Michelin monte au créneau : comment baisser les particules d’usure des pneus — le plan en préparation

La pollution automobile nous préoccupe tous, mais un danger invisible est souvent oublié : les particules fines issues de l’usure des pneus. Discrètes mais nocives pour la santé et l’environnement, elles représentent un véritable défi. Un grand fabricant français, Michelin, propose un plan concret pour les réduire.

Cyrille Roget, 52 ans, directeur de la communication scientifique à Clermont-Ferrand, suit ce dossier depuis des années. « Nous devions rendre visible l’invisible. Quantifier précisément ces émissions était la première étape indispensable pour pouvoir ensuite les réduire efficacement à la source », explique-t-il avec conviction.

L’équipe travaillait sur le sujet depuis 2005, mais manquait d’un outil de mesure fiable. L’arrivée de la norme Euro 7 a accéléré le développement. Ils ont alors conçu et testé un prototype unique capable d’aspirer et d’analyser les particules en temps réel, validant enfin leur approche.

Le dispositif aspire les particules près des roues. Un système de filtres les trie par taille, puis un analyseur thermique identifie leur composition exacte. Cela permet de distinguer sans erreur la gomme du pneu des résidus de la route ou des freins, offrant une mesure d’une précision inégalée.

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Aborde un autre aspect de la réglementation automobile

Au-delà de l’enjeu environnemental de la pollution des sols et des eaux, la réduction de ces particules a un impact direct sur la santé publique. Pour le fabricant, c’est aussi une nécessité pour se conformer à la future norme Euro 7 et conserver son leadership technologique.

Les informations recueillies sont cruciales pour développer de nouvelles gommes plus résistantes. L’objectif est de modifier la composition même des pneus pour qu’ils émettent moins de particules, tout en optimisant la performance et la sécurité. Une conduite plus souple peut aussi limiter l’usure.

Cette approche transforme la vision de la pollution automobile, qui ne se limite plus au pot d’échappement. Elle impose une réflexion globale sur l’impact de chaque composant du véhicule, des freins à la carrosserie, inscrivant l’industrie dans une démarche d’éco-conception plus complète.

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Traite d'un sujet lié à la santé et au bien-être, comme l'article sur la pollution

À long terme, ces innovations pourraient mener à une nouvelle classification des pneus, informant les consommateurs sur leur impact environnemental. Cela influencerait les habitudes d’achat et pousserait l’ensemble du marché vers des produits plus vertueux, transformant les standards de l’industrie du transport routier.

En s’attaquant à la pollution par l’usure des pneus, le fabricant ne se contente pas de suivre la réglementation, il la devance. Cette initiative montre qu’il est possible d’innover pour une mobilité plus propre, ouvrant la voie à des pneumatiques plus respectueux de notre environnement.

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338 réflexions sur “Michelin monte au créneau : comment baisser les particules d’usure des pneus — le plan en préparation”

  1. Michelin qui s’y colle, c’est bien. Mais j’espère que ça ne se traduira pas par des pneus hors de prix, et que la solution sera accessible à tous, pas juste aux voitures de luxe.

  2. On parle toujours des pots d’échappement, mais l’usure des pneus, c’est vrai que j’y pense jamais. Espérons que leur plan soit efficace sans rendre les pneus moins sûrs.

  3. Bof, encore un truc qu’on va culpabiliser. On paie déjà assez cher les pneus, qu’ils ne viennent pas nous rajouter une couche avec ça.

  4. C’est bien que Michelin s’attaque au problème, mais j’ai peur que ça ne soit qu’une goutte d’eau. Le vrai problème, c’est le nombre de voitures sur les routes.

  5. Michelin, c’est la qualité, ils ont les moyens de trouver quelque chose. J’espère juste que ça ne va pas impacter la durée de vie des pneus, sinon, c’est juste déplacer le problème.

  6. Cyrille Roget… ça sent le sérieux. J’espère qu’ils vont aussi se pencher sur la composition des pneus, pas juste sur leur usure. Moins de pétrole, ça serait déjà un bon début.

  7. Ça me rassure un peu de voir un industriel s’en préoccuper, mais j’ai toujours l’impression que c’est après coup. On répare les pots cassés au lieu de construire quelque chose de plus durable dès le départ.

  8. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les performances du pneu. Sécurité avant tout, non ? Qu’ils n’oublient pas ça en cherchant à réduire la pollution.

  9. Moi, je me demande si on va vraiment sentir la différence. C’est bien de réduire, mais est-ce que ça compensera l’augmentation constante du poids des voitures électriques ?

  10. Je me demande si une partie de la solution ne viendrait pas aussi de notre manière de conduire. Accélérations brusques, freinages tardifs… ça doit jouer énormément sur l’usure, non?

  11. J’ai toujours détesté l’odeur des pneus neufs. Ça me rappelle que c’est un truc artificiel, pas vraiment « nature ». J’espère que leurs recherches iront dans le bon sens pour ça aussi.

  12. C’est marrant, j’ai l’impression que le bruit des pneus sur l’autoroute est devenu plus fort ces dernières années. Est-ce que c’est lié à ça, inconsciemment ?

  13. Finalement, on commence à parler de ce qui compte vraiment. On se focalise trop sur les émissions du pot d’échappement et pas assez sur ce qui reste quand la voiture est « propre ».

  14. J’ai toujours pensé que l’odeur de brûlé après un freinage d’urgence, c’était mauvais signe. Content de voir qu’on s’en préoccupe.

  15. Je me demande si ça va se traduire par une augmentation du prix des pneus. Parce que, au final, c’est toujours le consommateur qui paie l’addition.

  16. J’ai hâte de voir ce que ça va donner dans le temps. J’espère que ce ne sera pas juste un coup de pub et qu’ils iront vraiment au bout de leur démarche.

  17. Michelin qui s’y colle, c’est un peu comme si McDo se mettait à faire des salades bio. J’attends de voir les résultats avant de crier victoire.

  18. Franchement, tant qu’on n’aura pas une vision globale du cycle de vie des pneus, ça restera du bricolage. On parle de l’usure, mais quid de la production et du recyclage ?

  19. Michelin, c’est le guide rouge, les étoiles, la gastronomie… Les voir plancher sur ça, ça me fait penser que le problème est vraiment sérieux.

  20. J’espère qu’ils vont aussi s’intéresser à la composition des pneus. On parle de particules, mais de quoi sont-elles faites exactement ? C’est ça qui m’inquiète le plus.

  21. Je me demande si un style de conduite plus souple ne pourrait pas être une partie de la solution, avant même les avancées technologiques. J’ai l’impression de moins user mes pneus en conduisant calmement.

  22. J’espère surtout qu’ils ne vont pas nous pondre des pneus qui s’usent encore plus vite pour être « moins polluants ». Ce serait le serpent qui se mord la queue.

  23. Ça me rassure un peu de voir un acteur majeur s’y pencher. J’espère que ça ne restera pas un projet sur papier et qu’on verra de vraies améliorations sur nos routes.

  24. Je suis plus inquiet pour mes enfants qui jouent près des routes. On parle de santé publique, là. J’espère que leurs solutions seront rapides et efficaces.

