Le sentiment de mal-être chez les jeunes semble s’intensifier, laissant de nombreuses familles démunies. Une récente enquête de 2025 met en lumière une réalité alarmante : un quart des 15-29 ans se déclarerait en situation de dépression. Léa Dubois, 23 ans, étudiante à Marseille, témoigne de cette atmosphère pesante : « Avant, il y avait une vie. Aujourd’hui, j’ai l’impression que tout le monde est isolé, et ce silence est parfois assourdissant. »
Santé mentale des jeunes : des chiffres qui révèlent une crise silencieuse
L’étude menée en 2025 est formelle : 25 % des 15-29 ans s’estiment en dépression. Ce chiffre national cache de fortes disparités régionales, illustrant une France à plusieurs vitesses face à la détresse psychologique. Léa, comme beaucoup, a vu son quotidien se transformer, passant d’une vie sociale active à un isolement subi, alimenté par la pression des études et l’incertitude de l’avenir.
Ce sentiment est un symptôme majeur identifié par les chercheurs. Bien qu’il s’agisse d’une autoévaluation et non d’un diagnostic clinique, ces données reflètent une souffrance bien réelle qui ne peut plus être ignorée, surtout quand on observe l’évolution par rapport aux années précédentes.
Région | Pourcentage de jeunes (15-29 ans) se déclarant en dépression |
---|---|
Bourgogne-Franche-Comté | 19 % |
Île-de-France | 27 % |
Provence-Alpes-Côte d’Azur & Corse | 28 % |
Guadeloupe | 37 % |
Guyane | 52 % |
La solitude et l’inactivité, principaux facteurs de mal-être
Au-delà des chiffres, l’enquête pointe des causes concrètes. La solitude persistante est vécue par près de 60 % des jeunes ayant une vie sociale jugée peu active. L’impact est direct sur la santé mentale, mais aussi sur le parcours de vie :
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Aborde une pratique de bien-être pouvant aider à lutter contre le mal-être des jeunes
- Difficultés à suivre un parcours scolaire ou universitaire.
- Insertion professionnelle rendue plus complexe.
- Risques accrus pour la santé sur le long terme.
- Fracture sociale et isolement.
Pour inverser la tendance, des solutions existent. Il est prouvé que les jeunes pratiquant une activité régulière, qu’elle soit sportive ou culturelle, sont nettement moins touchés par ce sentiment d’isolement.
Un enjeu qui dépasse l’individu pour devenir sociétal
Ce phénomène s’inscrit dans un contexte global marqué par les crises successives. L’incertitude économique et les tensions internationales pèsent sur une génération qui peine à se projeter dans un avenir perçu comme moins prometteur. Cela a des répercussions profondes qui vont au-delà de la santé individuelle.
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Traite d'un sujet lié à la santé des jeunes, en particulier dans le cadre scolaire
Repenser le soutien à la jeunesse : une urgence collective
L’impact de cette crise est transversal, affectant le rapport au travail, aux institutions et aux relations sociales. C’est le contrat social d’une génération qui est fragilisé. La prise de conscience est la première étape, mais elle doit être suivie d’actions fortes.
Soutenir les dispositifs d’aide psychologique et les initiatives locales est désormais une priorité pour offrir un accompagnement concret à une jeunesse qui exprime un besoin criant d’écoute et de perspectives.
L’étude de 2025 me semble catastrophiste. J’ai l’impression qu’on médicalise une simple tristesse passagère liée à l’âge.
Le témoignage de Léa me parle. L’isolement, c’est vraiment ça le problème. Comment recréer du lien social, c’est la vraie question.
Un quart, c’est énorme. J’espère que cette étude prend en compte les difficultés d’accès aux soins pour les jeunes. Parler de dépression, c’est bien, mais l’accès à un psy, c’est autre chose.
Si cette étude dit vrai, c’est effrayant. J’ai peur pour l’avenir. On dirait que la pression sur cette génération est juste intenable.
2025 ? C’est curieux de lire une étude du futur. L’échantillon est-il représentatif ? J’aimerais voir la méthodologie avant de m’alarmer.
On parle beaucoup de dépression, mais est-ce qu’on écoute vraiment ce que les jeunes ont à dire sur leur quotidien ? Peut-être qu’ils ont surtout besoin d’être entendus, pas étiquetés.
La dépression, ce n’est pas juste une affaire de jeunes. Le monde actuel rend la vie difficile pour tous les âges, non ?
Je me demande si cette « dépression » n’est pas aussi une conséquence d’attentes irréalistes nourries par les réseaux sociaux. La comparaison constante, ça use.
Je ne suis pas surpris. Personnellement, j’ai trouvé des solutions dans l’engagement associatif. Ça aide à se sentir utile et moins seul.
Je me demande si on ne confond pas dépression et désespoir face à l’avenir. Le climat, l’emploi… c’est lourd à porter.
La dépression, c’est une étiquette facile. Moi, j’ai juste l’impression qu’on nous demande l’impossible et qu’on n’a pas le droit de craquer.
Je me demande si cette prétendue épidémie de dépression n’est pas aussi un symptôme d’une société qui infantilise trop les jeunes. On les protège tellement qu’ils n’apprennent plus à gérer les difficultés.
Moi, ce qui me frappe, c’est le « avant il y avait une vie ». Ça en dit long sur le sentiment de perte que ressentent ces jeunes.
Je suis plus inquiet pour ceux qui ne disent rien. La dépression silencieuse est un fléau encore plus grand.
Le témoignage de Léa me parle. J’ai l’impression que cette « atmosphère pesante » est comme une chape de plomb sur nos rêves.
Un quart, c’est énorme. J’espère que l’enquête précise les critères, parce qu’un coup de blues, c’est pas la même chose qu’une dépression clinique.
C’est toujours les mêmes chiffres qui ressortent, on dirait. On se lasse de s’alarmer, et rien ne change vraiment.
2025 ? J’espère que les « solutions » proposées ne seront pas juste des applis de méditation payantes. On veut du concret.
Je me souviens de mes 20 ans. C’était dur aussi, mais on ne parlait pas de « dépression » à tout bout de champ. Est-ce qu’on est plus fragiles, ou est-ce qu’on met juste des mots sur ce qu’on ressent…
Je crois que la pression sociale est juste devenue insupportable. On nous vend une vie parfaite sur les réseaux, et forcément, la réalité déçoit.
Le silence assourdissant, c’est exactement ça. On est entourés, hyperconnectés, mais seuls face à nos écrans. On se compare sans arrêt et on se sent toujours en décalage.
