Perdre son autonomie est une crainte universelle, surtout lorsque la conduite est en jeu. Pour de nombreux aînés, l’idée d’un réexamen du permis de conduire est source d’angoisse. Une proposition de loi envisage désormais un contrôle d’aptitude pour les plus de 72 ans afin de renforcer la sécurité routière.
Gérard Lefebvre, 74 ans, artisan retraité vivant près de Guéret, ne décolère pas. « J’ai mon permis depuis plus de cinquante ans sans un seul accroc. Cette mesure donne l’impression que nous sommes soudainement devenus des dangers publics du jour au lendemain, c’est infantilisant. »
Gérard a toujours vu son permis comme un droit acquis. En apprenant la nouvelle, il s’est demandé pourquoi cibler son groupe d’âge, alors que les statistiques montrent souvent les jeunes conducteurs comme plus à risque. Après discussion, il admet qu’un simple contrôle médical pourrait être un compromis raisonnable.
L’objectif n’est pas un réexamen complet, mais une visite médicale tous les cinq ans. Un médecin agréé évaluerait les capacités visuelles, auditives et cognitives essentielles à la conduite. Cette démarche préventive vise à identifier les risques potentiels avant qu’un accident ne survienne, sans pour autant sanctionner systématiquement.
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Cette mesure soulève de multiples enjeux. Si elle peut améliorer la sécurité, elle risque d’isoler socialement les seniors en zones rurales, qui dépendent de leur véhicule. Sur le plan pratique, elle représente une charge administrative et un coût non négligeable pour les conducteurs et le système de santé.
D’autres approches sont envisagées, comme des stages de remise à niveau volontaires ou obligatoires. Certains pays européens ont déjà mis en place des contrôles similaires, mais avec des seuils d’âge différents, parfois fixés à 75 ou 80 ans, prouvant qu’un modèle unique n’existe pas.
Le débat s’inscrit dans une réflexion plus large sur l’adaptation de notre société au vieillissement. Il interroge notre capacité à développer des solutions de mobilité alternative dans les territoires mal desservis, un enjeu crucial pour maintenir le lien social des aînés et leur indépendance.
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Au-delà des seniors, cette proposition remet en question le concept même du permis à vie. Elle pourrait influencer les comportements en incitant tous les conducteurs, peu importe leur âge, à être plus attentifs à leur état de santé et à son impact sur leur aptitude à conduire en toute sécurité.
En somme, le projet de contrôle pour les conducteurs aînés cherche un équilibre délicat entre sécurité collective et liberté individuelle. Loin d’être une mesure punitive, il ouvre la voie vers une conduite plus responsable et conditionnée à une aptitude réelle, une tendance qui pourrait à l’avenir concerner tout le monde.
Repasser le permis à 72 ans ? Ça me rappelle mon grand-père… Il conduisait comme un pied, mais il aurait été tellement malheureux sans sa voiture. Triste dilemme.
Je comprends l’intention, mais la stigmatisation des seniors au volant me dérange. On oublie souvent que certains jeunes conducteurs sont bien plus dangereux.
Je me demande si ça ne serait pas plus pertinent de se concentrer sur des bilans de santé réguliers et obligatoires, plutôt que de stigmatiser une tranche d’âge spécifique.
Franchement, ça me fait peur pour ma mère. Elle a 75 ans et vit à la campagne, sa voiture, c’est sa liberté. Comment elle ferait ses courses sans ça ?
Et les assurances, elles en pensent quoi ? Parce que si ça fait baisser les primes pour les autres, je dis pas non.
C’est encore une mesure qui va créer des inégalités territoriales. En ville, on a les transports en commun, pas à la campagne.
Je suis partagé. D’un côté, la sécurité est primordiale. De l’autre, je me dis que l’âge n’est pas le seul critère à prendre en compte. Certains sont plus aptes à 75 ans que d’autres à 50.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Encore une dépense pour les retraités ?
C’est le genre de mesure qui me fait penser à ma grand-mère. Elle a toujours conduit prudemment, plus prudemment que moi, d’ailleurs !
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle toujours de « sécurité routière » après un certain âge. Mais avant ? On est tous des pilotes hors pair à 20 ans ?
Moi, je me demande surtout si on a assez d’inspecteurs pour faire passer tous ces examens. Ça risque de rallonger les délais pour tout le monde.
C’est dommage de penser qu’un chiffre définit l’aptitude. On devrait plutôt évaluer au cas par cas.
Moi, je vois surtout que ça va isoler encore plus les personnes âgées. On parle de sécurité, mais on oublie l’isolement social.
Si on se concentrait sur des bilans de santé réguliers et obligatoires, ça serait pas mieux ? On verrait les vrais problèmes, au-delà de l’âge.
Je me demande si on ne devrait pas plutôt encourager les stages de remise à niveau volontaires. Une piqûre de rappel des règles serait plus utile qu’un examen anxiogène.
Ça me rappelle mon grand-père. Il a arrêté de conduire de lui-même, il sentait qu’il était temps. La décision venait de lui, et c’était plus doux.
On dirait qu’on cherche une solution simple à un problème complexe. Un âge butoir, c’est facile, mais est-ce vraiment efficace ?
Je me demande si cette loi prend en compte les disparités géographiques. À la campagne, sans voiture, comment on fait pour aller chez le médecin ou faire les courses ?
Mon père a 80 ans et conduit encore. Je flippe à chaque fois, je l’avoue. Mais lui interdire de conduire, c’est lui enlever sa vie sociale. C’est un vrai dilemme.
J’ai vu mon voisin, un ancien chauffeur routier, perdre son permis à 75 ans. C’était un crève-cœur pour lui, même si au fond, on savait tous que c’était devenu dangereux.
J’ai peur que ça crée une vraie fracture entre les générations. On va culpabiliser les aînés, alors que beaucoup conduisent très bien.
Franchement, je trouve ça infantilisant. On dirait qu’on ne fait pas confiance aux seniors pour évaluer leurs propres limites.
Je pense que l’accent devrait être mis sur une évaluation individualisée plutôt qu’un couperet basé sur l’âge. Chaque personne vieillit différemment.
Et les jeunes alors ? On parle toujours des seniors, mais les jeunes conducteurs, c’est pas eux qui ont le plus d’accidents ? On oublie vite ça.
C’est pas faux de vouloir améliorer la sécurité, mais j’espère qu’ils penseront à l’impact psychologique. Perdre son permis à cet âge, ça doit être dur.
Ils veulent nous parquer à la maison, c’est ça ? Bientôt, on aura plus le droit de rien faire après 70 ans.
