout essayé, et ça, ça change tout.
Septembre, c’est la rentrée, pas vraiment le jardinage dans ma tête. Mais si ça peut éviter de racheter du thym chaque année… ça vaut peut-être le coup d’essayer, juste pour voir.
Le coup de la rentrée et du jardinage en même temps, c’est vrai que c’est un peu le bazar dans la tête. Mais l’idée de parfumer les plats d’hiver avec ses propres herbes, ça me parle beaucoup plus que les salades d’été, en fait.
Moi, j’ai toujours pensé que les aromatiques, c’était comme les souvenirs de vacances : ça sent bon, mais ça finit par s’estomper avec l’automne. Peut-être que Jean-Luc a trouvé le moyen de prolonger l’été un peu plus longtemps.
Jean-Luc Moreau a peut-être raison, mais je parie qu’il a un microclimat sympa près de Nantes. Chez moi, dans le Nord, septembre c’est déjà l’annonce des gelées… ça change tout.
Si c’est l’histoire d’un type qui jardine bien, tant mieux pour lui. Moi, je préfère acheter mes herbes au marché.
Intéressant… Moi qui me focalise toujours sur le printemps, je me demande si je ne passe pas à côté de quelque chose. Un petit coup de pouce de la nature en douceur, avant le choc de l’hiver.
C’est marrant, j’ai toujours pensé que le printemps était le seul moment pour ça. On dirait que je me suis trompé.
Plutôt que de me casser la tête, je vais peut-être juste pailler généreusement mes plants actuels cet automne. On verra bien si ça suffit.
J’ai l’impression que c’est une promesse un peu trop belle. Les aromatiques vivaces survivent, les autres, je doute que ça change grand-chose.
Mouais, l’idée est séduisante, mais je me demande si c’est pas un peu trop tard par chez moi, même en septembre. J’ai peur que les plants n’aient pas le temps de s’installer avant les premières vraies nuits froides.
Plutôt que de replanter, je vais tenter le semis direct en septembre cette année. Moins de manutention et peut-être plus de résistance. À voir !
Septembre, c’est le mois des conserves chez moi. L’idée de planter des aromates, ça me rappelle l’été, alors que je me prépare déjà à l’hiver. Drôle de timing, mais pourquoi pas après tout ?
Ça me rappelle ma grand-mère, toujours à contre-courant. Elle disait que le jardin écoute, il faut juste parler la bonne langue. Septembre, peut-être sa « langue » pour les aromates ?
J’ai toujours eu l’impression de courir après le temps au printemps. Planter en septembre, ça me libérerait l’esprit au moment où j’en ai le plus besoin. Une idée à creuser, merci Jean-Luc !
C’est rigolo, j’ai toujours vu septembre comme la fin de quelque chose, pas le début d’un jardin aromatique !
Plutôt que de tout recommencer, je vais peut-être essayer avec quelques plants seulement, pour voir si ça marche chez moi.
Septembre pour les aromates ? Drôle d’idée. Chez moi, c’est plutôt le moment de rentrer le bois pour la cheminée, pas de penser au jardin.
Mon balcon orienté plein sud cramait tout l’été. Peut-être que septembre, avec un soleil plus doux, ça leur conviendrait mieux, finalement.
Intéressant. Moi qui rentre de vacances en septembre, j’aurais bien besoin d’une occupation douce pour me remettre dans le bain. Le jardinage, ça peut être pas mal.
Plutôt que de me lancer dans de nouvelles plantations, je vais essayer de protéger un peu mieux celles qui sont déjà là. Un voile d’hivernage, ça peut faire la différence.
Jean-Luc me parle. Mon père faisait pareil. Toujours décalé, mais ça marchait. Vais peut-être tenter la sauge en septembre, elle crève toujours chez moi.
Septembre pour les aromates… Mouais. J’ai peur qu’ils n’aient pas assez de temps pour s’installer avant le gel.
Jean-Luc a l’air d’un bon vivant. Le coup de la retraite et du jardin, ça sent le bonheur simple. J’imagine bien l’odeur de la terre et du thym en septembre… presque un parfum de nostalgie.
L’idée de défier la nature m’amuse. Septembre, c’est la rentrée, le retour au sérieux… Y ajouter un pari jardin, ça pimente la routine. On verra bien si ça prend!
J’ai toujours pensé que le printemps était LE moment. Mais si Jean-Luc a raison, ça change tout le rapport au jardin. À voir si ça marche dans ma terre argileuse…
Jean-Luc me rappelle mon grand-père. Il avait toujours une astuce bizarre qui fonctionnait. Je vais tester avec du romarin, il est increvable, même si je le plante en plein hiver.
Septembre ? Ça me rappelle les confitures de fin de saison. Peut-être que les aromates, c’est pareil, il faut les cueillir… et les planter au bon moment.
Septembre, c’est la fin de la saison des tomates, pas le début d’autre chose ! J’ai du mal à imaginer, mais après tout, pourquoi pas essayer avec quelques pieds de persil.
Planter en septembre ? Drôle d’idée. J’ai toujours cru qu’il fallait les laisser se reposer après la floraison estivale, pour qu’elles survivent à l’hiver.
C’est marrant, ça. Moi, je me bats surtout contre la menthe qui envahit tout, pas contre les aromates qui crèvent ! Peut-être que ça les boosterait, une plantation en septembre, tiens.
L’idée est intéressante, mais est-ce que ça marche vraiment partout ? J’habite en montagne, les hivers sont rudes… J’ai peur que ce soit trop tard.
Septembre… ça me fait penser aux dernières grillades. Des aromates bien frais à ce moment-là, c’est un vrai luxe. Si ça permet d’en profiter plus longtemps, je dis banco!
Si Jean-Luc le dit… Moi, j’ai toujours rempoté mes aromatiques en pot à l’automne. Peut-être que les mettre en pleine terre, ça change tout ?
Intéressant… Moi, je suis plutôt du genre à acheter mes aromates en godet au supermarché, au fur et à mesure. Ça me déculpabilise de les voir mourir !
Mouais, encore une « méthode miracle »… J’attends de voir la suite de l’article avant de me lancer. Mon basilic, lui, il a déjà rendu l’âme, septembre ou pas.
Mouais… Septembre, ça veut dire que je dois anticiper l’année prochaine dès maintenant ? J’avoue, j’ai du mal avec la planification au potager. On verra bien ce que l’hiver réserve à mes survivantes.
Jean-Luc a l’air de savoir de quoi il parle. Moi, j’ai toujours pensé que le secret, c’était surtout la variété. Certaines herbes sont plus costaudes que d’autres, c’est tout.
J’ai toujours pensé que le secret, c’était le drainage. La terre lourde, c’est la mort des aromatiques en hiver, peu importe quand on les plante.
Septembre pour les aromatiques ? Ça me rappelle les rentrées, l’envie de prolonger l’été… et de ne pas gaspiller les derniers rayons de soleil. Pourquoi pas, après tout ?
Enseignant à la retraite, hein ? Ça sent l’expérience patiemment acquise. Moi, je me demande si ça marche avec le thym, qui est déjà bien coriace chez moi.
Septembre… Tiens, ça me fait penser aux vacances qui se terminent. Planter en pensant à l’hiver, c’est un peu mélancolique, non ?
L’idée de planter en septembre me plaît bien, ça évite de culpabiliser en voyant les plants dépérir à l’automne. Peut-être que ça marche aussi dans ma région plus froide ?