  25. Clermont-Ferrand, tiens donc ! Ça me rappelle mon enfance. J’espère que cette fois, ils ne vont pas juste faire un truc pour la région, mais penser à tous les conducteurs.

  26. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on s’attaque enfin à un problème concret. J’ai toujours eu l’impression qu’on parlait beaucoup d’émissions, mais peu de cette poussière noire qu’on respire tous les jours.

  27. Moi, ce qui me chiffonne, c’est le timing. On parle d’environnement maintenant, mais avant ? Ça me donne l’impression d’un coup de com’.

  28. Moi, je me demande si l’impact réel est si important que ça comparé à d’autres sources de pollution. On a l’impression qu’on cherche la petite bête maintenant.

  29. Moi, je me demande surtout si le prix des pneus va encore augmenter avec ces nouvelles technologies. On va finir par rouler avec des galettes !

  30. Michelin qui s’y met, c’est bien, mais j’ai surtout l’impression qu’on réagit parce que la loi nous y oblige. L’innovation forcée, ça marche rarement.

  31. Finalement, on se penche sur ce qui reste de nos voitures, après qu’elles aient disparu ! C’est un peu comme nettoyer les cendres après l’incendie.

  32. Je me demande si les voitures électriques, plus lourdes, ne vont pas aggraver le problème de l’usure des pneus. On remplace une pollution par une autre ?

  33. J’ai toujours trouvé ironique qu’on glorifie les voitures « propres » alors que nos routes se couvrent de leurs restes. C’est un peu comme balayer la poussière sous le tapis.

  34. J’ai toujours pensé que le bruit des pneus sur l’asphalte était le son de la liberté. Maintenant, je réalise que c’est aussi le bruit de notre propre destruction. Drôle d’ironie.

  35. C’est rassurant de voir un acteur comme Michelin prendre le taureau par les cornes. J’espère juste que ça ne restera pas une initiative isolée.

  36. J’habite à côté d’une autoroute. Je vois la crasse noire sur les murs de ma maison. Si Michelin peut faire quelque chose, tant mieux. Ça me touche directement, au quotidien.

  37. Je trouve ça bien que Michelin s’attaque à ça, mais on se focalise beaucoup sur les voitures. Les camions et les bus, ils ne polluent pas aussi avec leurs pneus ?

  38. J’ai toujours cru que l’usure des pneus était inévitable, comme les freins qui s’usent. Est-ce qu’on va finir par payer au kilomètre, non pas pour le carburant, mais pour la « poussière de pneu » qu…

  39. Je me demande si les pressions de gonflage optimales, c’est vraiment quelque chose que les gens vérifient souvent… C’est peut-être là qu’il faut commencer.

  40. Michelin qui communique, c’est bien. Mais les pneus qui durent plus longtemps, c’est mieux pour mon porte-monnaie. L’environnement, c’est secondaire.

  41. Michelin qui s’y colle, c’est bien beau. Mais est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour le cycliste qui respire ces particules à chaque feu rouge ? J’ai des doutes.

  42. Si Michelin s’y met, c’est qu’il y a vraiment un problème. J’espère que leur solution sera abordable, sinon, ça ne servira à rien.

  43. Tiens, encore un truc qu’on va nous vendre comme « nouveau » alors que ça devrait être la base depuis le début. J’espère que ça ne va pas justifier une augmentation du prix des pneus.

  44. L’usure des pneus, c’est un truc qui me fait toujours penser aux routes de campagne où je jouais enfant. La poussière de pneu, c’était l’odeur de l’été, finalement.

  45. Michelin s’y met enfin. J’espère qu’ils vont partager leurs recherches avec les autres fabricants. La pollution, ça ne s’arrête pas aux frontières d’une marque.

  46. J’espère que ce n’est pas juste une question de marketing vert. On verra bien si leurs nouveaux pneus tiennent vraiment la route, et plus longtemps, surtout.

  47. Michelin s’attaque aux particules, c’est bien. Mais moi, je me demande surtout si ça va rendre mes trajets en moto plus sûrs par temps de pluie. L’adhérence, c’est ma priorité.

  48. Les pneus, c’est comme les chaussures. On ne pense jamais à l’impact avant qu’ils soient usés. Et là, poubelle… mais où vont toutes ces particules ? Ça fait réfléchir.

  49. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur la durée de vie des pneus. Si on réduit les particules, est-ce qu’on devra les changer plus souvent ? Ça reviendrait au même, non ?

  50. Moi, je me demande si on ne devrait pas encourager plus le covoiturage et les transports en commun. Agir à la source, ça me semble plus efficace.

  51. Je me demande si on ne devrait pas repenser la composition des routes. Un revêtement plus doux pourrait réduire l’abrasion des pneus, non ?

  52. Ces particules, on ne les voit pas, c’est vrai. Mais quand je lave ma voiture, l’eau est toujours noire. C’est sûrement ça, non ? Un peu flippant.

  53. C’est bien beau de s’attaquer aux pneus, mais faudrait peut-être aussi regarder du côté de la conduite des gens. Accélérations et freinages brusques, ça doit pas aider…

  54. Tiens, Michelin s’y met. J’espère que ça ne va pas se traduire par des pneus encore moins performants en hiver, parce que là, ça devient dangereux.

  55. Moi, je me demande si nos voitures sont vraiment adaptées à nos besoins. On utilise des SUV énormes pour aller chercher le pain, forcément ça use les pneus.

  56. Tiens, marrant de voir Michelin communiquer là-dessus. J’espère qu’ils ne vont pas nous sortir une « solution » qui rendra les pneus moins recyclables après. Le problème serait juste déplacé.

  57. Michelin communique, c’est bien. Mais le problème, c’est aussi les voitures électriques, plus lourdes, qui usent encore plus les pneus… On ne parle jamais de ça !

  58. J’ai toujours senti cette odeur de pneu chaud après un freinage appuyé. C’est rassurant de voir qu’on se penche enfin sur ce que ça implique vraiment.

  59. Michelin qui se bouge, tant mieux. Mais j’espère qu’ils vont pas nous vendre ça comme un argument marketing pour des pneus plus chers, alors que le problème est bien plus profond.

  60. Je me souviens de mon grand-père qui disait que les pneus d’avant duraient une éternité. Peut-être qu’on devrait s’inspirer de ça, non?

  61. Je suis content qu’on s’y intéresse enfin. Ma fille est asthmatique, et je me demande si ces particules n’y sont pas pour quelque chose.

  62. Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça devienne encore une taxe cachée. On va nous faire payer plus cher pour des pneus « écolos », alors que les vrais pollueurs, ils sont où ?

  63. J’espère surtout qu’ils vont pas juste remplacer un problème par un autre. Moins de particules, oui, mais pas au détriment de l’adhérence sur route mouillée, hein !

  64. Je me demande si on ne se concentre pas trop sur le symptôme. Le problème, c’est pas juste le pneu, c’est notre dépendance à la voiture.

  65. Finalement, quelqu’un s’attaque à ce problème! J’ai toujours pensé que c’était un angle mort de la pollution automobile. Espérons que ça aboutisse à quelque chose de concret.