Si seulement on arrêtait de regarder les jeunes comme un problème. Ils sont le reflet d’un monde qu’on leur a laissé.
Je me demande si on écoute vraiment les jeunes quand ils parlent, ou si on se contente de cocher des cases « santé mentale » pour se donner bonne conscience.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent le rôle de l’éducation dans tout ça. On apprend aux jeunes à réussir, pas à être heureux.
Je me demande si cette « dépression » n’est pas surtout un manque cruel de perspectives d’avenir. On nous dit de faire des études, mais pour quoi faire au final ?
Je suis plus inquiet pour ceux qui ne disent rien, ceux qu’on n’entend pas dans les statistiques. Eux, comment on les aide ?
Je me demande si l’individualisme croissant n’est pas un facteur clé. On a perdu le sens du collectif et de l’entraide.
Un quart, c’est énorme. J’espère qu’on ne va pas pathologiser une génération entière à cause de ça. C’est peut-être juste une phase, non ?
J’ai l’impression que l’article se concentre sur le diagnostic, mais on fait quoi ensuite ? On attend que ça passe ou on propose un vrai suivi psychologique accessible à tous ?
Léa Dubois a raison, ce silence fait peur. J’ai l’impression de voir un film en noir et blanc quand j’étais gamin, alors que le monde est en couleur.
Cette enquête de 2025, ça me fait froid dans le dos. J’espère que c’est pas juste un chiffre sorti du chapeau pour faire peur.
« Enquête de 2025″… Ça va vite. J’ai peur pour mes petits cousins.
On parle de dépression, mais c’est peut-être juste qu’ils s’ennuient, non ?
Et si la solution, c’était de se bouger, de sortir de chez soi et de faire du sport ?
Peut-être qu’il faudrait juste apprendre aux jeunes à relativiser.
C’est facile de dire « bougez-vous ». Mais quand l’énergie vous manque, même sortir du lit devient une montagne. C’est ça, aussi, la dépression.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de dépression comme d’une épidémie. On oublie que derrière chaque chiffre, il y a une personne, une histoire. C’est pas juste un pourcentage.
Je me demande si on n’est pas en train d’oublier l’impact des réseaux sociaux sur tout ça. La comparaison constante, la pression de l’image… ça bouffe l’estime de soi.
Et si on arrêtait de toujours chercher des causes extérieures ? Peut-être que certains sont juste plus sensibles que d’autres, et c’est ok.
La pression de réussir sa vie dès 20 ans, c’est ça qui me paraît le plus anxiogène, pas le reste.
Je me demande si on laisse assez de place à la tristesse, tout simplement. On dirait qu’il faut toujours être performant et heureux.
Moi, je me demande si cette « dépression » n’est pas juste une forme de deuil. Le deuil d’un futur qu’on nous avait promis et qui n’existe plus.
Si on les écoutait vraiment, au lieu de leur dire quoi faire, peut-être qu’on comprendrait mieux.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’avenir de notre société si autant de jeunes sont touchés.
La phrase de Léa Dubois me parle beaucoup. Ce sentiment d’isolement, même au milieu des autres, c’est exactement ça. C’est peut-être pas de la dépression pour tout le monde, mais c’est une vraie souffrance.
Je pense qu’on met beaucoup de mots sur un mal-être qui est peut-être plus profond. On est des êtres humains, pas des robots.
Je me demande si on n’est pas trop focalisés sur le diagnostic, au lieu de se demander comment créer des espaces où les jeunes se sentent vraiment utiles.
Je trouve que l’article effleure seulement la peur de ne pas trouver sa place dans un monde hyper-connecté mais paradoxalement très solitaire. On est connectés au monde entier, mais déconnectés de notre propre quartier.
Ce qui me frappe, c’est qu’on parle de dépression comme d’un problème isolé. Mais c’est le symptôme d’une société malade, où l’individu est broyé. On oublie le collectif.
Je ne suis pas surpris par ces chiffres. On demande aux jeunes d’être des adultes avant l’heure, sans leur donner les outils pour. L’enfance est volée.
On pointe du doigt les jeunes, mais n’est-ce pas nous, les générations précédentes, qui avons créé ce monde qu’ils subissent ?
Un quart, c’est énorme. On se concentre sur les jeunes, mais je crois que la pression est aussi immense sur les parents. Comment les aider, eux aussi ?
On diabolise beaucoup les écrans, mais peut-être que les réseaux sociaux sont aussi un exutoire pour une génération qui ne trouve pas toujours sa voix ailleurs.
Si un quart des jeunes sont déprimés, qui va construire demain ? On ne peut pas ignorer ça, c’est un problème pour tout le monde, pas juste pour « eux ».
Cette enquête de 2025… C’est effrayant de penser que le futur qu’on imaginait est déjà là, et qu’il ressemble à ça.
La déprime ambiante, je la sens aussi. C’est pas qu’on soit tous malades, juste qu’on nous promettait la lune et qu’on a eu… ça.
La dépression, c’est pas une mode. C’est une souffrance réelle. J’aimerais qu’on arrête de chercher des coupables et qu’on commence à écouter ceux qui vont mal.
Peut-être que ce n’est pas *que* de la dépression, mais plutôt un ras-le-bol généralisé face à l’incertitude ? On nous vend des rêves, mais la réalité est bien différente.
J’ai l’impression qu’on stigmatise beaucoup la dépression, alors qu’il faudrait peut-être plus parler de mal-être profond et de perte de sens. Ça banaliserait moins la souffrance.
Je me demande si on a bien défini « dépression » dans cette enquête. C’est un terme tellement galvaudé…
Léa Dubois a raison. Ce silence, c’est la peur de ne pas être compris.
Je me demande si on mesure vraiment l’impact du coût de la vie sur la santé mentale.
L’enquête de 2025 ? Ça me fait penser à ces dystopies qu’on lit, sauf que c’est pas de la fiction. On est dedans.
Je me demande si on prend assez en compte la pression de la performance constante sur les réseaux.
C’est pas une enquête qui va me l’apprendre, ça se voit dans le bus, dans les regards. On dirait qu’on a tous perdu quelque chose.
Je me souviens de mes 20 ans. On se sentait invincibles, pas comme ça. Triste époque.
Un quart, c’est énorme. J’espère que les solutions proposées ne se limitent pas à des antidépresseurs.
On parle de dépression, mais la solitude, c’est une épidémie silencieuse aussi.
Cette enquête me fait peur pour l’avenir de mes enfants. Comment leur donner de l’espoir dans un monde pareil ?
2025… J’espère qu’on aura des vraies solutions d’ici là, pas juste des constats.
