Suzuki X-90 : la voiture inavouable de Lionel Bret — pourquoi ce drôle de coupé fascine encore — explications

Certaines voitures marquent leur époque par leur succès, d’autres par leur échec retentissant. La Suzuki X-90 appartient sans conteste à la seconde catégorie. Inclassable, moquée et commercialement boudée, elle est devenue l’incarnation de l’audace incomprise des années 90. Pourtant, près de trente ans après sa disparition, ce drôle de véhicule exerce une fascination intacte sur ceux qui, comme Lionel Bret, aiment les automobiles qui osent sortir du rang. Fruit d’un concept audacieux et d’un égarement industriel, cet engin reste une leçon de design automobile.

La genèse d’un ovni automobile

Loin d’être un simple caprice de designer, le X-90 répondait à une problématique concrète pour le constructeur à la fin des années 80 : trouver un successeur au tout-terrain Samouraï dont les ventes commençaient à décliner. L’idée était de conserver un esprit d’aventure, mais dans un format totalement inédit. C’est ainsi qu’est né ce curieux mélange des genres.

Un concept présenté avec de grandes ambitions

Lors de sa présentation au salon de Tokyo en 1993, le concept X-90 a suscité une véritable curiosité. Jamais un véhicule n’avait osé une telle silhouette, à mi-chemin entre plusieurs univers :

  • L’allure d’un 4×4 avec sa garde au sol surélevée.
  • L’esprit d’un roadster avec ses deux places strictes.
  • La touche d’un cabriolet grâce à son toit targa « T-Top » amovible.

Techniquement, il reposait sur la plateforme fiable du Vitara, gage de robustesse.

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Autre véhicule transformé de manière originale, comme la Suzuki X-90

L’échec commercial d’une voiture trop en avance

Malgré l’enthousiasme initial, le lancement en 1995 fut une douche froide. Le public n’a tout simplement pas compris où le positionner. Le X-90 était trop de choses à la fois et pas assez défini. Il n’était ni un vrai tout-terrain, ni un coupé sportif, ni un cabriolet pratique. Cette polyvalence théorique s’est transformée en une crise d’identité fatale, le rendant inutile aux yeux de la majorité.

Des surnoms peu flatteurs mais une fiabilité reconnue

L’audace de sa ligne lui a valu des surnoms moqueurs comme « le 4×4 de Barbie » ou « le coupé Playmobil ». Même l’animateur star Jeremy Clarkson l’a qualifiée de « voiture à l’allure la plus stupide jamais vue ». Pourtant, derrière cette esthétique controversée se cachait une mécanique éprouvée.

Caractéristique Suzuki X-90 (1995) Suzuki Vitara (1995)
Moteur 1.6 L essence – 95 ch 1.6 L essence – 80 ch
Places 2 places 4/5 places
Volume de coffre 237 litres Jusqu’à 850 litres
Transmission Propulsion ou 4×4 Propulsion ou 4×4

Sa carrière fut brève, avec une production arrêtée dès 1997 après seulement deux ans, faute de ventes suffisantes.

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Fonctionnalité innovante pour conducteurs, en lien avec l'aspect automobile

Pourquoi le X-90 fascine-t-il encore aujourd’hui ?

C’est souvent le destin des objets les plus décriés : ils finissent par devenir attachants. Pour Lionel Bret, designer graphique de 48 ans vivant à Lyon, le X-90 est une incongruité qu’il adore. « On me dit souvent qu’elle ressemble à une chaussure. C’est justement pour ça que je l’adore. Elle ne ressemble à rien d’autre et c’est sa plus grande force », explique-t-il. Cette voiture symbolise une époque où les constructeurs prenaient des risques, quitte à se tromper.

Un précurseur maladroit mais visionnaire

Avec le recul de 2025, le X-90 peut être vu comme un précurseur des SUV coupés qui inondent aujourd’hui le marché. Il a tenté, bien trop tôt, de fusionner des mondes que tout opposait. Son échec est avant tout une question de timing. Il a ouvert une voie que d’autres ont empruntée avec succès, près de deux décennies plus tard. Son impact le plus visible reste son utilisation comme véhicule promotionnel par un célèbre fabricant de boissons énergisantes, une image décalée qui lui colle encore à la peau.