  66. C’est bien joli tout ça, mais ça va changer quoi pour le cycliste qui respire ces particules à chaque feu rouge ? J’attends de voir des résultats concrets sur la qualité de l’air.

  67. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de Michelin. C’est bien qu’ils agissent, mais j’aurais préféré entendre ça d’un organisme indépendant. On manque de recul.

  68. Michelin qui communique là-dessus, ça me fait penser aux pubs pour les lessives qui « lavent plus blanc ». L’intérêt, c’est surtout pour leur image, non ?

  69. L’article est un peu court, mais ça me rassure de voir qu’on s’occupe enfin de ça. J’ai l’impression qu’on a toujours regardé ailleurs.

  70. J’espère que ce plan inclura une prime à la reprise des pneus usagés, comme pour les voitures. Ça inciterait vraiment au recyclage.

  71. Je me demande si on ne pourrait pas imaginer des revêtements routiers qui absorbent ces particules au lieu de juste se concentrer sur le pneu lui-même. Une approche plus globale serait bienvenue.

  72. Je suis curieux de voir si ce plan prendra en compte les différences d’usure selon les régions. Un pneu ne s’use pas pareil en montagne ou en plaine.

  73. Je me demande si l’avenir n’est pas dans des pneus qui durent vraiment plus longtemps, même si c’est plus cher au départ. On changerait moins souvent, au final.

  74. C’est marrant, moi je me demande surtout si on va vraiment sentir la différence à l’usage. Parce que bon, des promesses, on en entend souvent…

  75. Moi, ce qui m’inquiète, c’est si ça va impacter la sécurité. Est-ce qu’un pneu « écologique » aura la même adhérence sur route mouillée ? C’est ça, la vraie question.

  76. Finalement, on parle des pneus! J’ai toujours trouvé étrange qu’on se focalise autant sur les émissions directes et si peu sur cette pollution « invisible ».

  77. Michelin qui s’y colle, c’est bien. J’espère que ce sera pas juste du greenwashing et qu’ils vont vraiment changer leur façon de faire. On verra bien.

  78. Franchement, je suis content que Michelin prenne le problème à bras le corps. Ma grand-mère habite à côté d’une autoroute, j’espère que ça lui apportera un peu de répit.

  79. Bof, encore un truc qui va probablement augmenter le prix des pneus. J’espère qu’ils penseront aux petits budgets, sinon ça va être compliqué.

  80. Bof, ça sent la culpabilisation du consommateur. On va nous dire qu’on conduit mal pour justifier l’usure excessive… alors que c’est peut-être la qualité des routes qui est en cause ?

  81. Moi, ce qui me frappe, c’est que Michelin communique là-dessus. C’est qu’il doit y avoir une pression réglementaire forte. On ne fait jamais rien par hasard.

  82. Personnellement, je me demande si ce plan va réellement toucher les véhicules les plus anciens. Ce sont souvent eux qui polluent le plus, pneus compris.

  83. Tiens, Michelin s’y met. J’espère qu’ils vont pas juste faire des pneus plus durs qui glissent sous la pluie, ça serait contre-productif pour tout le monde.

  84. Je me demande si ce plan prendra en compte les spécificités des différentes régions. Un pneu qui s’use vite en montagne, c’est pas la même chose qu’en plaine…

  85. J’espère que Michelin va collaborer avec les fabricants de revêtements routiers. Agir sur les deux bouts de la chaîne, ça me semble logique.

  86. Michelin qui communique, c’est bien beau, mais j’attends de voir des chiffres concrets. On parle de quoi en pourcentage de réduction ? Et sur quelle durée ?

  87. Michelin, c’est la tradition française. J’espère qu’ils trouveront une solution sans sacrifier la tenue de route. On a déjà assez de stress sur la route !

  88. Moi, je me demande si ça va changer quelque chose pour les cyclistes et les piétons, ceux qui sont vraiment au ras du sol et respirent tout ça. C’est à eux qu’il faut penser en priorité.

  89. C’est bien joli tout ça, mais je me demande si on ne s’attaque pas à la mauvaise source. Ne faudrait-il pas d’abord revoir le poids des voitures ? Toujours plus grosses, toujours plus lourdes.

  90. Moi, je me demande si ça va pas finir par coûter une blinde ces pneus « écolos ». Pour les petits rouleurs, ça va être un sacré budget !

  91. J’ai toujours trouvé bizarre qu’on focalise sur les pots d’échappement et qu’on oublie les pneus. C’est comme nettoyer sa maison et jeter la poussière sous le tapis.

  92. Moi, ça me rassure un peu. J’ai toujours eu confiance en Michelin. J’espère qu’ils vont réussir à trouver un juste milieu entre sécurité et écologie.

  93. J’ai l’impression qu’on découvre un peu l’eau chaude. On savait quand même que les pneus s’usaient, non ? J’espère juste qu’ils ne vont pas inventer un pneu increvable qui pollue encore plus à fabriquer.

  94. Ça me fait penser aux microplastiques dans l’océan. On en parle moins pour les pneus, mais l’impact est peut-être similaire à terme. Espérons que Michelin trouve une solution durable.

  95. J’espère que ce n’est pas un coup de com’ pour se donner bonne conscience. J’ai surtout peur que la solution ne soit pas à la portée de tous.

  96. En tant que motard, je me demande si ça prend en compte les spécificités des deux-roues. L’adhérence, c’est vital pour nous. J’espère qu’ils n’oublieront pas cet aspect.

  97. Mouais, Michelin… Ils ont bien mis le paquet sur le « made in France » ces dernières années. J’espère que cette initiative va créer des emplois ici, pas délocaliser la production pour réduire les coûts.

  98. Michelin qui s’y met, c’est bien. Mais j’ai une pensée pour les petits fabricants, ceux qui n’ont pas les moyens de la R&D. Vont-ils survivre à cette transition ?

  99. Ça me fait penser aux trajets de mes enfants à l’école. Ils respirent ça tous les jours, au bord du trottoir. J’espère qu’on verra un vrai changement pour eux.

  100. C’est bien joli tout ça, mais je me demande si ça va pas surtout augmenter le prix des pneus… Mon budget auto est déjà bien serré.

  101. J’ai l’impression qu’on se focalise toujours sur le symptôme. Et si on encourageait vraiment le vélo et les transports en commun ?

  102. Si ça peut enfin calmer les crises d’angoisse de ma femme à chaque fois qu’on sort la voiture, tant mieux. Elle est tellement sensible à la pollution.

  103. Ce qui m’inquiète, c’est le manque de transparence sur la composition exacte de ces pneus. Qu’est-ce qu’on respire réellement ?

  104. Je me demande si les pressions de gonflage recommandées sont vraiment optimales pour limiter cette usure. On nous dit tellement de choses contradictoires.

  105. J’ai toujours cru que l’usure des pneus était juste une question de sécurité et de performance. Apprendre que ça pollue, c’est un peu la douche froide.

  106. J’espère que ce plan inclut des solutions pour les véhicules électriques, car on entend souvent dire qu’ils usent plus vite les pneus.