Le problème, c’est pas l’âge, c’est l’entretien physique et cognitif. On devrait encourager ça, pas juste punir.
Je me demande si ce n’est pas une manière détournée de faire des économies sur les retraites, en limitant les déplacements des personnes âgées.
Si on leur retire leur voiture, comment les personnes âgées isolées feront-elles pour aller chez le médecin ou faire leurs courses ? Il faut penser à des solutions alternatives viables.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Et les médecins seront-ils formés pour ça ?
Ma grand-mère a 80 ans et conduit toujours. Elle est plus prudente que moi ! Je trouve ça injuste de généraliser comme ça.
Je suis partagé. Mon grand-père s’est arrêté de conduire à 75 ans de lui-même, il sentait qu’il n’était plus aussi réactif. C’est à ça qu’on devrait tendre.
Moi, ce qui me choque, c’est qu’on ne parle jamais des auto-écoles. Elles pourraient proposer des stages de remise à niveau obligatoires, adaptés aux seniors.
Je pense surtout que la vue baisse avec l’âge, et ça, c’est un facteur à surveiller de près.
C’est toujours la même chose, on tape sur les vieux. On ferait mieux d’obliger les jeunes à respecter le code !
C’est fou comme on infantilise les aînés. On dirait qu’à 72 ans, on devient soudainement incapable de juger de ses propres limites.
Je me demande si ce serait pas plus pertinent de cibler les conducteurs à risque, quel que soit leur âge, après un certain nombre d’accidents.
J’ai peur que cette mesure crée encore plus de fracture sociale entre ceux qui vivent en ville et ceux qui sont à la campagne. La voiture, c’est parfois la seule liberté qu’il reste.
On parle beaucoup de sécurité, mais est-ce qu’on a vraiment étudié l’impact psychologique de cette mesure sur les aînés ? Se sentir capable, c’est aussi ça la santé.
Franchement, je me demande si ça ne va pas juste créer une bureaucratie infernale. Plus de paperasse, plus de délais, plus de stress pour tout le monde.
Je me demande si un simple questionnaire médical annuel ne serait pas plus pertinent et moins stigmatisant.
Ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ?
Mon grand-père a arrêté de conduire à 80 ans, de lui-même. C’est une décision personnelle difficile, pas une affaire d’âge.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de 72 ans comme d’un seuil magique. Mon voisin a 85 ans et conduit mieux que ma nièce de 25.
Je connais plein de jeunes conducteurs qui devraient repasser le permis avant mon père de 75 ans !
Et si on améliorait les transports en commun à la campagne au lieu de stigmatiser les seniors ?
Ça me fait penser à ma grand-mère. Elle a toujours adoré conduire et ça lui a permis de rester active. J’espère qu’on pensera à ceux pour qui la voiture est plus qu’un simple moyen de transport.
Je trouve ça infantilisant de décider pour les autres. Laissons les médecins jouer leur rôle.
Je comprends l’idée, mais j’ai peur que ça isole encore plus les personnes âgées vivant en milieu rural. La voiture, c’est parfois leur seul lien social.
Si c’est pour éviter des drames, pourquoi pas ? Mais faudrait penser à des aménagements pour ceux qui doivent bosser.
Franchement, ça me rappelle la pression qu’on mettait à mon père. Il a fini par culpabiliser et ne plus oser sortir. C’est triste.
On se focalise sur l’âge, mais un contrôle régulier pour tous, basé sur le nombre de kilomètres parcourus, serait plus pertinent. L’usure, ça n’a pas d’âge !
On dirait qu’on cherche une solution facile à un problème complexe. J’ai peur que ça crée plus de problèmes que ça n’en résout.
Je me demande si ce n’est pas une manière détournée de renflouer les caisses de l’État. On tape toujours sur les mêmes…
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact psychologique. On parle de sécurité, mais on oublie la dignité.
C’est pas le permis qu’il faut repasser, c’est le code de la route. J’en vois tellement griller des priorités et rouler téléphone à la main…
Moi, je me demande si on ne devrait pas plutôt investir dans des transports en commun de qualité, partout. Ça profiterait à tout le monde.
Et si on offrait plutôt des cours de remise à niveau gratuits ? Ça valoriserait l’expérience et rassurerait tout le monde.
Le vrai problème, c’est pas l’âge, c’est la perte de réflexes. Ma grand-mère, à 80 ans, conduisait mieux que moi au sortir du permis.
C’est toujours la même chose, on stigmatise une catégorie de la population. On ferait mieux de s’occuper des jeunes qui roulent n’importe comment.
C’est sûr que ça va faire des histoires, mais personnellement, je connais plusieurs personnes âgées qui se mettent en danger, et mettent les autres en danger, par manque de lucidité.
72 ans, c’est un seuil arbitraire. Mon père a perdu ses capacités bien avant et a continué à conduire… ça m’effraie.
Je comprends l’idée, mais je crains que cela isole davantage les personnes âgées en zone rurale, où la voiture est souvent indispensable.
On parle de sécurité, mais personne ne parle de la vue ! Un test d’acuité visuelle régulier serait plus pertinent, non ?
Je me demande si ce réexamen ne va pas surtout créer une angoisse inutile chez des gens qui conduisent très bien. On ne parle pas assez des seniors qui sont d’excellents conducteurs, prudents et respectueux.
Je suis partagé. Ma propre mère a insisté pour conduire jusqu’à 85 ans. On a eu tellement peur…
Je pense qu’avant de légiférer, on devrait peut-être analyser les statistiques d’accidents impliquant les seniors. On a des chiffres précis, non ?
Franchement, je me demande si ça ne serait pas plus juste de cibler les conducteurs ayant eu des accidents, quel que soit leur âge. C’est l’historique qui compte, non ?
J’ai peur pour mon grand-père. Il tient à sa voiture comme à la prunelle de ses yeux. Si on lui retire, il va dépérir, c’est certain.
Ma grand-mère a 80 ans et fait plus de kilomètres que moi. Je trouve ça infantilisant de généraliser comme ça. On devrait faire confiance aux médecins traitants.
Si on leur retirait le permis, comment feraient les gens qui aident leurs proches ? C’est toute une chaîne de solidarité qui pourrait être brisée.
C’est facile de stigmatiser une tranche d’âge. J’ai vu des jeunes faire des queues de poisson à 130 sur l’autoroute. On commence par les vieux, après qui?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Et si ça devient une usine à fric ?
C’est sûr que personne ne veut se voir retirer son permis. Mais la route, c’est pas un droit, c’est un partage.