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312 réflexions sur “Suzuki X-90 : la voiture inavouable de Lionel Bret — pourquoi ce drôle de coupé fascine encore — explications”

  1. La X-90, c’est un peu le chien moche qu’on finit par aimer, justement parce qu’il est différent. Elle me rappelle l’époque où les constructeurs prenaient plus de risques.

  2. J’ai toujours pensé que la X-90 était une tentative ratée de surfer sur la vague des 4×4. Un peu comme si Suzuki avait pris un Samurai, coupé le toit et s’était dit « Voilà, c’est fun ! ».

  3. La X-90, je la voyais souvent près de chez moi. Elle me laissait complètement indifférent à l’époque. Maintenant, je me demande qui l’achetait et pourquoi. Une voiture mystère, en somme.

  4. Lionel Bret a raison, elle a une bouille attachante, cette X-90. Un petit côté jouet pour adulte. On dirait une voiture qu’on a créée avec des pièces détachées.

  5. La X-90, c’est surtout un symbole. Elle prouve qu’on peut se tromper, même quand on essaie d’innover. Ça la rend presque touchante, finalement.

  6. Je me souviens surtout des publicités. Elles étaient tellement étranges que ça m’avait marqué. Une voiture pour les gens… différents ?

  7. Je n’ai jamais compris l’intérêt de ce véhicule. Son look est tellement clivant que je ne suis pas surpris qu’il n’ait pas marché.

  8. Je me demande si l’échec de la X-90 n’était pas dû à son positionnement marketing flou. À qui s’adressait-elle vraiment ? Un 4×4 coupé, c’est un concept assez…spécifique.

  9. Je ne suis pas sûr de comprendre la fascination. Pour moi, la X-90 est juste une curiosité oubliable, un peu comme ces vêtements ringards qu’on ressort pour une soirée à thème.

  10. Moi, la X-90, elle me fait penser à ces groupes de musique qui font un seul tube puis disparaissent. Un éclair de folie créative, vite éteint.

  11. Je me demande si la X-90 ne préfigurait pas les SUV coupés d’aujourd’hui, mais avec 20 ans d’avance. Un peu comme un prototype raté qui a planté une graine.

  12. J’avoue que j’ai toujours pensé que c’était une voiture pour les plombiers ou les électriciens qui voulaient un truc « fun » pour aller bosser. Un utilitaire déguisé, en somme.

  13. Bret, tu as bon goût. Cette bagnole, c’est un pied de nez à la conformité automobile. J’aurais adoré en croiser une sur la route.

  14. La X-90 ? Elle me rappelle surtout le catalogue Suzuki de mon enfance. Une voiture bizarre au milieu de modèles bien plus sages. Une image qui m’avait marqué, sans plus.

  15. La X-90, c’est surtout une voiture qui me fait réaliser à quel point les constructeurs osaient plus avant. Aujourd’hui, tout est tellement lissé…

  16. La X-90, c’est marrant, je l’avais complètement oubliée. Ça me rappelle qu’à l’époque, on pouvait encore surprendre. Aujourd’hui, ça semble impensable.

  17. La X-90, c’est le genre d’auto qui te fait sourire bêtement. Je me demande si Suzuki savait vraiment ce qu’ils faisaient, ou s’ils ont juste tenté le coup.

  18. La X-90, c’est le symbole d’une époque où on pouvait se planter en beauté sans que ça devienne un scandale mondial sur les réseaux sociaux. Un échec assumé, quoi.

  19. La X-90, une voiture « inavouable » ? Je ne sais pas, mais elle a au moins le mérite de ne pas ressembler à toutes les autres boîtes à roues. Elle ose, c’est déjà ça.

  20. La X-90, je l’ai toujours vue comme un concept-car échappé d’un salon. Un ovni roulant qui a fini par atterrir dans la rue, un peu par hasard.

  21. La X-90, je me souviens surtout des pubs. Elles étaient tellement décalées que la voiture passait presque au second plan. Une stratégie marketing étrange…

  22. La X-90, c’est la preuve qu’on peut se tromper royalement et quand même créer un objet attachant. Un peu comme un chien moche qu’on adore.