  107. Michelin qui s’y colle, c’est pas étonnant. Ils ont toujours misé sur la durabilité. Espérons que leur solution soit applicable à grande échelle, pas juste un truc pour les voitures de luxe.

  108. Je suis curieux de savoir si ce plan prendra en compte les différences d’usure selon les régions et les types de routes. Un pneu ne s’use pas pareil en montagne qu’en ville !

  109. Mouais, encore un truc qu’on va nous faire payer plus cher au final. La planète, c’est bien, mais mon porte-monnaie d’abord.

  110. Je suis content qu’on se penche sur le problème. Ma fille a des allergies respiratoires, si ça peut améliorer l’air qu’elle respire… je suis pour !

  111. C’est bien beau, les plans, mais j’attends surtout de voir si ça va vraiment changer quelque chose sur le bord de la route. Marre des belles promesses non tenues.

  112. SportifDuDimanche

    Michelin qui s’attaque à ça, c’est bien, mais j’aimerais surtout qu’ils trouvent une solution pour rendre leurs pneus plus silencieux. Le bruit de roulement, c’est une vraie pollution aussi !

  113. Ça me fait penser aux microplastiques dans les océans, on découvre toujours de nouvelles sources de pollution insidieuses. On va finir par ne plus savoir quoi faire.

  114. ProvincialeHeureuse

    Roget, un nom à retenir. J’espère qu’il ne s’agit pas juste d’un coup de com’. J’attends de voir si les résultats seront à la hauteur des annonces.

  115. MécanicienRetraité

    J’espère qu’ils vont regarder du côté des pressions de gonflage. J’ai l’impression qu’on roule souvent sous-gonflés sans le savoir et que ça doit jouer pas mal.

  116. InstitutricePassionnée

    Franchement, je me demande si on ne s’attaque pas trop aux symptômes et pas assez à la cause : l’obsession de la voiture individuelle.

  117. C’est fou de réaliser que même nos pneus polluent autant. J’espère qu’ils vont trouver quelque chose, parce que je ne me vois pas arrêter de conduire pour autant.

  118. Baptiste Bernard

    Finalement, on parle de ce truc ! J’ai toujours trouvé ça bizarre qu’on se focalise que sur les gaz d’échappement.

    Michelin ferait bien de penser à la durée de vie de ses pneus avant tout.

  119. Clément Bernard

    Tiens, ça me rappelle quand j’étais gamin et qu’on brûlait nos vieux pneus dans le jardin. On était loin de se douter de tout ça !

  120. Bof, encore un truc qu’on va nous faire payer plein pot, sous prétexte d’écologie. Je parie que le prix des pneus va exploser.

  121. Étienne Bernard

    Je suis curieux de savoir si ce plan prendra en compte les différents types de conduite. Ma façon de conduire en montagne use forcément plus les pneus qu’en plaine.

  122. Michelin qui s’y colle, c’est un peu l’arroseur arrosé, non ? Ils ont quand même une responsabilité dans le problème. J’espère qu’ils vont pas juste maquiller le truc.

  123. Guillaume Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les courses automobiles. Vont-ils revoir les gommes ? Le spectacle risque d’en prendre un coup.

  124. Moi, ce qui me frappe, c’est l’ampleur du problème. On se sent tellement impuissants face à ça, non ? On fait quoi, concrètement, à notre échelle ?

  125. Moi, je pense surtout à tous ces micro-plastiques qui finissent dans l’océan à cause de ça. On parle de santé, mais la planète aussi, elle souffre.

  126. Moi, j’ai surtout peur que cette histoire de particules devienne un nouveau prétexte pour limiter encore plus nos libertés de déplacement.

  127. Moi, ce qui me vient à l’esprit, c’est : est-ce que ce plan inclut un changement dans nos habitudes de consommation ? On achète peut-être trop souvent des pneus neufs…

  128. Personnellement, je me demande si l’amélioration de la qualité des routes ne serait pas une solution complémentaire à explorer. Moins de nid-de-poule, moins d’usure ?

  129. Michelin qui communique là-dessus, ça me rappelle un peu les pubs pour les cigarettes qui parlent de la santé. J’attends de voir les détails, mais je reste méfiant.

  130. C’est bien qu’ils s’en occupent, mais j’espère que le prix des pneus n’explosera pas pour autant. Déjà que c’est une sacrée dépense !

  131. J’espère juste qu’ils vont pas inventer un pneu qui dure 10 ans, mais qui est une catastrophe pour la tenue de route. La sécurité avant tout !

  132. Michelin qui s’y colle, c’est rassurant, mine de rien. Ils ont une réputation à tenir, ça les oblige à proposer des solutions sérieuses, j’imagine.

  133. Sébastien Bernard

    Finalement, on nous parle des conséquences, mais rarement des causes : le poids croissant des voitures, ça joue forcément non ? Des SUV toujours plus gros…

  134. Est-ce qu’on a vraiment besoin de pneus toujours plus performants ? Un retour à des gommes plus simples, moins « sportives », ne réduirait-il pas le problème à la source ?

  135. Bizarre, on parle toujours de Michelin. Les concurrents, ils font quoi ? On dirait qu’ils laissent la patate chaude à un seul acteur. C’est pas très fair-play.

  136. Alexandre Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits garagistes. Si les pneus deviennent hyper-technologiques, seront-ils encore capables de les entretenir correctement ?

  137. Christophe Bernard

    Ce qui m’interpelle, c’est qu’on parle de « plan en préparation ». Combien de temps avant de voir des résultats concrets sur nos voitures ?

  138. Je me demande si ce plan va tenir compte des conditions réelles : les routes abîmées, la conduite nerveuse… Le labo, c’est une chose, la vraie vie, c’en est une autre.

  139. Emmanuel Bernard

    Je me demande si ce n’est pas une façon de nous faire oublier d’autres pollutions bien plus importantes liées à l’industrie du pneu, comme le rejet de solvants lors de la fabrication.

  140. François Bernard

    J’espère surtout que ce plan ne va pas se traduire par une augmentation du prix des pneus. Déjà que ça coûte un bras de les changer!

  141. Grégoire Bernard

    J’espère que ce plan inclura des incitations pour encourager les gens à adopter des pratiques de conduite plus douces. C’est là où tout commence, non ?

  142. Ça me rassure qu’un grand groupe comme Michelin s’attaque au problème. J’espère qu’ils trouveront une solution viable, parce que j’avoue, j’avais jamais vraiment pensé à cette pollution-là.

  143. Franchement, ça me fait penser à ces régimes miracles : est-ce qu’on s’attaque vraiment au fond du problème, ou juste aux symptômes ? On ne remet jamais en question la voiture elle-même.

  144. Les pneus, c’est comme les couches des bébés : on en parle jamais, et pourtant, ça génère une quantité folle de déchets invisibles ! Bravo Michelin de se pencher dessus.

  145. Béatrice Bernard

    Je suis curieux de voir si ce plan va réellement impacter la durée de vie de mes pneus. Changer moins souvent serait déjà un bon début pour moi.

  146. Michelin qui s’y colle, c’est bien. Mais j’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème : moins de particules, mais des pneus qui s’usent plus vite et qu’il faudra remplacer plus souvent ?