Plus que la sécurité, je crois qu’on oublie la dimension psychologique. Le permis, c’est parfois le dernier rempart contre l’isolement.
Je comprends l’idée, mais j’espère qu’ils prendront en compte les spécificités rurales. Sans voiture, c’est juste impossible de vivre ici.
À 72 ans, on est encore loin d’être sénile. L’âge ne fait pas tout, il y a des gens bien plus dangereux avec un téléphone à la main.
Je pense que ce serait plus pertinent d’axer la formation continue sur les nouvelles technologies embarquées. Beaucoup de seniors ne les utilisent pas, alors qu’elles améliorent la sécurité.
Je me demande si on pense assez aux auto-écoles qui vont devoir absorber tout ça. Un sacré business en perspective !
La peur de perdre son permis, c’est aussi la peur de devenir un poids pour ses enfants. On ne veut pas être une charge.
Franchement, ça me rappelle la vignette auto qu’on a fini par supprimer. On taxe, on contrôle, mais est-ce que ça change vraiment les choses ?
J’ai peur pour mon père. Il tient tellement à sa liberté. Comment lui annoncer ça délicatement, si ça se confirme ?
C’est vrai que ça fait peur, mais perso, je préfère qu’on anticipe plutôt que d’attendre un drame. On parle quand même de vies.
Et si on commençait par évaluer la vue de tous les conducteurs, quel que soit leur âge ? Ça me semblerait plus pertinent.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est que ça ouvre une brèche. Après 72, pourquoi pas 65 ? Où s’arrête la stigmatisation ?
J’ai surtout peur que ce soit une épreuve angoissante et culpabilisante. Le stress pourrait fausser les résultats et injustement retirer des permis.
Et les déserts médicaux, on en parle ? Si on enlève le permis aux anciens, comment ils font pour aller chez le médecin, faire leurs courses ? C’est facile de décider derrière un bureau.
Moi, ce qui me choque, c’est qu’on infantilise les aînés. On dirait qu’à 72 ans, on devient subitement incapable. C’est une vision bien réductrice.
C’est une mesure qui me semble logique si elle est faite avec bienveillance et pédagogie, pas comme une punition. L’âge apporte son lot de changements, autant en tenir compte.
J’ai plus de 65 ans, et je connais mes limites. Si vraiment je ne me sens plus à l’aise, je serai le premier à rendre mon permis. Pas besoin d’une loi pour ça.
Je me demande si ce serait pas plus pertinent d’axer la formation continue sur les nouvelles technologies embarquées dans les voitures modernes. Beaucoup sont largués.
Franchement, je trouve qu’on stigmatise trop vite les personnes âgées. L’expérience de la route, ça compte aussi, non ?
C’est toujours facile de taper sur les mêmes. On devrait peut-être plus se concentrer sur les jeunes conducteurs et les excès de vitesse.
C’est une question de sécurité, certes, mais aussi de liberté. Comment on fait pour maintenir le lien social dans nos campagnes après ça ?
Je me demande si l’état des routes n’est pas un facteur plus déterminant que l’âge du conducteur, souvent.
Si c’est vraiment pour la sécurité, pourquoi 72 ans pile ? C’est arbitraire comme seuil, non ?
On parle de sécurité, mais on oublie le coût de la vie. Si on doit repasser le permis, qui paie ? Et si on échoue, comment on se débrouille sans voiture après ?
Je me demande si ça va vraiment changer grand chose. Les gens qui conduisent mal, ils conduisent mal à tout âge.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la porte que ça ouvre. Demain, ce sera 65 ans ? Après, 55 ? On finit par ne plus avoir confiance en personne.
Moi, je pense surtout aux médecins. Ils vont être débordés, et qui va payer pour ça ? Encore une fois, on complique les choses.
Moi, ce qui me choque, c’est qu’on ne parle jamais de la vue. À 72 ans, la vue baisse, c’est un fait. On devrait vérifier ça, avant tout le reste.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée qu’on doive « mériter » sa liberté de mouvement après un certain âge. C’est infantilisant, je trouve.
Moi, ce qui me dérange, c’est le ton de l’article. On dirait que les vieux sont un danger public en puissance. C’est stigmatisant et ça ne reflète pas la réalité.
Ce qui me fait tiquer, c’est qu’on parle de « contrôle d’aptitude », mais on ne précise pas du tout la nature de ce contrôle. Est-ce qu’on va faire un créneau ? Un test psychologique ? On est dans le flou total.
C’est toujours les mêmes qui trinquent. On s’attaque aux seniors, mais les jeunes qui font des excès de vitesse, on en parle moins.
C’est vrai qu’on pense tout de suite à la voiture, mais pour beaucoup, c’est aussi le seul lien social.
C’est pas tant l’âge, mais l’état de santé qui devrait être pris en compte, non ? Mon père a 80 ans et conduit mieux que moi.
C’est la fin des virées improvisées chez mes petits-enfants, ça… Drôle de façon de remercier une génération qui a bossé dur.
C’est quand même triste de penser qu’à 72 ans, on est soudainement considéré comme moins compétent.
Je me demande si ça ne créerait pas, sans le vouloir, un marché noir des certificats médicaux…
Je me demande si cette mesure ne va pas surtout créer des inégalités territoriales encore plus fortes. En zone rurale, sans voiture, c’est l’isolement garanti.
Franchement, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle a arrêté de conduire à 80 ans, de sa propre initiative. C’est pas toujours facile de savoir quand s’arrêter.
J’ai vu mon grand-père renoncer à la voiture. Ça a été un deuil. On lui a volé un morceau de sa vie.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Et si c’est à leur charge, tous pourront-ils se le permettre ?
J’espère qu’ils vont proposer des alternatives de transport viables avant d’appliquer ça.
Et si on parlait plutôt de formations de remise à niveau obligatoires et régulières pour tous, quel que soit l’âge ? Ça me semblerait plus juste.
Moi, je me dis que ça va peut-être pousser les constructeurs à innover plus vite pour des voitures vraiment adaptées aux seniors.
Je me demande si l’âge est vraiment le bon indicateur. Connaissez-vous l’état de nos routes, souvent mal entretenues ? Ne faudrait-il pas commencer par là ?
Moi, je me demande comment on va gérer la paperasse et l’organisation de tout ça. Ça risque d’être un vrai casse-tête administratif.
C’est triste de voir qu’on considère les seniors comme un problème. On oublie leur expérience et leur sagesse.
Je trouve ça infantilisant. On dirait qu’on ne fait pas confiance aux aînés pour prendre leurs propres décisions.