  23. La X-90, c’est une voiture qu’on ne croisait jamais. J’en ai vu une seule, il y a longtemps. Ça m’avait marqué, comme croiser un animal rare.

  24. La X-90, c’est peut-être l’anti-voiture. Pas pratique, pas belle pour tout le monde… Mais elle a une âme, c’est indéniable. Ça manque tellement aujourd’hui.

  25. La X-90, c’est une voiture que je n’ai jamais comprise. Un 4×4 coupé, c’est un peu comme un grille-pain qui fait aussi cafetière.

  26. La X-90 ? Elle me rappelle ces fringues qu’on achetait en solde, un peu par défi, en se disant « pourquoi pas ? ». On les portait une fois, puis oubliées au fond du placard.

  27. La X-90 ? C’est l’archétype de la voiture oubliée, celle dont personne ne se souvient spontanément. L’article me rappelle qu’elle a existé, c’est déjà ça.

  28. La X-90, c’est surtout la voiture qui me fait penser aux Spice Girls : un phénomène éphémère, coloré et un peu kitsch qu’on a vite oublié.

  29. La X-90, c’est un peu le vilain petit canard de l’automobile. On la juge moche, mais elle a le mérite d’exister, de ne pas ressembler aux autres. Un peu de folie dans ce monde automobile uniformisé, ça ne fait pas de mal.

  30. La X-90, c’est la voiture que j’aurais adoré détester, mais elle a ce petit truc… un côté « je m’en fous du monde entier » qui la rend presque sympathique.

  31. La X-90, c’est la preuve que même les constructeurs se plantent. Mais au moins, ils ont osé ! On ne peut pas en dire autant des modèles actuels, tous plus fades les uns que les autres.

  32. La X-90, c’est une tentative ratée, certes, mais qui au moins ne cherchait pas à plaire à tout le monde. Ça change des SUV clonés qu’on nous sert aujourd’hui.

  33. La X-90, c’était la voiture des publicitaires des années 90, non ? Je me souviens l’avoir vue dans des pubs pour des sodas ou des marques de fringues. Un symbole de coolitude éphémère.

  34. La X-90, c’est bizarre, mais c’est ça qui la rend attachante. Une vraie curiosité automobile.

    Je me demande encore qui était le public cible. Un mystère.

  35. La X-90, c’est un peu comme un pari perdu par Suzuki. Ils ont misé gros sur l’originalité et… personne n’a suivi. Dommage pour eux, tant mieux pour ceux qui l’ont achetée et qui roulent différent.

  36. La X-90, c’est la voiture que j’aurais aimé détester, mais son côté « petit jouet » me la rend presque sympathique. Un plaisir coupable automobile.

  37. La X-90, je l’avais complètement oubliée. Cet article me rappelle qu’il y a eu une époque où les constructeurs osaient vraiment.

  38. La X-90 ? Elle me fait penser à ces fringues qu’on regrette d’avoir portées, mais dont on garde une photo comme souvenir d’une époque.

  39. La X-90, c’est surtout un symbole de la fin d’une époque où l’automobile pouvait encore se permettre des délires. Aujourd’hui, tout est tellement formaté…

  40. La X-90 ? Je l’ai toujours vue comme une tentative maladroite de surfer sur la vague du SUV, sans vraiment comprendre ce qui plaisait aux gens. Un peu à côté de la plaque, quoi.

  41. Lionel Bret a raison ! La X-90 n’est pas une « voiture », c’est un objet de design roulant. Elle se moque des conventions, et c’est ça qui la rend attachante.

  42. La X-90, c’est la voiture que j’imagine dans un film de série B des années 90. Un truc décalé, improbable, mais finalement attachant par son côté « nanard ».

  43. La X-90, c’est un peu comme un concept car qui s’est échappé sur la route. Son échec commercial ne m’étonne pas, mais elle a au moins le mérite de ne ressembler à rien d’autre.

  44. La X-90, c’est la voiture de mon moniteur d’auto-école en 2002. J’avais tellement honte de monter dedans ! Ironie du sort, j’ai eu mon permis du premier coup.