  147. Delphine Bernard

    Michelin s’y intéresse, tant mieux. Perso, j’aimerais surtout des pneus plus silencieux. La pollution sonore, ça me tape sur les nerfs au quotidien.

  148. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la composition de ces particules. On parle de caoutchouc, mais il y a quoi d’autre dedans ? Des métaux lourds ? Des perturbateurs endocriniens ? C’est ça qu’il faudrait éclaircir.

  149. Michelin qui s’intéresse à ça, c’est une bonne chose pour leur image, surtout avec la pression écologique actuelle. J’espère juste que ce n’est pas du greenwashing déguisé.

  150. Gabrielle Bernard

    Je suis plus inquiet pour mes enfants qui jouent près des routes. Ces particules, ils les respirent, eux. C’est ça qui me touche.

  151. Hélène Bernard

    J’ai toujours pensé que l’odeur de pneu neuf était bizarre. Peut-être qu’elle est carrément toxique en fait. Ça explique mes maux de tête après avoir changé les pneus.

  152. Isabelle Bernard

    J’ai toujours eu un faible pour Michelin, entreprise française emblématique. J’espère qu’ils trouveront une solution durable, sans pour autant augmenter le prix des pneus de façon excessive.

  153. J’espère qu’ils vont penser aux agriculteurs. Nos tracteurs, c’est pas des vélos, et on use du pneu ! Sans tracteur, pas de bouffe. Faut pas l’oublier.

  154. Je me demande si ce plan prendra en compte le type de conduite. Un freinage brusque génère forcément plus de particules, non ? Faudrait peut-être des campagnes de sensibilisation à l’éco-conduite.

  155. Nathalie Bernard

    Franchement, tant qu’on ne me demande pas de changer ma voiture électrique pour une trottinette, ça va. L’usure des pneus, c’est le revers de la médaille de l’électrique, avec le poids des batteries.

  156. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de pollution des pneus, alors que je lave ma voiture au jet, et toute cette crasse, elle va où ? Personne n’en parle.

  157. Michelin qui s’attaque à ça, c’est bien. Mais j’espère que ce sera pas un énième truc marketing sans impact réel. On verra bien les résultats sur le long terme.

  158. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur le long terme. On nous parle toujours de solutions miracles, mais est-ce que nos enfants respireront un air plus pur grâce à ça ? J’ai des doutes.

  159. On nous parle toujours de la pollution de l’air due aux pots d’échappement. C’est bien de s’intéresser aux pneus, mais j’ai l’impression qu’on découvre le problème maintenant. Il était temps !

  160. Valérie Bernard

    C’est bien joli de s’attaquer aux pneus, mais je parie que ça va surtout se traduire par des pneus plus chers. Et pour quel bénéfice réel ? J’attends de voir.

  161. Tiens, Michelin s’y met. J’espère qu’ils ne vont pas sacrifier l’adhérence sur route mouillée pour ça. La sécurité d’abord !

  162. Brigitte Bernard

    C’est bien joli tout ça, mais est-ce que Michelin va aussi s’attaquer à l’obsolescence programmée de ses propres pneus ? C’est ça la vraie question.

  163. Catherine Bernard

    Michelin s’y met enfin, c’est une bonne chose. J’espère juste que ça ne va pas rendre mes pneus plus bruyants. Le bruit, c’est aussi une pollution.

  164. Michelin qui s’y met, c’est cool. Mais j’espère que ça va pas impacter le confort de conduite. J’aime bien quand c’est moelleux, moi.

  165. Je suis content que Michelin se penche sur le problème, mais je me demande si les autres fabricants vont suivre le mouvement. C’est un effort collectif qui est nécessaire.

  166. Florence Bernard

    L’usure des pneus, c’est un truc auquel on ne pense jamais vraiment. On se concentre sur l’essence, le moteur… Mais c’est vrai que ça finit bien quelque part, ces particules.

  167. Je me demande si ce plan va prendre en compte les différents types de conduite. Un pneu s’use beaucoup plus vite en ville qu’à la campagne.

  168. Huguette Bernard

    J’espère que cette initiative ne va pas créer de nouvelles microplastiques encore plus insidieuses. On remplace un problème par un autre ?

  169. C’est rassurant de voir un grand nom comme Michelin s’engager. J’espère que ça encouragera les politiques à mettre en place des réglementations plus strictes.

  170. Jacqueline Bernard

    Michelin communique, c’est leur job. Mais concrètement, qu’est-ce que je peux faire, moi, à mon niveau ? Changer mes pneus plus souvent ? Conduire moins vite ? On se sent impuissant.

  171. J’ai toujours eu l’impression que l’odeur de pneu neuf était bizarre. Peut-être que c’est ça, en fait, cette pollution invisible dont on parle. Ça me donne à réfléchir pour mes prochains achats.

  172. J’ai toujours pensé que la gomme des pneus recyclés pourrait être réutilisée autrement que sur des terrains de sport. Peut-être que Michelin pourrait explorer cette piste ?

  173. Je suis surtout curieux de savoir si ces nouveaux pneus « anti-particules » vont coûter beaucoup plus cher. Le prix, c’est souvent ça qui fait la différence au final.

  174. Bof, encore une solution technique pour éviter de remettre en question notre dépendance à la voiture. On soigne les symptômes, pas la cause.

  175. Michelin s’intéresse enfin à ce problème ! J’ai toujours trouvé aberrant qu’on se focalise autant sur les émissions à l’échappement sans évoquer l’impact de l’abrasion des pneus.

  176. Guillaume Dubois

    Finalement, on parle de cette poussière noire qui colle partout ! Chez moi, près du périphérique, je passe mon temps à nettoyer la voiture. J’espère qu’ils vont vraiment trouver une solution, ça me changerait la vie.

  177. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la durée de vie des pneus. Si on pollue moins, mais qu’il faut les changer tous les ans, est-ce qu’on y gagne vraiment ?

  178. Je me demande si ce plan prend en compte l’impact du poids croissant des véhicules, notamment les SUV et les électriques. Plus c’est lourd, plus ça use, non ?

  179. J’espère que ce plan Michelin ne va pas complexifier le choix des pneus. Déjà qu’on s’y perd entre les étiquettes et les marques…

  180. Je me demande si les constructeurs automobiles vont collaborer. Les pneus, c’est un élément de sécurité, mais souvent, c’est le dernier truc auquel on pense quand on achète une voiture.

  181. Moi, j’attends de voir comment ils comptent faire. Des promesses, on en entend tellement ! J’espère que ce ne sera pas juste du greenwashing à la mode.

  182. Moi, je me demande si ce plan va toucher les pneus des vélos aussi. On en utilise beaucoup en ville, et ça doit bien user aussi, non ?

  183. On dirait qu’on découvre l’eau chaude ! C’est bien que Michelin s’y mette, mais ça fait des années qu’on sait que ces particules sont un problème.

  184. Je suis curieux de savoir si ce plan inclut une sensibilisation des conducteurs à l’éco-conduite. Nos habitudes au volant ont un impact énorme sur l’usure des pneus, bien plus que la marque parfois.