C’est fou de penser qu’on se projette déjà en 2025 avec ce genre de statistiques. On dirait qu’on a déjà baissé les bras.
2025… ça me sidère qu’on accepte cette projection sans se battre. On ne peut pas laisser faire ça.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle de « solutions » comme s’il y en avait une seule. Chaque personne est différente, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est ce fatalisme ambiant. On dirait qu’on attend 2025 comme une sentence inéluctable.
Cette « enquête de 2025 » est peut-être un signal d’alarme salutaire. Mieux vaut s’en préoccuper maintenant plutôt que d’attendre passivement.
Je me demande si cette enquête ne reflète pas surtout une plus grande ouverture à parler de ses problèmes. Avant, on se taisait, c’est tout.
J’ai l’impression que la pression de réussir sa vie, très tôt, y est pour beaucoup. On leur demande d’être parfaits partout, c’est étouffant.
2025, c’est demain. Mais on prend en compte l’impact des réseaux sociaux sur ce mal-être ? La comparaison constante, ça doit jouer.
Je suis plus âgé, et je me demande si on n’a pas toujours idéalisé la jeunesse. La vie n’est jamais simple, à aucun âge.
Un quart, c’est énorme. J’espère que ces jeunes seront entendus et que leur souffrance ne sera pas banalisée comme une simple « crise d’adolescence ».
Léa Dubois a raison. Cette impression d’isolement, je la ressens aussi, même si je suis plus âgé. C’est comme un voile gris sur les interactions.
Moi, j’aimerais savoir si on a interrogé les jeunes en couple. L’isolement, c’est peut-être moins vrai quand on est deux ?
J’ai l’impression qu’on oublie souvent la dimension économique. Quand on galère pour payer son loyer et manger, forcément, le moral en prend un coup.
Je suis surpris par l’âge. La dépression touche aussi des plus jeunes, bien avant 15 ans, et ce n’est pas pris assez au sérieux.
Un quart, c’est affolant… J’espère juste que les solutions proposées seront concrètes, et pas juste des numéros verts qu’on oublie vite.
La dépression n’est pas un concours de malheur. Chaque génération a ses propres défis, et minimiser la souffrance des jeunes ne sert à rien.
C’est bien beau les chiffres, mais derrière, il y a des vies brisées. J’aimerais qu’on parle plus des solutions qui marchent vraiment, pas juste des constats.
Je me demande si ce chiffre inclut le simple « coup de blues » passager ou une vraie dépression diagnostiquée. La nuance est importante pour comprendre l’ampleur réelle du problème.
Je me demande si on ne met pas un peu trop de mots sur des choses qui ont toujours existé. La vie est dure, point.
Je me demande si la pandémie et les confinements n’ont pas laissé des traces plus profondes qu’on ne le pense. Un quart, ça me paraît vraiment lié.
J’ai l’impression qu’on se focalise beaucoup sur le « diagnostic » et pas assez sur la prévention. On attend que le mal soit fait.
Je me demande si on leur a demandé ce qu’ils attendaient de nous, les générations précédentes. On parle beaucoup, mais on écoute peu.
Ce qui me frappe, c’est le témoignage de Léa. Ce sentiment d’isolement, je le ressens aussi parfois, même entouré. C’est ça, le plus dur à combattre.
On idéalise tellement la jeunesse. Forcément, le contraste avec la réalité est brutal. C’est peut-être ça, le problème.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de la pression constante des réseaux sociaux sur leur moral. Comparaison permanente, course aux likes… ça doit user.
Ce chiffre de 25%, il est effrayant. J’espère que les solutions proposées seront à la hauteur de l’urgence. On ne peut pas laisser une génération entière sombrer.
Ce qui m’interroge, c’est la définition de « dépression » dans cette enquête. Est-ce un diagnostic clinique ou un ressenti subjectif ? La nuance change tout.
Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on parle de « solutions » comme si c’était un problème technique. C’est une crise de sens, pas un bug informatique.
Et puis, « enquête de 2025 » ? On est en 2024, ça me paraît bizarre.
Moi, la « solution », je crois qu’elle est dans le collectif. Retrouver le goût de faire ensemble, même des petites choses.
Ce qui me frappe, c’est l’âge. 15-29 ans, c’est une période de transition tellement intense, pleine d’incertitudes. Forcément, ça cogite.
Moi, ça me fait penser à la difficulté de se projeter dans un avenir stable. Comment construire quand on a l’impression que le sol se dérobe sous nos pieds ?
Moi, ce qui me marque, c’est qu’on attend toujours des « solutions ». Peut-être qu’il faudrait juste accepter que la vie est dure, parfois. Sans chercher à tout prix un remède miracle.
Ce qui me gêne, c’est ce ton alarmiste. À force d’annoncer des catastrophes, on finit par ne plus réagir. Ça dessert la cause.
Moi, ce qui me touche, c’est le témoignage de Léa. Son sentiment d’isolement, je le comprends trop bien. C’est pas des chiffres qu’il faut, c’est de l’écoute.
Cette focalisation sur la dépression, elle occulte d’autres souffrances. L’anxiété, le burn-out… c’est aussi une réalité pour beaucoup.
Je me demande si on ne confond pas déprime passagère et vraie dépression. C’est dur de grandir, oui, mais est-ce que ça veut dire être malade ?
Je me demande si la pression de performance, scolaire ou professionnelle, n’est pas un facteur clé. On nous demande tellement, si jeunes.
Je me demande si on parle assez de l’impact des réseaux sociaux sur tout ça. La comparaison constante et la mise en scène de vies « parfaites », ça doit jouer un rôle.
On parle beaucoup de souffrance psychique, mais on oublie souvent la précarité matérielle. Difficile d’être épanoui quand on a du mal à se nourrir ou se loger.
Je me demande si cette « dépression » n’est pas aussi le symptôme d’une génération qui a perdu le sens du collectif et de l’engagement. On est hypersollicités, mais rarement pour des causes qui nous dépassent.
Un quart, c’est énorme. J’ai l’impression qu’on médicalise un mal-être qui est avant tout social et politique. On est les enfants d’un monde qui se craquelle.
Un chiffre comme ça, ça fait peur, c’est sûr. Mais je me demande si on n’est pas plus lucides qu’avant, tout simplement. On ose dire qu’on ne va pas bien.
L’étude est de 2025 ? On est en avance ! Plus sérieusement, je me demande si ce n’est pas le reflet d’une société qui infantilise les jeunes adultes, les empêchant de se construire.