  45. La X-90, c’est la voiture que ma grand-mère aurait adorée pour aller au marché. Petite, originale, et facile à garer, enfin je crois !

  46. La X-90, c’est la voiture que j’aurais aimé offrir à ma sœur qui rêvait d’un cabriolet original, mais son côté 4×4 l’aurait rebutée. Dommage.

  47. La X-90, je l’ai croisée une fois en vacances. J’étais gamin, et je me souviens avoir pensé qu’elle venait d’une autre planète. C’est ça, sa force : elle ne laisse pas indifférent.

  48. La X-90, je ne l’avais jamais remarquée avant cet article. Je comprends mieux pourquoi elle est devenue culte, mais je ne suis pas sûr de vouloir en croiser une tous les jours.

  49. La X-90, c’est l’anti-voiture. Elle défie toute tentative de catégorisation logique. C’est peut-être ça qui la rend si fascinante avec le recul.

  50. La X-90, c’est un peu comme une blague qu’on finit par trouver drôle à force de la raconter. Son échec commercial lui donne un charme inattendu.

  51. La X-90, c’est la voiture qui me rappelle que l’industrie automobile peut prendre des risques, même si ça ne marche pas toujours. Au moins, elle a essayé.

  52. La X-90, elle me fait penser aux pubs des années 90, un truc décalé qu’on assume à moitié. C’est kitsch, mais ça a une saveur particulière.

  53. La X-90, c’est le genre de voiture qui me fait me demander ce que les designers fumaient à l’époque. Un ovni automobile, clairement!

  54. La X-90, c’est la preuve qu’on n’a pas besoin d’être parfait pour marquer les esprits. Elle a l’air tellement maladroite, qu’elle en devient touchante.

  55. La X-90 ? Un pari raté, certes, mais un pari qui a au moins le mérite de nous rappeler que l’automobile n’est pas qu’une question de rentabilité. Elle a une âme, bizarre peut-être, mais une âme quand même.

  56. La X-90, c’est vrai qu’elle est moche. Mais elle a le mérite de ne ressembler à rien d’autre. Un peu comme un chien bizarre qu’on finit par aimer.

  57. La X-90, je me demande si c’était vraiment une erreur ou juste une voiture en avance sur son temps, un peu comme ces concepts qu’on redécouvre plus tard.

  58. La X-90, je n’ai jamais compris l’engouement « second degré ». Pour moi, c’est juste une tentative ratée de surfer sur la vague des 4×4, sans le fun ni l’utilité.

  59. La X-90, je me demande si elle n’était pas tout simplement une voiture pour une niche trop petite, celle qui voulait un 4×4 fun et décalé, sans enfants.

  60. La X-90, je ne l’avais jamais remarquée avant cet article. Maintenant, je me demande si elle n’est pas le reflet d’une époque où on osait plus, même se tromper.

  61. La X-90 ? J’ai connu un garagiste qui en avait une. Il la bichonnait, disait que c’était increvable. Ça m’avait marqué, plus que la voiture elle-même.

  62. La X-90, je me demande si c’était pas un peu la voiture « private joke » de Suzuki, un délire d’ingénieurs qu’ils ont osé sortir.

  63. La X-90, ça me fait penser aux fringues qu’on regrette d’avoir portées, mais qu’on garde au fond du placard « au cas où ». Un souvenir, quoi.

  64. La X-90, c’est marrant, je l’avais complètement oubliée. Ça me fait réaliser à quel point certaines voitures sont juste… oubliables, même si originales.

  65. La X-90, c’est le genre de voiture qui fait dire : « Ah ouais, ça a existé, ça… » et qui te rappelle que le design automobile peut parfois partir en sucette.

  66. La X-90, c’est plus qu’une voiture ratée, c’est un symbole de l’optimisme parfois naïf des années 90, un peu comme un clip de Ace of Base sur roues.

  67. La X-90, c’est l’OVNI automobile qui prouve que même les pires idées peuvent trouver un public, fût-il minuscule. Un peu comme ces films nanars qu’on adore détester.

  68. La X-90, c’est bizarre, mais en la voyant, j’imagine bien le brief marketing : « Faites un truc différent, on verra bien ce que ça donne ». Pari risqué, mais au moins, ils ont essayé.