  185. Michelin qui s’y colle, c’est rassurant. Vu leur réputation, ça pourrait vraiment bouger les choses. J’espère qu’ils penseront aux pays en voie de développement, où les normes sont moins strictes.

  186. Sébastien Dubois

    J’espère qu’ils vont enfin trouver une solution durable. J’ai l’impression qu’on se concentre toujours sur la voiture électrique, mais ça ne règle pas tout.

  187. Franchement, l’idée est bonne mais j’ai peur que ça se traduise par des pneus plus chers. Déjà que le budget auto est conséquent…

  188. Je suis surtout préoccupé par l’impact sur les agriculteurs. Leurs tracteurs utilisent des pneus énormes… ça aussi, ça doit polluer énormément. Il faut y penser.

  189. Alexandre Dubois

    Je me demande si ce plan va vraiment changer quelque chose pour ma santé au quotidien. J’habite près d’une autoroute, la pollution, je la respire tous les jours.

  190. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le cycle de vie complet. On réduit les particules, mais on fait comment pour recycler les pneus après ?

  191. Christophe Dubois

    J’ai toujours pensé que l’odeur de neuf des pneus était bizarrement agréable. Maintenant je me dis que c’est peut-être juste l’odeur de la pollution qui commence…

  192. Pour moi, le vrai problème c’est qu’on accepte de respirer ça sans broncher. On devrait exiger des mesures fortes, pas juste des « plans » en préparation.

  193. Je me demande si on ne cherche pas un coupable facile. L’industrie, certes, mais nous aussi on a notre part. Ralentir un peu, ça userait moins les pneus non ?

  194. François Dubois

    Je me demande si on va pas encore nous sortir un truc compliqué et hors de prix pour « compenser » cette pollution. On pourrait juste encourager le vélo, non ?

  195. Grégoire Dubois

    Ce qui m’interpelle, c’est le silence sur les pneus de poids lourds. On parle des voitures, mais les camions, c’est une autre paire de manches en termes de quantité d’usure.

  196. Michelin qui communique sur le sujet, c’est bien, mais j’attends de voir les actes. J’ai du mal à croire à un réel engagement écologique quand on voit la taille des SUV qui sont si populaires aujourd’hui.

  197. Je me demande si ces particules ne sont pas un peu comme la poussière chez soi : on sait qu’elle existe, mais on vit avec sans trop s’en soucier. C’est peut-être ça le plus grave.

  198. J’ai toujours cru que l’usure des pneus était inévitable, comme une fatalité. Maintenant, je me dis que c’est peut-être une fatalité qu’on peut choisir de ne plus subir.

  199. Tiens, Michelin qui s’y colle. J’espère juste que ce n’est pas une nouvelle excuse pour augmenter les prix. On verra bien.

  200. Béatrice Dubois

    J’espère que ça ne va pas impacter la sécurité routière. Des pneus qui s’usent moins, c’est bien, mais est-ce que ça freine toujours aussi bien sous la pluie ? C’est ça la vraie question.

  201. On dirait qu’on découvre l’eau chaude ! J’ai l’impression que ça fait des années que je vois de la poussière noire sur mes jantes.

  202. Michelin qui se penche sur le sujet, c’est rassurant. On a besoin de leaders pour initier le changement. Espérons que d’autres suivront.

  203. Le titre est prometteur, mais j’ai hâte de lire les détails. Qu’est-ce que Michelin propose concrètement? On attend du solide, pas du greenwashing.

  204. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle enfin de ça ! J’ai toujours pensé que le freinage brusque, c’était pas bon que pour l’essence… la gomme qui part, c’est quand même pas génial.

  205. Gabrielle Dubois

    Moi, j’avoue, je me sens un peu coupable. J’adore conduire vite, et forcément, ça use les pneus. Va falloir que je lève le pied…

  206. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût. Des pneus « verts », c’est bien beau, mais si ça devient un luxe inaccessible, ça ne résoudra rien.

  207. Moi, j’y pense surtout pour mes enfants, qui jouent souvent près de la route. C’est pour eux que j’aimerais des solutions.

  208. J’imagine déjà les routes de campagne grises, moins les flaques irisées après la pluie. Un peu moins de pétrole qui dégouline en douce, quoi.

  209. J’ai surtout l’impression que c’est le serpent qui se mord la queue. On veut des voitures électriques plus lourdes à cause des batteries, et qui usent donc encore plus les pneus.

  210. C’est bien beau de s’attaquer au problème, mais est-ce qu’on a vraiment une idée de la quantité de ces particules ? On parle de « nocif », mais nocif comment ?

  211. Je me demande si on ne cherche pas un bouc émissaire facile. Les pneus, c’est visible, mais qu’en est-il des freins, des routes elles-mêmes ?

  212. On nous vend encore une solution technique à un problème qui est avant tout un problème de société : la sur-utilisation de la voiture individuelle.

  213. Franchement, ça me rassure qu’un géant comme Michelin se penche sur le problème. On a tendance à penser que seuls les petits gestes comptent, mais l’innovation à grande échelle, c’est ça qui peut vraiment faire la différence.

  214. Ça me fait penser à mes trajets à vélo. On se dit qu’on pollue moins, mais on respire toutes ces particules… C’est ironique.

  215. Je me demande si cette initiative va réellement changer nos habitudes d’achat. On choisit souvent le pneu le moins cher, même si c’est pas le plus durable.

  216. J’espère surtout qu’ils ne vont pas nous faire payer plus cher des pneus « écolo » qui durent moins longtemps. Mon budget auto est déjà bien assez serré.

  217. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les sports mécaniques. Vont-ils disparaître au nom de l’écologie ? Un peu triste si c’est le cas.

  218. J’ai toujours trouvé que l’odeur des pneus chauds était particulière. C’est peut-être ça, l’odeur du danger invisible dont ils parlent. Ça me fait un peu bizarre.

  219. Perso, je trouve ça flippant qu’on découvre encore des sources de pollution qu’on ignorait. On respire vraiment n’importe quoi !

  220. Catherine Dubois

    J’ai l’impression qu’on nous sert un peu la même soupe à chaque nouvelle « découverte » environnementale. On va encore culpabiliser l’automobiliste.

  221. Je suis plus inquiet pour l’eau que pour l’air. Ces particules, elles finissent aussi dans les rivières et les océans, non ? On en parle moins, mais c’est là que les dégâts risquent d’être les plus importants.

  222. Mouais, encore un truc pour nous faire culpabiliser. J’utilise déjà les transports en commun dès que possible. Qu’est-ce que je suis censé faire de plus ?

  223. Je me demande si la solution ne viendrait pas aussi d’une meilleure conception des routes. Des revêtements moins abrasifs, peut-être ? On se focalise toujours sur les pneus.

  224. J’ai du mal à imaginer que Michelin puisse résoudre ce problème seul. C’est un souci systémique, qui demande une action coordonnée des constructeurs, des pouvoirs publics et des automobilistes.

  225. En tant que cycliste quotidien, je me demande si ces particules n’affectent pas aussi les vélos. Nos pneus s’usent aussi, même si c’est à une échelle moindre.