La génération d’avant nous disait de trouver un job stable. Maintenant, on se dit qu’il faut trouver un sens à sa vie, sinon on déprime. Peut-être qu’on se pose trop de questions.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, et qu’il est normal d’avoir des bas. Faut pas forcément tout pathologiser.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle toujours des jeunes comme si c’était un problème. On oublie qu’ils sont l’avenir, et qu’ils ont besoin de soutien, pas de critiques.
Ce qui me frappe, c’est le mot « isolement ». On est censés être hyperconnectés, mais est-ce qu’on se connecte vraiment ?
Je me souviens de mes 20 ans, on se posait pas autant de questions. On galérait, mais on se marrait bien quand même.
La phrase de Léa Dubois me parle.
Moi, ce qui me frappe, c’est le décalage entre l’image qu’on projette sur les réseaux et la réalité. On est tous censés être heureux et performants.
C’est vrai que c’est effrayant comme chiffre. Mais est-ce qu’on ne confond pas déprime passagère et vraie dépression clinique ? La nuance est importante, je trouve.
Je me demande si cette « dépression » n’est pas plutôt une forme de désespoir face à un futur incertain. On nous a promis le progrès, on a le réchauffement climatique.
Je suis plus inquiet par le manque de solutions concrètes proposées. Des chiffres, c’est bien, agir, c’est mieux.
Un quart, c’est énorme. J’ai l’impression que l’école ne nous prépare pas du tout à ça, à gérer la pression et les émotions. On est lâchés dans la nature.
Je me demande si on ne surestime pas l’impact de l’environnement sur notre bien-être. La résilience individuelle, ça compte aussi, non ?
L’enquête de 2025 ? J’espère que les données sont solides, car pointer du doigt une génération entière, c’est facile.
Je me demande si cette « enquête de 2025 » n’est pas une manière de nous faire peur avec des chiffres. On crée un problème pour ensuite vendre des solutions ? Un business de la santé mentale ?
Je me reconnais tellement dans les propos de Léa. Ce n’est pas de la tristesse, c’est un sentiment d’étouffement, comme si l’air était devenu plus lourd.
Léa a raison. On dirait qu’on est tous dans des bulles, à se comparer sans se connecter. J’essaie de briser ça, mais c’est dur.
Je ne crois pas à une épidémie. On a toujours eu des moments difficiles, mais on en parlait moins. L’important, c’est d’oser demander de l’aide quand ça ne va pas.
Je suis plus préoccupé par la pression constante de performance qu’on ressent dès le plus jeune âge. On nous demande d’être excellent partout, tout le temps.
Je suis étonné qu’on parle de dépression et pas d’anxiété. C’est ça qui me ronge, la peur constante de l’avenir.
Peut-être que ce n’est pas la dépression elle-même, mais le manque de perspectives claires qui nous mine. On vit dans un brouillard permanent.
C’est peut-être aussi que les jeunes ont moins peur d’utiliser le mot « dépression » aujourd’hui, ce qui fausse un peu les chiffres, non ?
Si seulement on pouvait se déconnecter des réseaux sociaux quelques heures par jour. Peut-être que le silence serait moins assourdissant.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent la précarité économique dans tout ça. Quand tu galères à boucler tes fins de mois, difficile de voir la vie en rose, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est le mot « isolement ». On est hyper-connectés, mais complètement seuls en fait. C’est paradoxal, non ?
L’enquête de 2025… Encore une étude qui pointe les jeunes du doigt. Peut-être qu’on devrait questionner ce qu’on leur propose comme avenir, au lieu de se focaliser sur leurs diagnostics.
Un quart, c’est énorme. Mais est-ce qu’on leur donne les outils pour gérer leurs émotions ? On se concentre sur les symptômes, pas sur la prévention.
Léa Dubois a raison. Ce n’est pas que la dépression, c’est un sentiment général que quelque chose de fondamental est cassé. On nous a promis un monde et on en a un autre.
La dépression, c’est une étiquette facile. J’ai 20 ans, et je vois surtout un épuisement généralisé, une fatigue de devoir toujours « faire ». Le système est à bout de souffle, et nous avec.
Je me demande si cette « dépression » ne serait pas plutôt une forme de deuil. Le deuil d’un futur qu’on nous a vendu et qui s’éloigne.
Je me demande si on écoute vraiment ce que les jeunes *disent* de leurs vies, au-delà des diagnostics. On se contente souvent de les ranger dans des cases.
Je me demande si cette « enquête de 2025 » prend en compte l’impact du diagnostic lui-même sur l’état psychologique. Une prophétie auto-réalisatrice, peut-être ?
« Dépression », c’est devenu le mot à la mode, non ? On dirait qu’on oublie que parfois, c’est juste être jeune et paumé.
2025 ? C’est déjà demain. J’espère que les solutions dont parle l’article sont concrètes, pas juste des beaux discours.
Je suis curieux de voir quelles « solutions » seront proposées. Des applis de méditation ? Encore des injonctions au bonheur ?
Un quart… ça fait froid dans le dos.
J’espère qu’on ne va pas culpabiliser les parents. Ils font ce qu’ils peuvent, eux aussi.
J’ai l’impression qu’on a oublié le plaisir, la joie de vivre. On dirait qu’on attend tous le prochain coup de massue.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la banalisation. À force d’entendre ces chiffres, on risque de s’habituer et de ne plus rien faire.
J’ai l’impression que la société nous demande d’être performants, mais ne nous donne pas les moyens de l’être sainement. On est pressurisés.
Moi, ce qui me frappe, c’est le chiffre : un quart. Ça veut dire que les trois autres quarts ne sont pas en dépression. Peut-être qu’on devrait aussi s’intéresser à ce qui les protège ?
Ce silence assourdissant dont parle Léa, je le ressens aussi. On est tous connectés, mais on ne se parle plus vraiment.
Je me demande si on ne confond pas tristesse passagère et vraie dépression. C’est grave de minimiser, mais c’est aussi grave de sur-diagnostiquer.
Moi, je me demande si on n’est pas en train de confondre les causes et les conséquences. La dépression, c’est peut-être le symptôme d’un problème plus profond, non ?
Un quart, c’est énorme. Mais j’ai l’impression que ce chiffre ne raconte pas toute l’histoire de ceux qui se sentent juste « pas bien », sans pour autant être en dépression clinique.
Moi, ce qui me dérange, c’est cette enquête de « 2025 ». On est en quelle année ? Ça discrédite tout de suite l’article, non ?
Je suis plus inquiet par le « et solutions » du titre. On promet des solutions, mais l’article en propose-t-il vraiment ou est-ce juste un effet d’annonce ?