  69. La X-90, je l’ai toujours trouvée moche, mais l’article me fait presque ressentir de l’empathie pour elle. C’est un peu comme un chien laid qu’on finit par aimer.

  70. La X-90, c’est un peu le vilain petit canard devenu cygne pour une niche. Elle prouve que le « moche » peut aussi devenir culte avec le temps.

  71. La X-90, c’est un peu comme un pari perdu. On dirait une voiture qui n’a pas assumé son identité, coincée entre un coupé et un 4×4. Un peu raté, non ?

  72. La X-90, c’est la voiture que mon voisin avait. Je me souviens, enfant, je la trouvais cool, différente. L’avis des adultes importait moins à l’époque.

  73. La X-90, c’est la voiture de mon prof de gym au collège. Il était super cool et ça collait bien avec son personnage. Ça m’a toujours fait sourire de la revoir.

  74. La X-90, c’est une madeleine de Proust automobile. Elle me rappelle ces pubs télévisées un peu kitsch de l’époque, où tout semblait possible. Une certaine insouciance.

  75. La X-90, c’est la voiture que j’aurais adoré customiser à fond avec des néons et un aileron démesuré ! Elle appelle à la transformation, au tuning maximal.

  76. La X-90, c’est la voiture que j’oublie à chaque fois. Je la redécouvre, je me dis « tiens, c’est quoi ça déjà ? », puis je l’oublie à nouveau. Un mystère automobile.

  77. La X-90, c’est la voiture que mes parents m’auraient absolument interdit d’acheter quand j’ai eu mon permis. Trop voyante, pas pratique, un vrai cauchemar pour eux !

  78. La X-90, c’est l’exemple parfait d’une voiture concept passée à la production sans le filtre du bon sens. On dirait un croisement improbable entre un T-Top et un Jimny.

  79. La X-90, c’est un échec commercial certes, mais un sacré coup de projecteur sur la créativité de Suzuki. Ils ont osé, et c’est déjà beaucoup.

  80. La X-90, c’est une preuve que l’échec commercial n’est pas forcément synonyme d’absence d’intérêt. Elle a une bouille unique, et c’est ce qui compte.

  81. La X-90, c’est marrant, je me demande si Suzuki savait vraiment où ils allaient avec ça. Un délire d’ingénieurs un peu trop libres, peut-être ?

  82. La X-90, je comprends l’attrait. Mais pour moi, elle symbolise surtout le gaspillage de ressources pour un truc… inutile. L’audace, oui, mais à quel prix ?

  83. La X-90, elle me rappelle ces fringues qu’on portait ado, persuadés d’être à la pointe, et qu’on revoit avec un sourire gêné. Un trip nostalgique, quoi.

  84. J’ai toujours pensé qu’elle avait un côté « voiture de plage » très fun, genre pour aller surfer en Californie. Dommage qu’on soit en France.

  85. Je me demande si la X-90 n’était pas juste en avance sur son temps. Le côté « décalé » est tellement recherché aujourd’hui…

  86. La X-90, je me souviens surtout du malaise que j’avais quand elle est sortie. On ne savait pas quoi en penser, c’était perturbant.

  87. La X-90, je n’en avais jamais entendu parler avant ! C’est fascinant de voir à quel point certaines voitures peuvent passer sous le radar alors qu’elles ont clairement une personnalité.

  88. La X-90, c’est un peu le vilain petit canard devenu cygne, non ? On la rejetait, et maintenant on se dit qu’elle avait une sacrée gueule. L’effet temps, sans doute.

  89. La X-90, c’est le genre de voiture qui me fait me dire que les designers ont aussi le droit de s’amuser, même si le résultat est… discutable.

  90. Lionel Bret a bon goût. La X-90, c’est la preuve que l’automobile peut être un objet de design pur, sans se soucier de la « raison ».

  91. La X-90, c’est un peu comme un pari perdu, mais un pari qui a au moins le mérite d’exister. On a besoin de ces tentatives ratées pour avancer.

    Elle me fait penser aux pubs des années 90, un peu kitsch et naïves.