  226. Michelin qui s’y colle, c’est intéressant. Ils ont le savoir-faire pour innover, c’est peut-être plus crédible que des promesses politiques. À suivre.

  227. Jacqueline Dubois

    Si seulement on pouvait capter ces particules à la source, comme on essaie de le faire avec les pots d’échappement. Un filtre à pneu, ça aurait de la gueule !

  228. J’espère juste que ça ne va pas se traduire par des pneus hors de prix et une durée de vie ridicule. On est déjà pas mal sollicités financièrement.

  229. Michelin s’y met, tant mieux. Mais je me demande si on ne devrait pas encourager plus le covoiturage ou des voitures moins lourdes. Le pneu n’est qu’un élément du problème.

  230. Je me demande si ces particules affectent la qualité de l’air dans les parkings souterrains. On y passe du temps, souvent à attendre.

  231. Perso, je me dis que si Michelin communique dessus, c’est qu’ils ont déjà une idée derrière la tête. J’espère juste que ce ne sera pas un énième « pneu vert » qui tient moins bien la route.

  232. Je suis surtout soulagé que quelqu’un s’en préoccupe enfin. J’ai toujours trouvé étrange qu’on parle des pots d’échappement, mais jamais de ce nuage noir qui se dépose sur le bas des pare-chocs.

  233. Guillaume Durand

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on s’étonne seulement maintenant. On a bien vu ces traces de gomme sur les circuits automobiles, non ? Ça ne nous a jamais alerté ?

  234. Moi, je me demande surtout si on ne devrait pas remettre en question notre rapport à la voiture. Toujours plus grosse, toujours plus puissante… Forcément, les pneus souffrent.

  235. Moi, je me demande si mes vieux pneus à la campagne polluent plus que les pneus neufs des citadins. La terre doit bien absorber tout ça, non ?

  236. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’impact sur les agriculteurs. Ces particules, elles finissent bien quelque part, et souvent dans les champs… On en parle assez peu.

  237. Je trouve ça bien que Michelin s’y intéresse, mais j’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. Ma grand-mère disait déjà que les pneus « s’usaient », c’est pas nouveau.

  238. Moi, je me demande si ces particules sont aussi dangereuses que celles des freins. On entend toujours parler de l’amiante des plaquettes, mais jamais de la gomme.

  239. Bof, encore un truc pour nous culpabiliser. On nous dit de consommer moins, mais on doit quand même changer nos pneus… C’est le serpent qui se mord la queue.

  240. J’espère que cette initiative ne se concentrera pas uniquement sur les voitures. Quid des poids lourds et des bus ? Leur impact doit être colossal.

  241. Personnellement, je ressens un mélange d’espoir et de scepticisme. C’est bien que Michelin agisse, mais j’ai peur que ça reste une solution cosmétique pour continuer à vendre toujours plus de pneus.

  242. Je suis curieux de voir si ce plan inclura des partenariats avec les fabricants automobiles. Alléger les véhicules serait la première étape logique, non ?

  243. Sébastien Durand

    Si Michelin trouve une solution, tant mieux. J’ai toujours détesté le bruit que font les pneus sur l’autoroute, surtout quand ils sont usés. Si ça peut rendre les trajets plus silencieux, je suis preneur.

  244. Franchement, je suis content qu’on parle enfin de ça. J’ai toujours trouvé bizarre qu’on se focalise sur l’échappement et pas sur le reste.

  245. En tant que cycliste, j’espère surtout qu’ils vont pas rendre les routes encore plus glissantes avec leurs nouveaux pneus « anti-particules ». La sécurité avant tout !

  246. Alexandre Durand

    C’est marrant, on dirait qu’on cherche à soigner les symptômes plutôt que la maladie. Réduire les particules, oui, mais repenser notre mobilité, c’est pas pour demain ?

  247. Michelin qui s’y colle, c’est un signal fort. J’espère que leur solution sera open source, pour que d’autres en profitent et qu’on avance vite.

  248. Christophe Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur la durée de vie des pneus. Si on doit les changer plus souvent, est-ce que ce sera vraiment bénéfique pour l’environnement au final ?

  249. J’ai toujours pensé que l’odeur des pneus chauds était un peu toxique. Peut-être que ce plan va enfin s’attaquer à ça aussi.

  250. Michelin qui communique là-dessus, ça me fait penser à ces pubs où on te vend un truc « écolo » alors que le problème de base, c’est peut-être d’en consommer moins.

  251. François Durand

    Je me demande si ce plan prendra en compte le type de conduite. Mes pneus s’usent beaucoup plus vite quand je conduis nerveusement. C’est peut-être là qu’il faut agir aussi.

  252. J’ai toujours pensé que le poids des voitures était un facteur important. Des voitures plus légères useraient moins les pneus, non ? Pourquoi ne pas s’attaquer à ça en même temps ?

  253. Michelin communique, c’est bien. Mais on parle de particules, pas de CO2. J’espère que ça ne va pas masquer le vrai problème climatique.

  254. Ma première pensée, c’est aux enfants qui jouent près des routes. On parle de santé, mais eux, ils respirent ça à longueur de journée. J’espère que Michelin y pense.

  255. Béatrice Durand

    J’espère juste que ce ne sera pas une excuse pour nous vendre des pneus « éco » qui tiennent moins bien la route sous la pluie. La sécurité avant tout, non ?

  256. J’ai surtout peur que cette initiative ne devienne un prétexte pour culpabiliser davantage les automobilistes. On nous pointera encore du doigt, alors que d’autres industries polluent bien plus.

  257. Je suis curieux de savoir si ce plan va encourager d’autres fabricants à suivre le mouvement. La concurrence peut parfois être un bon moteur.

  258. Je me demande si ce plan va vraiment changer quelque chose à l’échelle de la planète. Michelin fait sa part, c’est bien, mais les pays émergents, ils font comment ?

  259. C’est bien joli tout ça, mais ma voiture est vieille et je ne vais pas la changer pour des pneus révolutionnaires. On fait quoi pour les véhicules d’occasion ?

  260. Gabrielle Durand

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les microplastiques dans les océans. Ces particules finissent forcément par y arriver, non ?

  261. Franchement, ça me fait penser à nos vélos d’enfants. On changeait les pneus bien plus souvent que sur une voiture, et personne ne s’est jamais soucié des particules à l’époque.

  262. Des pneus qui s’usent moins, c’est surtout bon pour mon porte-monnaie, non ? Si ça pollue moins en plus, tant mieux. J’espère juste que le prix ne va pas exploser.

  263. C’est marrant, j’imagine déjà les routes de campagne saupoudrées de poussière noire comme des tableaux impressionnistes… sauf que ce serait pas joli du tout.

  264. Michelin qui s’attaque à ça, c’est une bonne nouvelle, vu leur réputation. J’espère que ça va réellement influencer les standards de l’industrie.

  265. J’ai toujours trouvé l’odeur des pneus neufs assez agréable, ironiquement. C’est fou de penser que cette odeur est en partie responsable de la pollution.

  266. C’est bien beau de s’attaquer aux pneus, mais on ne parle jamais assez du style de conduite. Un chauffard use ses pneus bien plus vite, non ?