Ma mère a cessé de conduire après une petite frayeur. Elle a eu la lucidité de s’arrêter, et ça lui a permis de continuer à sortir.
La voiture, c’est la liberté dans mon village. Sans elle, les médecins, les courses… comment on fait ? On va les laisser isolés ?
Peut-être que ça les incitera à conduire moins loin, moins souvent. Faire des trajets plus courts, plus prudents.
Je comprends l’objectif, mais ça me rappelle surtout que vieillir, c’est aussi perdre des droits petit à petit. C’est pas très réjouissant.
Je crois que l’idée est bonne, mais la limite d’âge est abrupte. Pourquoi pas un système d’évaluation progressive en fonction des antécédents médicaux?
Franchement, ça me fait peur pour mon père. Il est têtu comme une mule et je ne sais pas s’il accepterait ça facilement. Ça risque de créer des tensions inutiles.
C’est marrant, on parle toujours de sécurité, mais jamais de la conduite agressive des jeunes. On dirait que l’âge est le seul facteur de risque.
Et si on proposait des alternatives ? Des navettes rurales subventionnées, ça ne serait pas plus constructif que de juste retirer des permis ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Encore une dépense de plus pour nos aînés…
Moi, je me demande si ce n’est pas surtout une solution de facilité pour masquer un manque d’investissement dans les infrastructures pour les seniors.
Je me demande si on évalue aussi l’impact psychologique. La peur de l’échec pourrait pousser certains à s’isoler *avant* même le test.
Perso, je pense à ma grand-mère. Elle conduit toujours et ça la maintient active. Si on lui enlève ça, elle va dépérir.
C’est quand même infantilisant comme mesure. On traite les seniors comme des irresponsables.
C’est pas faux, mais le problème c’est pas tant l’âge que la vue. On devrait tous la faire contrôler régulièrement, peu importe notre âge.
Je pense que ça va créer un sacré bazar administratif. Déjà que les délais pour repasser le permis après une suspension sont longs…
C’est une mesure qui me semble bien tardive. On devrait commencer à évaluer les capacités de conduite bien avant 72 ans, progressivement.
C’est facile de taper sur les vieux, mais on oublie souvent l’expérience qu’ils ont de la route. Un jeune permis est statistiquement plus dangereux, non ?
J’ai juste peur que ça divise encore plus les générations. On a déjà du mal à se comprendre…
Ça me rappelle mon grand-père. Il a arrêté de conduire de lui-même, quand il a senti que ce n’était plus sûr. Peut-être que l’incitation serait plus efficace que la contrainte.
Franchement, je me demande si ça va vraiment changer grand-chose aux accidents. Les gens qui conduisent mal, ils conduisent mal à tous les âges.
Je me demande si on a pensé aux déserts médicaux. Comment ils vont faire, les gens qui habitent loin de tout et n’ont plus le droit de conduire ?
Je suis surtout inquiet pour les couples. Si l’un ne peut plus conduire, l’autre devient son chauffeur. Ça crée une dépendance pas toujours facile à gérer.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Et si c’est à la charge des retraités, beaucoup vont renoncer, même s’ils sont encore aptes.
Moi, je vois surtout que la société change. Avant, on restait dans son village. Maintenant, sans voiture, on est coupé du monde, même à 72 ans.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge. 72 ans, c’est encore jeune pour beaucoup. On dirait qu’on met tout le monde dans le même panier.
Moi, je pense à tous ceux qui ont aidé à construire ce pays. Leur enlever cette liberté, c’est quand même un peu ingrat.
Moi, je me demande si l’état des routes n’est pas plus en cause que l’âge des conducteurs parfois. On parle sécurité, mais on fait quoi pour les nids de poule ?
La peur de perdre son permis, c’est aussi la peur de vieillir, tout simplement.
C’est facile de légiférer sur l’âge, mais quid des jeunes conducteurs sous influence ? On tape toujours sur les mêmes.
Je me demande si ces tests seront vraiment adaptés à la conduite de tous les jours, pas juste à un examen standardisé.
C’est toujours pareil, on stigmatise une catégorie de la population. On ferait mieux d’améliorer les transports en commun en zone rurale.
Et si on commençait par une visite médicale obligatoire, avec l’ophtalmo, l’ORL et le médecin traitant ? Ça me semblerait plus juste qu’un simple examen.
C’est un sujet sensible. J’espère juste que ces épreuves tiendront compte de l’expérience accumulée au volant.
Franchement, je pense à ma grand-mère. Elle conduit prudemment et va faire ses courses. L’empêcher de conduire, c’est la condamner à l’isolement.
J’ai peur que ce soit le début d’une infantilisation des seniors. On va bientôt leur dire comment manger et comment s’habiller…
J’espère que les examinateurs auront un peu d’empathie et pas juste une grille à cocher.
Je connais des jeunes qui conduisent comme des fous, ça ne me choque pas de demander un petit contrôle aux plus âgés. Ça remettra peut-être certaines pendules à l’heure.
Honnêtement, ça me fait penser aux contrôles techniques pour les voitures. On vérifie l’état, c’est tout. Pourquoi pas pour les conducteurs ?
Ça me rappelle mon oncle. Il a arrêté de conduire de lui-même, en réalisant qu’il n’était plus aussi alerte. La lucidité, c’est peut-être ça le vrai test.
Je suis partagé. Ma génération y arrive doucement, à ces 72 ans… Ça fait réfléchir.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est comment on définit « apte ». On parle de réflexes, mais la prudence, ça se mesure comment ?
Je me demande si on a vraiment étudié l’impact psychologique de cette mesure sur les personnes concernées. Le stress pourrait même augmenter le risque d’accident!
Et si on encourageait plutôt le covoiturage et les transports en commun adaptés aux seniors ? Forcer un examen, c’est stigmatisant.
Je me demande si l’âge est vraiment le bon critère. La santé varie tellement d’une personne à l’autre…
C’est surtout l’isolement que ça risque de créer, dans les villages. Sans voiture, plus de courses, plus de visites…
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée que la vieillesse est un problème à régler. On dirait qu’on oublie qu’on y arrivera tous, si on a de la chance.
Je me demande si on ne devrait pas plutôt se concentrer sur des campagnes de sensibilisation au maintien des capacités cognitives. L’Alzheimer, ça commence bien avant 72 ans.
Ma grand-mère a toujours conduit prudemment. Je crois qu’elle serait blessée par une telle loi, même si au fond, elle comprendrait.