  92. La X-90 ? Bof. Je crois que j’étais surtout content de ne pas avoir les moyens de me la payer à l’époque. Un soulagement rétrospectif.

  93. La X-90 ? Elle me rappelle surtout l’époque où les constructeurs osaient tenter des trucs, quitte à se planter. Aujourd’hui, tout est tellement standardisé…

  94. La X-90, c’est une madeleine de Proust automobile. Elle me rappelle les parkings de supermarché de mon enfance, avec ce sentiment bizarre qu’elle n’était pas tout à fait à sa place.

  95. SportifDuDimanche

    Je me demande si la fascination n’est pas juste de l’opportunisme. On encense ce qui a été détesté, pour se sentir « avant-gardiste ».

  96. ProvincialeHeureuse

    Moi, la X-90, elle m’évoque surtout une époque où on avait le droit de rigoler avec les voitures. C’était pas toujours réussi, mais au moins, c’était marrant.

  97. MécanicienRetraité

    Pour moi, la X-90 c’est surtout un symbole. Celui d’une époque où le design automobile cherchait encore son identité post-Berlin. Un peu bancal, certes, mais authentique.

  98. InstitutricePassionnée

    La X-90, c’est un peu le chien moche qu’on finit par aimer. Son originalité forcée la rend presque sympathique, malgré tout.

  99. La X-90, c’est l’archétype de la voiture que tu oublies instantanément après l’avoir vue. Elle ne m’évoque rien de particulier, ni nostalgie, ni rejet, juste…rien.

  100. Baptiste Bernard

    La X-90, c’est la preuve que même les pires idées peuvent avoir des fans. C’est comme une blague qu’on continue à raconter, même si personne ne rit.

  101. La X-90, c’est un pari raté, c’est clair. Mais un pari *osé*. Et dans un monde automobile aseptisé, ça vaut de l’or. Elle a au moins le mérite de ne ressembler à rien d’autre.

  102. Étienne Bernard

    La X-90 ? J’avoue, je ne connaissais pas son nom. Mais en voyant la photo, le déclic. C’est la voiture que mon père détestait et qu’il croisait toujours sur le parking du supermarché.

  103. Lionel Bret a raison. Cette voiture est un cas d’école. Elle prouve qu’on peut se planter en beauté, mais laisser une trace indélébile.

  104. Guillaume Bernard

    La X-90, c’est le genre de voiture qu’on croise et qu’on se dit « tiens, ça existe encore ? ». Ça me rappelle un peu les pubs télé ringardes de mon enfance.

  105. La X-90, c’est l’exemple parfait de la voiture conçue par un comité, un peu 4×4, un peu coupé, mais pas vraiment l’un ni l’autre. Un OVNI.

  106. La X-90 me fait penser à ces groupes de musique qui sortent un album complètement fou, un peu brouillon, mais plein d’énergie. Pas parfait, mais mémorable.

  107. La X-90 ? C’est un peu comme ces fringues qu’on achète sur un coup de tête et qu’on regrette amèrement le lendemain. Un fashion faux-pas automobile, en somme.

  108. La X-90, c’est un peu le Tamagotchi de l’automobile. On s’en occupe par curiosité, puis on l’oublie dans un tiroir, avant d’y repenser avec une vague nostalgie.

  109. La X-90, c’est la voiture que j’aurais aimé détester… mais son côté « je m’en fous, je suis unique » me la rend presque attachante.

  110. La X-90 ? Je comprends l’attrait, mais elle me fait surtout penser à une erreur de casting. Une idée bizarre qu’on a osé concrétiser.

  111. La X-90, je l’imagine bien dans un film des années 90, conduite par un personnage excentrique. Elle colle parfaitement à cette esthétique.

  112. La X-90 ? Mon oncle en avait une rouge. Je me souviens encore du bruit du moteur quand il la démarrait. Ça reste un souvenir d’enfance bizarrement agréable.

  113. Sébastien Bernard

    Je me demande si son côté impopulaire n’a pas contribué à en faire une voiture « culte » pour une certaine génération. Le rejet peut parfois être un argument de vente, paradoxalement.

  114. J’ai toujours trouvé que la X-90 avait un petit air de voiturette de golf améliorée. Pas vraiment une insulte, juste une observation.