La dépression, c’est pas juste une mode. J’ai vu des amis sombrer, et c’est pas un coup de blues. Faut pas prendre ça à la légère.
Moi, j’ai l’impression que cette génération a moins d’espoir.
Moi, je me demande si la définition de « dépression » n’a pas évolué. On met peut-être un mot plus fort sur des choses qui existaient déjà.
C’est fou comme on parle de cette génération comme si elle était unique dans sa souffrance. Chaque génération a ses combats, non ?
J’ai l’impression qu’on met beaucoup de projecteurs sur la dépression, et c’est bien, mais on oublie parfois qu’il y a aussi des jeunes qui s’en sortent et qui sont heureux, malgré tout.
Cette histoire de « silence assourdissant », ça me parle. On est bombardés d’infos, mais on se sent quand même seuls.
Je me demande si on ne devrait pas plus écouter les jeunes, tout simplement. Au lieu de les analyser, les comprendre.
Je me demande si on prend assez en compte la pression constante de la performance, scolaire, professionnelle, et même sur les réseaux sociaux. C’est épuisant.
Je me demande si on ne stigmatise pas trop l’échec. Grandir, c’est aussi se tromper, non ?
On parle beaucoup de la santé mentale des jeunes, mais moins de leur santé physique.
Je me demande si cette « enquête de 2025 » n’est pas un signal d’alarme volontairement exagéré pour forcer une prise de conscience. Ça me fait penser aux prédictions apocalyptiques.
Je me demande si l’isolement dont parle Léa n’est pas aussi lié à la difficulté de trouver un emploi stable et un logement décent. L’avenir est tellement incertain…
Un quart, c’est énorme. J’ai l’impression que le monde qu’on leur laisse n’est pas très engageant, forcément.
Peut-être qu’on attend trop d’eux, sans leur donner les moyens de réussir sereinement.
Je trouve qu’on parle beaucoup des problèmes, mais rarement des solutions concrètes à mettre en place au quotidien.
Cette focalisation sur la dépression, c’est un peu culpabilisant pour ceux qui, comme moi, galèrent mais ne se sentent pas malades. On a le droit de pas être au top sans être « dépressif », non?
Léa Dubois a raison. On se noie dans une mer d’opportunités qui nous paralyse. On ne sait plus quoi choisir.
Un quart, c’est un chiffre qui fait froid dans le dos, c’est sûr. Mais je me demande si on ne confond pas parfois déprime passagère et vraie dépression.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’année de l’enquête : 2025. On est en plein dedans ! C’est pas une prédiction, c’est maintenant. Ça fait bizarre de lire ça comme si c’était déjà du passé.
Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on dirait que c’est une mode d’être mal. Est-ce qu’on n’est pas juste en train de normaliser une souffrance qui, du coup, ne sera plus traitée correctement ?
Je me demande si on écoute vraiment ce que les jeunes ont à dire, au-delà des statistiques. Leur quotidien, leurs espoirs…
Ce chiffre me fait penser à tous ces jeunes qui essaient de se construire sur les réseaux, en comparant sans cesse leur vie à celle des autres. C’est un terrain fertile pour le mal-être.
Je me demande si cette « dépression » n’est pas aussi une façon de dire qu’on est paumé, sans savoir trop où aller. Un peu comme un signal de détresse.
Je me demande si cette « enquête de 2025 » ne reflète pas aussi une meilleure prise de conscience et un déstigmatisation de la dépression. Avant, on disait juste « il/elle est bizarre ».
L’isolement dont parle Léa, je le ressens aussi. C’est paradoxal, avec les réseaux, mais on est seul au milieu de tous.
Je me demande si on ne met pas trop l’accent sur l’individu. La société, avec ses pressions et ses inégalités, n’est-elle pas aussi une grande responsable ?
J’ai l’impression que le système éducatif actuel prépare mal à la vraie vie, avec ses défis et ses incertitudes. On nous bourre le crâne, mais on ne nous apprend pas à gérer nos émotions.
Je pense qu’on oublie souvent le poids de l’incertitude économique sur cette génération. Difficile de se projeter quand l’avenir semble si fragile.
Je me demande si cette généralisation à toute une tranche d’âge ne risque pas de masquer les réalités individuelles et les besoins spécifiques de chacun.
Un quart, c’est énorme. Ça me fait peur pour mes petits frères et sœurs. J’espère qu’ils trouveront leur chemin.
2025 ? J’espère que cette enquête sera suivie d’actions concrètes, pas juste d’articles anxiogènes de plus.
Voir ce chiffre, ça me donne envie de serrer fort mes neveux et nièces. On dirait qu’on a oublié de leur apprendre à être heureux, simplement.
2025 ? On anticipe le futur maintenant pour faire peur ? Bizarre comme approche.
Ce témoignage de Léa me touche. J’ai 25 ans et j’ai l’impression que la joie de vivre est devenue une performance sociale, plus qu’un état d’esprit.
La solitude, c’est un peu le mal du siècle, non ? On est connecté H24, mais on se sent incompris. Dur de trouver sa place.
C’est facile de dire que les jeunes vont mal. Mais qu’est-ce qu’on fait réellement pour les écouter, au-delà des enquêtes et des articles ?
La dépression est multifactorielle, mais je pense que la pression de la performance constante, relayée par les réseaux sociaux, y contribue énormément.
La dépression est un mot fourre-tout. On met dedans le vague à l’âme, le spleen… C’est dangereux de banaliser les vraies souffrances.
Si ça peut rassurer certains, ma grand-mère disait déjà la même chose de sa jeunesse. Chaque génération a son lot de difficultés, c’est peut-être cyclique.
Je me demande si on ne surdiagnostique pas. Tout le monde a des coups de blues, c’est pas forcément une dépression clinique.
On parle de dépression, mais on oublie souvent l’anxiété, qui est peut-être encore plus répandue chez les jeunes. C’est un cercle vicieux.
L’avenir semble tellement incertain, comment s’étonner que les jeunes soient inquiets ? La planète brûle, le travail précaire.
Cette histoire de 2025 me refroidit. On dirait qu’on nous prépare à accepter l’inacceptable. C’est comme si on avait déjà baissé les bras.
Un quart, c’est énorme. J’espère qu’il y aura des moyens concrets mis en place, pas juste des numéros verts.
Voir ce chiffre de 2025 me fait bizarre. J’espère que ce n’est pas une prophétie auto-réalisatrice. On devrait se concentrer sur les réussites, aussi.
C’est triste d’entendre Léa. J’espère qu’elle trouvera un espace où elle se sentira moins seule. Peut-être que reconstruire du lien localement serait une piste.