Franchement, je préférerais qu’on s’attaque aux jeunes qui conduisent comme des fous après une soirée arrosée. C’est eux le vrai danger, non ?
Pour moi, c’est une atteinte à la liberté individuelle. L’État se mêle de ce qui ne le regarde pas.
C’est toujours les mêmes qui trinquent. On préfère s’en prendre à ceux qui râlent moins.
Je me souviens de mon grand-père. Il conduisait encore à 85 ans et il était bien plus alerte que certains jeunes que je croise.
Je crains que l’on crée deux catégories de citoyens : ceux qui peuvent et ceux qui ne peuvent plus. La nuance est absente.
Je comprends l’intention, mais j’ai peur que ça pousse les gens à ne plus se déclarer malades pour conserver leur permis.
Repasser le permis à 72 ans, ça sonne comme une punition collective. On devrait peut-être plus miser sur des bilans de santé réguliers et personnalisés, non ?
Je me demande si la solution ne serait pas d’adapter les véhicules, plutôt que de retirer les permis. Des voitures avec des systèmes d’aide à la conduite plus poussés pourraient permettre de compenser certaines pertes liées à l’âge.
Je suis partagé. D’un côté, la sécurité est primordiale, mais de l’autre, je trouve ça infantilisant. On nous traite comme des gamins dès qu’on prend de l’âge.
J’y vois surtout une façon de vider les campagnes. Sans voiture, plus d’accès aux soins, aux commerces… La double peine.
J’ai vu mon voisin vendre sa voiture à 75 ans, de lui-même. C’était triste, mais il savait que c’était plus sûr. Peut-être qu’un accompagnement plus personnalisé serait plus efficace qu’une loi brutale.
J’ai vu des conducteurs de tous âges dangereux. L’âge n’est pas le seul critère. Peut-être qu’un suivi médical plus rigoureux pour tous les conducteurs serait plus pertinent.
Ma mère a arrêté de conduire à 70 ans, pas à cause de ses capacités, mais à cause du stress que ça lui occasionnait. La circulation est devenue tellement agressive…
Et si on se concentrait sur l’amélioration des infrastructures ? Des routes mieux entretenues et une signalisation claire profiteraient à tous, pas juste aux jeunes.
C’est marrant, on parle toujours des vieux au volant, mais jamais des jeunes qui se croient invincibles et prennent tous les risques.
Je trouve que l’article manque de détails sur les alternatives à la conduite. Si on prend le permis aux aînés, comment ils font pour vivre ?
Moi, je flippe pour mes parents. Ils tiennent à leur indépendance comme à la prunelle de leurs yeux. J’imagine le choc si on leur dit de repasser le permis.
J’ai peur que cette loi stigmatise une génération entière. Mon grand-père conduit encore, et ça lui donne un but. Le priver de ça, c’est le priver d’une partie de sa vie.
Franchement, j’ai plus peur des gens qui textotent au volant que des papys à 40 km/h.
72 ans, c’est un peu jeune, non ? Mon oncle a 80 ans et conduit mieux que certains que je croise. On devrait peut-être plus se baser sur un bilan de santé individuel.
Un contrôle obligatoire me semble justifié, mais il faudrait que ce soit progressif et adapté. On ne peut pas mettre tous les conducteurs de 72 ans dans le même panier.
Repasser le permis à 72 ans ? Ça me rappelle mon arrière-grand-mère. Elle conduisait jusqu’à 85 ans et je la trouvais plus prudente que moi. Je crois que c’est vraiment du cas par cas.
Cette loi me fait penser à ma grand-mère. Elle n’aurait jamais accepté ça, même si elle a fini par arrêter d’elle-même. La liberté, c’était sacré pour elle.
Je me demande si cette mesure ne va pas créer plus de problèmes qu’elle n’en résout. L’isolement social, c’est un vrai fléau chez les personnes âgées.
On parle de sécurité, mais est-ce qu’on a vraiment pensé à l’impact psychologique de cette mesure ? Ça peut être vécu comme une perte d’identité terrible.
C’est facile de taper sur les vieux. On ferait mieux de se concentrer sur le comportement au volant, quel que soit l’âge.
Et la qualité de la formation initiale ? On ne devrait pas plutôt revoir ça, avant de s’acharner sur les seniors ?
Est-ce que l’État va prendre en charge les coûts de ces examens ? Parce que si c’est pour ponctionner encore plus les retraités…
Je comprends l’intention, mais j’ai peur que ça stigmatise inutilement une tranche d’âge. La route est dangereuse à tout âge, non ?
Pour moi, c’est surtout une question d’adaptation du véhicule. Pourquoi ne pas aider financièrement les seniors à adapter leur voiture pour compenser les baisses de réflexes ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’engorgement des centres d’examen. Déjà que c’est compliqué…
Moi, je vois surtout que ça va créer une bureaucratie monstre pour un gain de sécurité discutable. On va dépenser un fric fou pour ça, c’est sûr.
Je pense que c’est une bonne chose. J’ai vu trop de situations dangereuses impliquant des conducteurs âgés.
Ma grand-mère a arrêté de conduire d’elle-même. La sagesse, parfois, vaut mieux que la loi.
J’ai surtout peur que ça isole encore plus les personnes âgées qui vivent à la campagne. Comment ils vont faire pour les courses, les rendez-vous médicaux ?
Moi, je me demande si ce n’est pas une façon détournée de faire des économies sur les retraites… Moins de mobilité, moins de dépenses, CQFD.
Mon grand-père a toujours dit que son permis, c’était sa liberté. Je comprends que ce soit dur à accepter, même si la sécurité est importante.
Moi, je me demande si ce n’est pas un faux problème. On parle de 72 ans, mais certains sont plus alertes que des jeunes de 40. L’âge seul n’est pas un indicateur fiable.
Le permis, c’est aussi le lien social pour beaucoup. Je crois qu’on oublie souvent cet aspect.
Je suis partagé. C’est infantilisant, non ? On les traite comme des enfants. Pourquoi ne pas faire confiance à leur propre jugement ?
Franchement, ça me rappelle l’époque où on disait que les femmes étaient de mauvaises conductrices. On stigmatise encore une catégorie de la population.
On devrait peut-être se concentrer sur des bilans de santé réguliers, adaptés à la conduite, plutôt que de stigmatiser un âge précis.
Si on commençait par rendre les infrastructures plus sûres pour tous les usagers, au lieu de toujours taper sur les mêmes ?
Je suis infirmier et je vois trop d’accidents où l’âge est clairement un facteur. Dur, mais nécessaire.