  115. Alexandre Bernard

    La X-90, c’est un peu comme un pari perdu. On a voulu faire différent, mais on a oublié de demander si les gens avaient envie de ça.

  116. Benjamin Bernard

    Je n’ai jamais compris la fascination. Pour moi, elle représente surtout le manque de vision claire de Suzuki à cette époque. Un flop total.

  117. Christophe Bernard

    La X-90, c’est l’anti-voiture utilitaire. Elle assume sa futilité et c’est peut-être ça qui la rend attachante. Un peu comme un gadget inutile qu’on aime quand même.

  118. Je me souviens surtout de la pub à la télé. On ne comprenait pas trop ce qu’elle voulait vendre, à part un drôle d’objet roulant.

  119. Emmanuel Bernard

    Ce qui me frappe, c’est la subjectivité de l’échec. Pour Suzuki, c’était raté, mais pour certains, c’est devenu un objet de nostalgie. L’histoire automobile est pleine de ces revirements.

  120. Grégoire Bernard

    J’ai croisé une X-90 une fois sur une route de campagne. Le soleil tapait, et sa couleur criarde la rendait presque… joyeuse. Un peu comme un jouet oublié.

  121. Moi, ce qui me fait sourire, c’est qu’elle essaie d’être sérieuse comme 4×4… mais qu’elle échoue totalement. C’est un peu le chien qui court après sa queue.

  122. La X-90, c’est la preuve qu’on n’a pas besoin d’être parfait pour marquer les esprits. Elle restera plus gravée dans ma mémoire que certaines voitures « réussies », c’est certain.

  123. J’avoue, j’ai toujours eu un faible pour les voitures « moches ». La X-90, c’est un peu le vilain petit canard qui assume son plumage improbable. Ça change des SUV uniformes.

  124. Lionel Bret a raison de l’aimer. Elle symbolise une époque où les constructeurs osaient encore sortir des sentiers battus, même si le résultat était… discutable.

  125. Béatrice Bernard

    Je me demande si son échec n’était pas juste une question de timing. Sortie plus tard, elle aurait peut-être surfé sur la vague du « moche assumé ».

  126. J’ai toujours pensé que la X-90 avait un petit côté « voiture de dessin animé » qui la rendait sympathique malgré tout. Elle ne se prend pas au sérieux, et c’est rafraîchissant.

  127. Delphine Bernard

    Elle me fait penser à une voiture qu’on aurait bricolée dans un garage avec des pièces détachées improbables. Un peu Frankenstein sur roues.

    J’imagine bien un collectionneur excentrique l’exposer fièrement, entouré de modèles plus classiques.

  128. Je me demande si ce n’est pas surtout une question de souvenir d’enfance. Je me rappelle parfaitement de sa pub à la télé. C’était tellement bizarre, ça m’avait marqué.

  129. Gabrielle Bernard

    Lionel Bret a bon goût. Elle a une ligne qui ne laisse pas indifférent.

    C’est une voiture qui raconte une histoire, plus qu’une bagnole lambda.

    J’imagine bien la galère pour trouver des pièces détachées aujourd’hui !

    Je me demande si elle avait des qualités routières insoupçonnées.

  130. Hélène Bernard

    Bof, un coup marketing pour faire mousser un modèle oublié. On essaie de nous vendre de l’originalité, mais c’est juste un ratage.

  131. Isabelle Bernard

    La fascination, je comprends, mais le côté « inavouable », je ne suis pas d’accord. C’est une voiture clivante, point.

  132. Plus qu’une fascination, je ressens une certaine nostalgie. Elle représente une époque où l’automobile n’était pas encore formatée par les études de marché.

  133. Elle me fait penser à ces vêtements qu’on regrette d’avoir portés dix ans après. Un truc qu’on pensait cool, mais qui a terriblement mal vieilli.

  134. Cette voiture, c’est un peu comme un mauvais film qu’on continue de regarder par curiosité malsaine. On sait que c’est nul, mais on ne peut pas s’empêcher de trouver ça fascinant.