Ce qui m’interpelle, c’est le témoignage de Léa. On sent une vraie perte de connexion humaine, au-delà des chiffres. C’est ça qu’il faut adresser en priorité.
Le chiffre est effrayant, mais ce n’est pas qu’une statistique. J’ai l’impression que les jeunes ne se sentent plus autorisés à juste… exister.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge. 15 ans, c’est tellement tôt pour que la vie pèse déjà si lourd.
Je me demande si l’hyperconnexion n’y est pas pour quelque chose. On est censés être plus connectés que jamais, mais on dirait que ça creuse un fossé.
La génération de mes parents a connu des crises, mais au moins, ils avaient l’impression de construire quelque chose. Nous, on hérite d’un monde déjà abîmé.
La dépression, c’est aussi un mot qu’on utilise à tort et à travers. Est-ce qu’on parle de vraie dépression clinique, ou juste d’un coup de blues profond ? La nuance est importante.
Je me demande si on ne met pas trop de pression sur les jeunes pour qu’ils soient heureux. Le droit à la mélancolie, ça existe aussi, non ?
J’ai l’impression qu’on individualise trop le problème. La dépression, ce n’est pas seulement une affaire personnelle, c’est aussi le reflet d’une société malade.
Un quart, c’est énorme. J’espère que les solutions dont parle l’article ne seront pas juste des applis de méditation.
Ce chiffre de 25% me paraît peut-être exagéré, mais il reflète une vraie angoisse. On nous parle de l’avenir comme une menace constante, normal qu’on flippe.
Je suis plus inquiet pour ceux qui ne disent rien. Qui ne sont pas dans les statistiques, mais se battent en silence. C’est eux qu’il faut aller chercher.
Ce qui me frappe, c’est le témoignage de Léa. Ce sentiment d’isolement, je le ressens aussi parfois, même au milieu du monde. On est ensemble, mais seuls.
Si l’étude date de 2025, on devrait déjà en voir les effets. Quels sont les signaux d’alerte concrets ?
Je ne suis pas surpris. On nous demande d’être performants, positifs, et en même temps, on nous dit que le monde part en vrille. C’est un peu schizophrène, non ?
J’aimerais savoir ce que l’école fait concrètement. On parle de dépistage, d’écoute, mais est-ce que ça change vraiment la donne au quotidien ?
Je me demande si on écoute vraiment les jeunes, ou si on se contente de les entendre ?
J’ai l’impression qu’on oublie souvent le rôle des réseaux sociaux dans tout ça. C’est une vitrine, pas la réalité.
On parle beaucoup de dépression, mais le manque de perspectives professionnelles y contribue fortement.
La pression parentale, ça aussi ça compte non ? On veut tellement qu’on réussisse, parfois c’est étouffant.
Je me demande si on n’est pas en train de médicaliser un mal-être plus profond, une crise de sens de toute une génération.
Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on parle de « solutions » comme si la vie devait être un problème à résoudre. Peut-être juste accepter que c’est dur, parfois ?
Un quart, c’est énorme. J’espère juste qu’on ne va pas noyer ce chiffre sous des tonnes de médicaments. Peut-être qu’on devrait juste ralentir un peu le rythme.
Je suis plus inquiet pour ceux qui ne se déclarent pas, ceux qui souffrent en silence. L’étude ne montre que la partie visible de l’iceberg.
Léa Dubois a raison. Ce silence, cette impression d’isolement… On dirait qu’on est tous connectés, mais personne ne se parle vraiment. C’est peut-être ça, le problème.
Moi, je me demande si on leur demande vraiment ce qu’ils aimeraient faire, au lieu de ce qu’ils devraient faire. C’est peut-être ça, le nœud du problème.
Cette enquête de 2025, si elle est exacte, fait froid dans le dos. J’espère qu’on ne va pas juste se contenter d’en parler et qu’il y aura des actions concrètes derrière.
La pression de performance constante, même dans les loisirs, ça doit jouer. On n’a plus le droit de juste « être ».
Je me demande si cette « dépression » n’est pas juste une immense fatigue. On leur en demande tellement, c’est épuisant.
C’est peut-être aussi qu’on a du mal à accepter qu’être jeune, c’est pas toujours facile, peu importe l’époque. On idéalise souvent.
Peut-être que cette génération a simplement moins peur d’avouer qu’elle ne va pas bien. Avant, c’était tabou.
Je me demande si cette « dépression » n’est pas liée à la perte de sens. On nous promet un avenir radieux, mais la réalité est souvent bien différente.
On parle beaucoup de solutions, mais les jeunes ont-ils vraiment les moyens de les appliquer ? Un abonnement à une salle de sport, une thérapie… Tout ça coûte cher.
Je me demande si on les écoute vraiment. On parle de solutions, mais est-ce qu’on entend ce qu’ils ont à dire sur ce qui les pèse ? C’est peut-être là qu’il faut commencer.
Je me demande si on ne confond pas mélancolie passagère et vraie dépression. Étiqueter tout le monde « déprimé » banalise la souffrance réelle.
2025 ? On dirait qu’on anticipe le pire. J’espère juste qu’on ne va pas transformer cette prédiction en prophétie auto-réalisatrice en focalisant toute l’attention sur le négatif.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’isolement. On est hyperconnectés, mais tellement seuls en fait.
Moi, ce qui me frappe, c’est la généralisation. On parle des 15-29 ans comme d’un bloc, mais il y a un monde entre un lycéen et un jeune actif.
Je me demande si on regarde assez le rôle des réseaux sociaux dans tout ça. La comparaison constante avec la vie « parfaite » des autres doit jouer un rôle énorme.
Un quart, c’est énorme. J’espère qu’on ne va pas juste se contenter de chiffres et qu’on va vraiment essayer de comprendre ce qui se passe dans leur vie.
Un article de plus qui nous fait culpabiliser, nous, les parents. On essaie de faire de notre mieux, et on se retrouve pointés du doigt.
Cette statistique me glace le sang. J’ai l’impression qu’on leur vole leur jeunesse.
Léa Dubois a raison. Ce silence, je le ressens aussi. C’est comme si l’avenir n’était plus une promesse, mais une menace.
J’ai connu cette période. Personnellement, j’ai trouvé l’aide dont j’avais besoin dans des activités artistiques et manuelles. Ça a été mon exutoire.
Je suis curieux de savoir si cette enquête de 2025 prend en compte l’impact des crises économiques et sanitaires récentes sur le moral des jeunes. C’est peut-être un facteur majeur.