  267. Bizarre, on nous parle toujours de l’électrique pour sauver la planète, mais on oublie les pneus. Comme si la pollution se limitait au pot d’échappement.

  268. Je suis content que Michelin s’y mette. J’ai toujours eu confiance en leurs produits, mais je me demande si la solution ne passerait pas aussi par des infrastructures routières plus lisses et moins abrasives.

  269. Je me demande si on ne se focalise pas trop sur la fabrication. L’entretien des pneus, la pression, ça joue aussi non ? J’ai toujours vérifié la pression de mes pneus religieusement, j’espère que ça aide un peu.

  270. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de Michelin, une entreprise française. C’est rassurant de voir qu’on a encore des acteurs majeurs qui peuvent prendre ce genre de problème à bras le corps.

  271. Franchement, je me sens un peu impuissant face à ce problème. On nous demande toujours de faire des efforts, mais là, c’est plus compliqué qu’acheter bio.

  272. Michelin qui s’y met, c’est bien, mais ça ne me dédouane pas de ma part. Je vais essayer de conduire plus souplement, ça peut pas faire de mal.

  273. J’espère que Michelin ne va pas augmenter ses prix sous prétexte d’innovation « verte ». Mon budget auto est déjà bien entamé.

  274. Catherine Durand

    C’est bien beau ces plans, mais ça va surtout profiter à Michelin financièrement, je parie. Encore un truc « écolo » qui engraisse les grosses boîtes.

  275. Je suis curieux de savoir si ce plan prendra en compte les spécificités des différents types de véhicules. Un SUV et une petite citadine, ça ne sollicite pas les pneus de la même manière.

  276. Bizarre. On dirait qu’on découvre que les pneus s’usent. On va finir par interdire la voiture, c’est la seule solution qu’ils vont trouver.

  277. Je me demande si ce plan Michelin va réellement changer quelque chose pour le citoyen lambda. J’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème.

  278. Je trouve ça bien que Michelin communique sur le sujet. Au moins, on sait qu’ils y travaillent. Ça me donne un peu plus confiance dans l’avenir.

  279. Ce qui m’inquiète, c’est la durée de vie des pneus. On nous pousse à les changer souvent, même s’ils sont encore bons, à cause de normes obscures. C’est ça qui crée du déchet, non ?

  280. Jacqueline Durand

    Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de Michelin, un fabricant. Est-ce qu’on a des études indépendantes sur le sujet, ou est-ce qu’on doit les croire sur parole ?

  281. Moi, ce qui m’interpelle, c’est l’échelle du problème. Est-ce qu’on parle de quelques microgrammes dangereux, ou d’une vraie catastrophe sanitaire ? J’aimerais des chiffres clairs.

  282. Moi, je me souviens de l’odeur des pneus neufs quand mon père changeait les pneus de sa 4L. Un peu nostalgique, oui, mais est-ce qu’on parle aussi de la composition de ces pneus et de ce qu’on respir…

  283. Moi, j’espère que ce plan ne va pas se traduire par des pneus hors de prix ! J’ai déjà du mal à boucler mes fins de mois.

  284. Moi, je me demande si le télétravail, en réduisant les déplacements, ne serait pas une solution plus simple et rapide à mettre en oeuvre.

  285. J’ai toujours pensé que le bruit des pneus sur l’asphalte était bien plus irritant que les particules invisibles. Peut-être que c’est ça qu’il faudrait attaquer en premier.

  286. J’ai toujours trouvé ironique qu’on se focalise sur les émissions à l’échappement alors que nos enfants jouent à côté des routes, respirant ces particules.

  287. Moi, je me demande si l’allègement des voitures n’est pas une piste plus pertinente. Moins de poids, moins d’usure, non ?

  288. Franchement, je me demande si on ne cherche pas un coupable facile. On pointe toujours du doigt l’automobile, mais quid de l’industrie, du chauffage au bois, etc. ?

  289. J’ai toujours cru que le style de conduite avait un impact énorme. Accélérations brutales, freinages tardifs… Ne serait-ce pas le premier levier à actionner ?

  290. Personnellement, je trouve ça bien que Michelin s’en préoccupe. J’ai l’impression qu’ils prennent leurs responsabilités, au moins sur ce point.

  291. Michelin communique, c’est bien, mais j’attends de voir des actes. Des pneus qui durent plus longtemps, ça réduirait le problème à la source, non ?

  292. Je me demande si ce plan inclut une collaboration avec les fabricants de revêtements routiers. Une chaussée moins abrasive aiderait peut-être aussi ?

  293. Michelin qui s’y met, c’est rassurant. J’espère juste que ça ne se limite pas à un argument marketing pour verdir leur image. Le problème est réel et urgent.

  294. Je suis surtout curieux de voir comment ils vont mesurer concrètement ces particules. C’est invisible, donc difficile à quantifier et à comparer.

  295. Je suis sceptique. On nous parle d’un plan, mais est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour moi, conducteur lambda ? Je préférerais des solutions concrètes et peu coûteuses.

  296. Je me sens un peu impuissant face à ce problème. On parle toujours de solutions techniques complexes, mais est-ce qu’on a vraiment exploré les alternatives à la voiture individuelle ?

  297. Michelin, c’est bien beau, mais je me demande si ce n’est pas un peu tard. J’ai l’impression qu’on réagit seulement maintenant, alors que le problème est connu depuis des années.

  298. Sébastien Leroy

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix que ça va coûter aux consommateurs. Est-ce qu’on va devoir payer plus cher pour des pneus « propres » ?

  299. Franchement, je suis plus inquiet par la montagne de pneus usagés qu’on ne sait pas recycler. C’est ça, la vraie pollution visible, non ?

  300. Je me demande si on ne devrait pas revoir nos habitudes de conduite, au-delà de la technologie des pneus. Conduire moins agressivement, ça userait moins les pneus, non ? C’est aussi une question de bon sens.

  301. J’ai l’impression que c’est toujours le même schéma : on pointe du doigt un problème, et la solution proposée est toujours plus de technologie. Mais est-ce qu’on se demande vraiment si on a besoin…

  302. Christophe Leroy

    Moi, je me demande si on peut vraiment faire confiance aux industriels pour résoudre un problème qu’ils ont eux-mêmes créé. Le profit passera toujours avant, j’ai peur.

  303. Je trouve ça bien que Michelin s’empare du sujet. Espérons que ça incitera les autres fabricants à bouger aussi, la concurrence pourrait accélérer les choses.

  304. J’espère que ce plan de Michelin inclura des partenariats avec les collectivités locales. Agir sur l’aménagement urbain, c’est peut-être aussi une solution.

  305. En tant que cycliste quotidien, je me demande si ce plan inclut des tests comparatifs avec l’usure des pneus de vélo. Ce serait intéressant de voir les échelles.

  306. J’ai surtout l’impression que ce problème des particules de pneus, c’est un peu le nouveau « dieselgate » qui se profile. On va découvrir des choses pas jolies, j’en suis sûr.

  307. J’espère qu’ils vont penser aux personnes âgées. Elles sont souvent plus vulnérables à la pollution et ont moins de moyens pour changer leurs pneus.

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