Moi, je m’inquiète surtout du coût de ces examens. Qui va payer ? Les retraités, déjà pas riches ? Encore une charge supplémentaire…
J’ai peur que ça crée encore plus d’isolement dans nos campagnes. Comment ils vont faire pour aller au marché, voir leurs amis ?
Et les jeunes qui conduisent comme des fous, on en parle ? On dirait qu’on ne s’attaque qu’aux seniors.
Je me demande si on ne pourrait pas intégrer des tests de réflexes et de vision lors des visites médicales annuelles, ça serait moins brutal.
Ma grand-mère a arrêté de conduire à 75 ans, de son propre chef. Je pense que l’auto-évaluation est la clé, pas un couperet administratif.
C’est marrant, mon voisin a 80 ans et il conduit mieux que moi. L’âge ne fait pas tout, je pense.
Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée que l’État décide à la place des familles. C’est souvent elles qui voient les premiers signes, non ?
C’est une mesure qui va forcément diviser. J’espère juste qu’ils prendront en compte l’expérience de conduite, pas seulement la théorie.
Je trouve ça un peu hypocrite. On se préoccupe soudainement de leur sécurité, mais on les laisse galérer avec des pensions de misère.
Je trouve ça infantilisant comme démarche. On dirait qu’on ne leur fait pas confiance pour prendre la bonne décision.
C’est peut-être brutal, mais si ça sauve des vies, on ne peut pas l’ignorer. La sécurité routière doit primer.
Si ça se fait, j’espère qu’ils penseront aux aménagements pour ceux qui devront arrêter. Le transport en commun, c’est pas partout la panacée.
Personnellement, j’ai surtout peur des embouteillages que ça va créer dans les centres d’examen !
À mon avis, le problème, c’est qu’on stigmatise une tranche d’âge. Pourquoi pas un contrôle aléatoire pour tous les conducteurs, alors ?
Plus de contrôles ? Ok, mais j’espère qu’ils seront vraiment adaptés à la conduite quotidienne, pas juste des tests théoriques inutiles.
Je me demande si on a vraiment chiffré l’impact de cette mesure sur les zones rurales isolées. Ça risque d’aggraver leur isolement.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la charge mentale que ça va rajouter à nos aînés. Déjà que la paperasse est un enfer…
Honnêtement, je me demande si ça ne va pas pousser certains à conduire sans permis, par peur de perdre leur autonomie.
Moi, je pense surtout à ceux qui aiment conduire, à la liberté que ça représente pour eux. C’est dur de leur enlever ça.
Je me demande si l’âge est vraiment le bon indicateur. Des jeunes conducteurs sont parfois bien plus dangereux.
C’est pas faux que certains seniors conduisent mal, mais ma grand-mère, elle, est bien plus prudente que moi ! Je pense qu’il faudrait regarder au cas par cas.
Franchement, ça me fait penser à mon grand-père. Il a arrêté de conduire de lui-même, il a senti que c’était plus sûr. On devrait peut-être plus miser sur la responsabilisation personnelle.
Et l’article ne parle pas de ce que ça va coûter ! Qui va payer ces examens ? Ça risque de créer une inégalité d’accès à la mobilité.
Repasser le permis à 72 ans ? Ça me rappelle mon voisin. Il conduisait avec un chapeau et à 30 à l’heure. Peut-être que ça évitera ce genre de situations.
Si c’est pour finir par les entasser dans des EHPAD parce qu’ils ne peuvent plus faire leurs courses, ça n’a aucun sens.
C’est surtout stigmatisant. On dirait qu’on part du principe que tous les vieux sont des dangers publics.
C’est vrai que la voiture, c’est l’indépendance. Mais je me demande si on pense assez à la sécurité des autres usagers.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les zones rurales. Sans voiture, comment ils vont faire pour aller chez le médecin ?
On se focalise sur les seniors, mais la fatigue au volant, ça concerne tous les âges. On devrait peut-être s’attaquer à ce problème plus globalement.
Plus qu’un réexamen, j’aimerais qu’on propose des stages de remise à niveau facultatifs. Ça serait plus incitatif et moins infantilisant.
Je comprends les inquiétudes sur la sécurité, mais je pense qu’on devrait peut-être plus encourager les alternatives à la voiture pour les aînés.
Moi, je me demande surtout si l’examen sera adapté. Un test sur simulateur serait peut-être plus pertinent qu’un parcours en ville stressant.
Ma grand-mère a arrêté de conduire à 80 ans, de son propre chef. La sagesse, parfois, existe.
C’est pas tant le réexamen qui me choque, c’est l’âge arbitraire. Pourquoi 72 et pas 75 ? La compétence, ça se juge au cas par cas.
Et si on parlait plutôt d’une visite médicale régulière, avec un médecin traitant qui connaît bien son patient ? Ça me paraîtrait plus humain.
C’est facile de taper sur les vieux, mais on oublie qu’ils ont cotisé toute leur vie pour nos routes. C’est un peu ingrat, non ?
J’ai peur pour mon père. Il a toujours été un as du volant, mais avec l’âge… ça me stresse.
Je trouve cette proposition stigmatisante. On oublie que beaucoup de seniors sont encore très actifs et ont besoin de leur voiture.
Je trouve ça hypocrite. On se cache derrière la sécurité, mais c’est surtout une manière de limiter les dépenses liées aux retraites et aux soins.
Franchement, ça me fait penser à ma propre mort un peu. Qui décidera que je ne suis plus apte ? C’est ça qui est flippant.
Moi, je me demande si l’infrastructure est adaptée aux conducteurs âgés. Les panneaux sont parfois petits et la signalisation, complexe. On devrait peut-être commencer par ça.
Je suis aide à domicile et je vois bien que certains ont du mal. C’est pas de leur faute, mais c’est dangereux pour eux et les autres.
Je ne suis pas sûr que ce soit la solution. On risque de créer un sentiment d’injustice terrible chez les personnes concernées.
Je me demande si l’accidentologie est vraiment plus forte chez les plus de 72 ans comparé aux jeunes conducteurs ? Les statistiques devraient être la base de cette décision.
J’ai toujours pensé qu’on devrait se concentrer sur la formation continue, quel que soit l’âge. Plutôt que de punir, on pourrait proposer des stages de remise à niveau obligatoires.
Ma grand-mère a arrêté de conduire à 80 ans, de son propre chef. C’est ça, la vraie question : l’autonomie de décider pour soi.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ce réexamen. Qui va payer ? Et si les gens renoncent à conduire faute de moyens, comment ils font pour leurs courses ou voir leurs proches ?