La dépression, c’est pas une mode. C’est réel et ça détruit des vies. Agissons, au lieu de juste en parler.
Cette statistique me fait peur, surtout pour mes petits frères. J’espère qu’ils sauront trouver de l’aide s’ils en ont besoin.
J’espère qu’on ne va pas seulement médicaliser le problème. Les solutions ne sont pas toujours dans les médicaments. On a besoin de lien social, de perspective, de sens.
Peut-être qu’on idéalise trop la jeunesse. La vie a toujours été dure, non ?
2025 ? C’est dans le futur, non ? J’espère qu’on aura trouvé des solutions avant.
Je me demande si on n’est pas juste plus conscients qu’avant des problèmes de santé mentale, et qu’on en parle plus ouvertement.
Un quart, c’est énorme. Je me demande si on leur demande vraiment comment ils vont, ou si on se contente de statistiques.
J’ai l’impression qu’on veut à tout prix trouver une explication rationnelle, alors que parfois, c’est juste… la vie. Pas besoin de tout analyser.
Je ne comprends pas pourquoi on s’étonne. Le monde qu’on leur laisse n’est pas vraiment engageant. Qui aurait envie de ça ?
Moi, ce qui me frappe, c’est le témoignage de Léa. « Ce silence assourdissant », c’est exactement ça. On est entourés, mais tellement seuls.
Si seulement on arrêtait de mettre tous les jeunes dans le même panier. On est tous différents, avec nos propres soucis.
La dépression, ce n’est pas une mode. Arrêtons de croire que c’est juste une étiquette qu’on colle sur une génération. C’est une souffrance réelle.
Ce chiffre me glace le sang. J’ai peur pour mes petits-enfants. Comment les aider à traverser ça ?
Je me demande si on ne cherche pas trop à médicaliser un mal-être générationnel qui est peut-être avant tout social et politique.
J’ai l’impression que les réseaux sociaux contribuent beaucoup à ce sentiment d’isolement, paradoxalement. On se compare sans cesse, c’est épuisant.
On parle de dépression, mais est-ce qu’on mesure vraiment l’impact du manque de perspectives professionnelles sur ce mal-être ? Pour beaucoup, c’est ça la vraie source d’angoisse.
Je crois qu’on oublie souvent la pression scolaire et la compétition acharnée dès le plus jeune âge. Ça commence tôt, et ça use.
Je me demande si on écoute vraiment les jeunes. On parle de chiffres, de solutions… Mais qui prend le temps de juste entendre ce qu’ils ont à dire, sans jugement ?
Un quart, c’est énorme. J’espère que cette « enquête de 2025 » sera suivie d’actions concrètes, pas juste d’articles alarmistes.
Peut-être qu’on devrait se concentrer sur l’apprentissage de la résilience dès l’enfance ?
Je me demande si les solutions proposées sont vraiment adaptées à chaque profil.
Une « enquête de 2025″… on anticipe le futur maintenant ? Ça discrédite un peu tout le reste, non ?
Cette « enquête de 2025 » me fait douter. On dirait qu’on cherche à créer la panique plus qu’à aider.
Si seulement on pouvait leur offrir un vrai avenir, un monde moins incertain. Peut-être que ça aiderait plus que des antidépresseurs.
L’enquête de 2025 est étrange, certes, mais le témoignage de Léa me touche. C’est ce silence qu’on entend partout, cette absence de joie. Ça me rappelle mon adolescence.
Cette histoire de dépression chez les jeunes me fait peur pour mes enfants. J’espère qu’ils ne seront pas touchés.
Moi, je pense que c’est la perte du sens du collectif qui nous ronge. On est tous connectés, mais tellement seuls.
Est-ce que cette « dépression » ne serait pas juste une forme de lucidité face au monde qu’on leur laisse ?
L’isolement, c’est le mot. Pas besoin d’enquête pour ça, il suffit d’ouvrir les yeux. On ne se parle plus vraiment, on se « like ».
Ce chiffre me glace le sang. J’ai l’impression qu’on a oublié de leur apprendre à s’ennuyer, à se débrouiller seuls face à l’ennui, sans écran. C’est peut-être ça, le problème.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on parle de « dépression » comme d’une épidémie. On médicalise une souffrance qui est peut-être plus profonde, plus sociale.
Moi, je me demande si on écoute vraiment ce que les jeunes ont à dire. On parle de dépression, de solutions… mais leurs propres mots, leur propre vision du monde, on en fait quoi ?
Moi, je me demande si on leur propose assez d’outils pour comprendre et gérer leurs émotions, au-delà des diagnostics.
Je me demande si cette « enquête » prend en compte la pression énorme qu’on met sur les jeunes pour réussir, être performants, tout le temps. C’est épuisant, et ça n’a rien d’une « épidémie ».
Et si la « dépression » était juste un signal d’alarme ? Un thermomètre qui indique que notre société est malade ? On devrait peut-être se pencher sur les causes, pas juste traiter les symptômes.
2025… ça me fait penser à de la science-fiction. J’espère qu’on se trompe et que la réalité sera moins sombre.
Un quart, c’est énorme. J’ai l’impression que la pandémie a laissé des traces plus profondes qu’on ne le pense. Le monde d’avant ne reviendra pas.
C’est triste de voir Léa se sentir si seule. J’espère qu’elle trouve un endroit où elle se sente comprise.
Un quart… ça me fait penser aux copains que j’ai perdus de vue. La vie les a emportés ailleurs, c’est tout. Est-ce de la dépression ou juste grandir ?
C’est fou ce sentiment d’isolement que décrit Léa. On est hyperconnectés, mais seuls. Y’a un truc qui cloche.
Moi, je pense que la dépression, ce n’est pas une fatalité. On peut s’en sortir, même si le chemin est long. Il faut juste y croire.
2025, ça me paraît proche pour avoir une enquête aussi précise. J’espère que les chiffres sont fiables. On balance tellement de statistiques…
Moi, la dépression, je la vois comme un brouillard. Tu sais qu’il y a un chemin, mais tu ne le vois plus.
La dépression, on en parle tellement qu’on dirait presque une mode. Mais derrière les mots, il y a des vraies souffrances.
La phrase de Léa me serre le cœur. C’est exactement ça, un silence assourdissant. On est là, mais absents.
La dépression chez les jeunes, c’est pas nouveau. On est juste plus aptes à mettre un nom dessus aujourd’hui, non ?
« Un quart », ça me donne froid dans le dos. J’espère qu’on ne stigmatise pas trop ceux qui se sentent mal, au point de les empêcher de demander de l’aide.