Le permis, c’est la liberté. On nous la reprend petit à petit, à tous les âges. Bientôt, faudra faire quoi pour aller à la pêche ?
J’espère juste qu’ils prendront en compte la diversité des situations. 72 ans, c’est pas vieux pour tout le monde.
Je crois que l’important, c’est surtout de ne pas infantiliser les seniors. Ils ont une expérience de la route que nous n’avons pas.
C’est toujours les mêmes qui trinquent. On préfère s’attaquer aux seniors plutôt que d’améliorer les transports en commun dans les zones rurales.
C’est une mesure brutale. On oublie que la voiture, c’est souvent le seul lien social qu’il reste.
Franchement, ça me rappelle mon père. Il s’accrochait à sa voiture comme à la prunelle de ses yeux, même quand il ne voyait plus très bien. Un drame pour lui d’arrêter.
Ma voisine, elle a vendu sa voiture à 75 ans. Au début, elle était triste, mais maintenant elle dit qu’elle est soulagée. Plus de stress, plus d’assurance à payer.
Plutôt que de tout miser sur l’âge, ne pourrait-on pas imaginer un système de points comme pour les jeunes conducteurs, mais à l’envers ? On gagnerait des points avec un comportement exemplaire.
C’est pas faux de vouloir contrôler, mais faudrait aussi penser à ceux qui vivent dans des bleds paumés. Sans voiture, c’est l’isolement total.
Moi, je me demande surtout si ces tests seront vraiment pertinents. Un examen stressant, ça ne reflète pas la conduite au quotidien.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la charge que ça va représenter pour les services administratifs. Déjà qu’ils sont débordés…
Moi, je pense surtout à la dignité. Forcer les gens à prouver qu’ils sont encore capables… C’est humiliant, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est le mot « aptitude ». On parle de quoi exactement? Vision, réflexes, ou connaissance du code ? C’est flou, et ça me paraît essentiel de le préciser.
J’ai juste peur que ça crée une fracture entre les générations, comme si on disait « vous êtes un danger, vous n’êtes plus capables ». C’est triste.
Je pense qu’on stigmatise trop vite. Mon grand-père conduit mieux que certains jeunes que je croise sur la route. L’âge n’est pas toujours un gage d’incompétence.
Je me demande si, au lieu de forcer tout le monde, on ne pourrait pas laisser le médecin traitant jouer un rôle plus important dans l’évaluation. Il connaît ses patients, leurs faiblesses.
Je comprends l’intention, mais je crains que ça n’éloigne encore plus les personnes âgées des soins médicaux par peur de perdre leur permis.
Ma mère a arrêté de conduire à 75 ans, de son propre chef. C’était sage. Peut-être qu’un peu d’incitation douce suffirait, plutôt qu’une loi brutale.
Et la conduite accompagnée pour seniors, on y a pensé ? Un coach pour les remettre à niveau, ça serait moins agressif.
C’est pas faux, la sécurité. Mais personne ne parle des vieux tracteurs qui polluent et roulent à 20 km/h, eux !
Et si on améliorait les transports en commun à la campagne à la place ? Ça éviterait à certains de prendre la voiture, quel que soit leur âge.
Et si on commençait par évaluer régulièrement tous les conducteurs, quel que soit leur âge ? L’usure physique et psychologique touche tout le monde, pas juste les seniors.
J’ai surtout peur de l’isolement que ça risque d’engendrer dans les villages. Sans voiture, c’est vite la prison dorée.
Repasser le permis à 72 ans ? Drôle d’idée. On dirait qu’on préfère embêter les retraités plutôt que de s’attaquer aux vrais problèmes de sécurité routière.
Je me demande si cette loi prend en compte les conducteurs professionnels retraités. Des décennies au volant, ça compte, non ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces examens. Qui va payer ? Nos retraites ne sont déjà pas énormes.
Mon grand-père a toujours conduit prudemment. C’est injuste de généraliser ainsi.
Je me demande si on ne stigmatise pas un peu trop vite une catégorie de population. L’âge ne fait pas tout, il y a des jeunes bien plus dangereux sur la route !
J’ai l’impression qu’on cherche une solution simple à un problème complexe. On met tous les seniors dans le même panier, c’est réducteur.
C’est sûr qu’on pense aux aînés, mais pense-t-on assez à ceux qui croisent leur route ? La sécurité, c’est pour tout le monde.
Franchement, ça me rappelle mon père. Il s’est accroché à sa voiture jusqu’au bout, même quand ce n’était plus raisonnable. C’était sa liberté, son lien au monde. Dur dilemme.
C’est infantilisant. On dirait qu’on nous considère incompétents dès qu’on passe un certain âge. J’ai plus peur des jeunes au téléphone que de mon voisin de 80 ans.
Je viens de perdre ma mère, 75 ans, dans un accident. Elle avait toute sa tête et conduisait mieux que certains que je croise. Cette loi ne l’aurait pas sauvée.
Je comprends l’idée, mais ça me fait peur pour l’isolement des gens à la campagne. Comment ils feront leurs courses ou iront chez le médecin ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de contrôle d’aptitude. Ça veut dire quoi concrètement ? Un test de réflexes ? Un parcours ? On est dans le flou.
Je me demande si ce n’est pas une question de bon sens, au fond. L’âge avance pour tout le monde, et on n’est pas toujours lucide sur ses propres capacités.
C’est marrant comme on panique pour les vieux au volant, mais on laisse des ados se tuer en scooter sans trop broncher. Priorités, quand tu nous tiens…
Ma grand-mère a arrêté de conduire à 70 ans, de sa propre initiative. Elle disait que la circulation était devenue trop nerveuse. Peut-être que la solution est là, dans la conscience individuelle.
Et si on arrêtait de se focaliser sur l’âge et qu’on misait plutôt sur des bilans de santé réguliers obligatoires, quel que soit l’âge du conducteur ?
Le vrai problème, c’est qu’on ne prépare pas assez les gens à la perte du permis, quel que soit l’âge. On devrait avoir des alternatives viables et abordables.
Je suis surtout inquiet pour les petits villages. Sans voiture, plus de médecin, plus de commerces. La mort assurée.
Franchement, ça sent la mesurette pour calmer les angoisses. On s’attaque à une tranche d’âge, mais la compétence, ça se perd à tout âge, non ?
Moi, ça me rappelle surtout la pression qu’on met sur nos aînés. On dirait qu’ils sont coupables avant d’avoir fait quoi que ce soit.
Je me demande si on ne devrait pas plutôt se concentrer sur la formation continue pour tous les conducteurs, peu importe leur âge. Les règles changent tellement vite.
On pointe du doigt les seniors, mais l’agressivité au volant, elle, ne semble pas avoir d’âge. C’est peut-être là qu’il faudrait commencer.
J’ai peur que ça crée des inégalités. Ceux qui ont les moyens iront se faire coacher pour l’examen, les autres non.
Moi, je vois surtout que ça va encore plus isoler ceux qui vivent à la campagne.
Je trouve ça infantilisant. On traite les seniors comme des enfants incapables de prendre leurs propres décisions.
C’est peut-être maladroit, mais je préfère ça à un accident grave impliquant une personne qui n’est plus apte à conduire. La sécurité avant tout, même si c’est dur.
Franchement, ça me fait penser qu’on va finir par nous mettre tous sur des rails. Bientôt, plus le droit de rien sans un contrôle.
Et si on arrêtait de voir les seniors comme un problème ? Mon grand-père conduit mieux que moi, et il a 80 ans passés. On devrait évaluer les gens sur leurs compétences réelles, pas sur leur âge.
C’est drôle, on dirait qu’on veut tous vivre plus longtemps, mais sans accepter les conséquences du vieillissement.
Ça me rappelle mon voisin. Il a arrêté de conduire à 75 ans, de lui-même, pour ne pas être un danger. C’est ça, la vraie sagesse.
C’est vrai que ça fait peur. Mais ma mère a insisté pour continuer à conduire malgré des réflexes moins vifs. On a frôlé la catastrophe une fois.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la validité de ces tests. Est-ce qu’ils vont vraiment refléter la capacité à conduire au quotidien ?
Plus de visites dominicales chez les petits-enfants si je dois passer un examen tous les deux ans… C’est ça la vie qu’on nous propose ?
Je me demande si on a pensé aux coûts additionnels pour les aînés. Qui va payer ces examens ? Et si on échoue, les transports en commun sont-ils vraiment adaptés partout ?
J’ai vu mon oncle perdre son permis après un AVC. C’était dur pour lui, mais c’était aussi une source de soulagement pour sa femme.
On dirait qu’on parie sur la mort des campagnes. Sans voiture, comment on fait pour aller au marché ?
Je suis partagé. Ma grand-mère a arrêté de conduire à 80 ans, et ça l’a isolée. Mais objectivement, c’était devenu risqué pour elle et les autres.
Ma femme est aide à domicile. Je vois bien que certains devraient s’arrêter, pour leur bien et celui des autres. Ce n’est pas une question d’âge, mais de lucidité.
Moi, ce qui me choque, c’est l’âge arbitraire. Pourquoi 72 ans et pas 70 ou 75 ?
Franchement, je trouve qu’on stigmatise encore une fois les seniors. On a qu’à faire des contrôles plus réguliers pour tout le monde, non ?
Le débat est légitime, mais je pense surtout à la montagne de travail que ça va engendrer pour les administrations. Sont-elles prêtes ?
Je suis infirmier et je vois trop souvent les conséquences d’accidents liés à des conducteurs âgés. C’est triste, mais parfois nécessaire.
Je ne suis pas sûr que ce soit la bonne solution, mais il faut reconnaître que la vue baisse avec l’âge. Un test de vision régulier serait peut-être plus pertinent.
Ma mère a 80 ans et conduit toujours. Elle fait ses courses, voit ses amies. Lui enlever ça, c’est lui enlever sa vie sociale.
Repasser son permis à 72 ans ? Bof… J’ai plus peur des jeunes qui conduisent en filmant des vidéos sur TikTok.
Je pense surtout à tous ces villages où la voiture est indispensable. Comment on fait quand il n’y a plus de bus?
On parle beaucoup des aînés, mais qu’en est-il des jeunes conducteurs qui cumulent alcool, drogue et vitesse ? Le problème est peut-être plus large.
Et si on encourageait plutôt des bilans de conduite volontaires ? Ça éviterait de braquer tout le monde.
C’est marrant, on dirait qu’on veut infantiliser les vieux. On ne leur fait pas confiance pour s’auto-évaluer ?
Je me demande si la perte d’autonomie est vraiment la seule chose en jeu. Ne serait-ce pas aussi une question de fierté et de dignité de pouvoir conduire aussi longtemps qu’on le souhaite?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la stigmatisation. On va encore pointer du doigt une catégorie de la population.
Ce qui me frappe, c’est la façon dont on focalise sur l’âge. On devrait évaluer les compétences, point. Pas l’année de naissance.
Moi, je me demande surtout comment on va organiser ces examens. Y aura-t-il assez de personnel pour ça ? Ça va coûter un bras à l’État, non ?
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on traite tout le monde pareil. Mon grand-père était un danger public à 70 ans. Ma voisine de 80 ans est plus alerte que moi.
Ce qui me choque, c’est qu’on parle de « proposition de loi ». Ça veut dire que rien n’est décidé ? J’ai l’impression que tout le monde s’emballe pour rien.
Moi, je pense à ma mère qui adore sa liberté. J’imagine sa tristesse si elle devait renoncer à ses balades.
C’est une sacrée épée de Damoclès au-dessus de la tête, cette histoire. J’imagine la pression que ça met sur les gens.
Moi, je me demande si on a pensé aux déserts médicaux. Sans voiture, comment ils font pour aller chez le docteur ?
J’ai peur que ça pousse certains à conduire sans permis par peur de l’examen. L’effet inverse de celui recherché.
Franchement, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle a toujours adoré conduire et ça la maintient active. J’espère juste que l’examen sera juste et bienveillant.
Je comprends l’intention, mais n’oublions pas que la solitude est déjà un fléau chez les aînés. Ça risque d’aggraver les choses.
C’est facile de pointer les vieux du doigt. Mais les jeunes qui téléphonent au volant, on en parle ?
C’est pas tant l’âge, mais la fréquence à laquelle on conduit qui compte, non ? Un jeune qui fait 50 000 bornes par an sera plus aguerri qu’un retraité qui sort sa voiture une fois par semaine.
Et les assurances, elles vont suivre ? Parce que si elles augmentent leurs tarifs pour les seniors, ça va être la double peine.
Et la télémedecine, on en est où ? Si c’était plus développé, la voiture serait moins indispensable pour certains.
Je trouve ça injuste de stigmatiser une tranche d’âge. On devrait plutôt évaluer les compétences individuelles, peu importe l’âge.
L’État se mêle de ce qui ne le regarde pas. Chacun sait ses limites, non ?