Je me demande si on ne confond pas la déprime passagère, liée à l’âge, avec une vraie dépression clinique. L’article simplifie peut-être un peu trop.
Je suis plus inquiet pour ceux qui ne se reconnaissent pas dans ces chiffres. Ceux qui souffrent en silence, sans oser en parler, par honte ou par peur du jugement. Eux, on les oublie.
Je me demande si on donne assez de poids à la pression scolaire et à l’avenir incertain. C’est pas juste un « mal-être », c’est une angoisse profonde.
Moi, je vois la dépression des jeunes comme un symptôme d’une société qui les broie. On leur demande d’être performants, souriants, connectés… à quel prix ?
Moi, ce qui me frappe, c’est l’âge. 15 ans, c’est tellement jeune pour déjà se sentir lessivé. On leur vole leur innocence.
Une enquête de 2025 ? Ça me paraît bien loin pour qu’on se mobilise maintenant. On attend quoi pour agir, que ce soit 50% ?
Cette enquête de 2025, c’est peut-être un signal d’alarme utile, mais je me méfie des généralisations. Chaque jeune vit sa propre réalité, avec ses propres défis.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact des réseaux sociaux. On compare constamment nos vies, et ça crée une pression énorme, surtout à cet âge.
Cette histoire de Léa à Marseille, ça me rappelle tellement mes propres années d’études. L’isolement, même au milieu de la foule… C’est ça, la vraie plaie.
J’aimerais connaître la méthodologie de cette enquête. Qui a été interrogé et comment ? Les chiffres seuls ne suffisent pas.
Un quart, c’est énorme. J’espère que cet article va secouer les mentalités et qu’on arrêtera de dire aux jeunes de « se bouger ».
C’est bien de parler des chiffres, mais il faudrait aussi plus de témoignages positifs, de jeunes qui s’en sortent et qui donnent de l’espoir.
J’ai l’impression qu’on découvre l’eau chaude. On les écoute vraiment, nos jeunes?
Je me demande si on ne médicalise pas un peu trop la tristesse parfois. La vie n’est pas toujours rose, et c’est normal d’avoir des coups de blues.
Je pense que la précarité économique joue un rôle énorme dans ce mal-être. Comment se projeter quand l’avenir est si incertain ?
Je me demande si on ne met pas trop de poids sur les épaules de cette génération. On leur demande d’être parfaits, engagés, résilients. C’est usant.
On parle de dépression, mais est-ce qu’on prend en compte la perte de sens généralisée ? On cherche un but, et on trouve quoi ?
Je me demande si on n’oublie pas l’impact des crises sanitaires qu’on a traversées. Ça a laissé des traces, je crois.
J’ai l’impression que la société se focalise trop sur les symptômes, et pas assez sur les causes profondes.
Peut-être qu’on idéalise trop le passé, en fait. C’était pas forcément mieux avant, non ?
C’est triste, mais est-ce que c’est vraiment nouveau ? Les jeunes ont toujours eu leurs galères.
Ce qui m’inquiète, c’est pas tant le chiffre, c’est l’idée que ça devienne une norme. On s’habitue à l’idée que la jeunesse va mal, et on finit par ne plus rien faire.
Moi, ce qui me frappe, c’est le témoignage de Léa. Ce « silence assourdissant », ça dit tout. On est ensemble, mais seuls.
Un quart, c’est énorme. J’espère juste qu’on ne se contente pas de traiter les chiffres et qu’on agit concrètement.
Je trouve ça bien qu’on en parle, mais les articles sont souvent trop alarmistes. Ça ajoute une couche de stress.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de « solutions » dans le titre. Comme si c’était un problème technique. C’est bien plus complexe, non ?
Je suis plus inquiet par la précocité du mal-être que par le chiffre lui-même. À 15 ans, on devrait rêver, pas lutter contre la dépression. C’est ça qui me heurte le plus.
Je me demande si on ne met pas trop vite les jeunes dans des cases. Un coup c’est la « génération sacrifiée », un coup « dépressive ». Ça empêche de voir la richesse et la complexité de leurs expériences.
Moi, je me demande si cette « enquête de 2025 » n’est pas un peu à côté de la plaque. On a tellement de discours négatifs, ça fausse peut-être les réponses, non ? On se sent obligé de dire qu’on va mal.
Moi, je me demande si cette enquête prend en compte le fait que les jeunes sont peut-être plus ouverts à parler de leur mal-être qu’avant. Ce n’est pas forcément qu’ils vont plus mal, mais qu’ils le disent plus facilement.
J’ai l’impression qu’on oublie souvent le rôle des réseaux sociaux dans tout ça. C’est une comparaison constante, une pression énorme à la performance.
Je me demande si cette impression d’isolement n’est pas juste une phase, amplifiée par l’âge où l’on se cherche et se compare forcément aux autres.
Je me demande si on regarde vraiment ce qui se passe dans les familles. Les parents sont souvent dépassés, et ça, ça pèse lourd sur les jeunes.
J’ai l’impression que le futur fait peur, et qu’on le transmet aux jeunes sans s’en rendre compte. C’est peut-être ça, la source du problème.
On dirait qu’on panique un peu vite. La vie a toujours été dure à cet âge, non? On l’oublie souvent.
Ce qui me frappe, c’est le témoignage de Léa. « Silence assourdissant », c’est tellement juste. On est entourés, mais si seuls.
Peut-être que la solution est moins dans les chiffres et les enquêtes, et plus dans l’écoute active et sans jugement des jeunes. On les entend vraiment ?
Je suis un peu sceptique sur la pertinence d’enquêtes générales. Chaque jeune a son propre parcours, ses propres difficultés. Mettre tout le monde dans le même sac, ça ne me semble pas très utile.
En tant que parent, ce chiffre me glace le sang. J’aimerais que les solutions proposées soient concrètes et accessibles. On parle de quoi, exactement ?
Ce chiffre est effrayant, mais je ne suis pas surpris. On demande aux jeunes d’être performants partout, sans leur laisser le temps de respirer.
La pression est énorme, oui, mais je crois qu’on a aussi perdu le sens de l’effort et de la patience. Tout, tout de suite… c’est impossible.
Je me demande si l’omniprésence des réseaux sociaux n’y est pas pour quelque chose. Comparaison constante, faux semblants… ça doit jouer sur le moral.
Un quart, c’est énorme. On se focalise sur la dépression, mais quid de l’anxiété, du burnout étudiant ? Le spectre est plus large, non ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’enquête de 2025… On est en 2024, ils ont déjà les résultats de l’année prochaine ? Bizarre, non ? Ça décrédibilise un peu tout le reste.