  135. Je ne la trouve pas si « inavouable ». Disons qu’elle assume pleinement son côté décalé, et ça, c’est plutôt rafraîchissant dans le paysage automobile actuel.

  136. La X-90, c’est un peu le chien moche qu’on finit par aimer. Elle a le mérite de ne ressembler à rien d’autre, et ça, c’est rare.

  137. J’ai toujours pensé que Suzuki avait le courage de ses idées, même les plus étranges. La X-90, c’est la preuve qu’ils n’avaient pas peur de se planter.

  138. Je crois que cette voiture a surtout souffert d’un mauvais positionnement marketing. Elle n’était ni vraiment un 4×4, ni vraiment un coupé. Dommage, l’idée était originale.

  139. Valérie Bernard

    La X-90, c’est l’anti-voiture consensuelle. On l’aime ou on la déteste, mais elle ne laisse personne indifférent. Pari réussi, finalement ?

  140. Lionel Bret a raison, elle a un truc. On dirait une voiture dessinée par un enfant qui rêve de tout-terrain.

    Je l’ai croisée une fois, et j’ai souri.

  141. Brigitte Bernard

    Je l’avais complètement oubliée, cette voiture ! C’est vrai qu’elle détonnait. Ça me rappelle surtout une époque où les constructeurs osaient plus, quitte à se tromper.

  142. Catherine Bernard

    La X-90 ? Elle illustre parfaitement l’époque où l’automobile cherchait encore son identité. Un peu brouillon, mais attachant.

  143. Je me demande si l’attrait pour la X-90 n’est pas juste une forme de nostalgie pour une époque où on pardonnait plus facilement les erreurs de goût.

  144. Pour moi, la X-90, c’est surtout la preuve que l’originalité ne suffit pas toujours à faire une bonne voiture. Le concept était bizarre et pas forcément pratique.

  145. Florence Bernard

    La X-90, c’était un peu le vilain petit canard. Personne ne la comprenait, mais elle s’en fichait, elle avançait. Une rebelle, quoi.

  146. C’est marrant, je me demande toujours qui achetait ces voitures à l’époque. Des paris audacieux comme ça, ça doit être soutenu pour vivre !

  147. Huguette Bernard

    Lionel Bret a bon goût. Cette voiture me rappelle mes posters d’enfant, une sorte de jouet grandeur nature. On dirait un Jimny qui aurait muté.

  148. Je me souviens surtout de son côté « gadget ». On dirait un accessoire de film de science-fiction kitsch, plus qu’une vraie voiture.

  149. Je ne dirais pas que c’est une fascination, mais plutôt une curiosité… morbide. On la regarde comme on regarde un accident.

  150. La X-90, c’est la voiture que personne n’assume avoir aimée, mais qu’on regarde tous avec un sourire en coin. Elle incarne une époque où l’automobile était moins sérieuse.

  151. La X-90 ? C’est vrai qu’on n’en voit plus. Ça me fait penser aux pubs Pepsi des années 90 : on se demande ce qu’ils fumaient, mais c’est rigolo.

  152. Je n’étais même pas au courant de l’existence de cette voiture! C’est dingue le nombre de modèles oubliés qui ont existé. Merci pour la découverte!

  153. La X-90, c’est la preuve qu’on peut se tromper royalement et laisser une empreinte. Un échec mémorable, c’est presque plus fort qu’un succès banal.

  154. Je crois que l’article touche juste. La X-90, c’est un peu comme un vêtement qu’on n’oserait plus porter, mais qu’on garde au fond du placard par nostalgie.

  155. La X-90 ? Elle me fait penser à un pari perdu entre designers. Le genre de délire qu’on valide un vendredi soir, un peu trop arrosé.

  156. La X-90, c’est la voiture qui a osé, et ça, ça me parle. Pas forcément belle, mais originale. On dirait un jouet grandeur nature.

  157. Je crois que l’article oublie un point essentiel : le côté pratique inexistant. Une voiture, ça doit servir à quelque chose, non ?

  158. La X-90, c’est une voiture qui sent le vécu, les souvenirs de vacances improbables et les road trips sans GPS. Elle a une âme, quoi.

  159. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’elle résume bien l’esprit de liberté un peu naïve qu’on avait avant le 11 septembre. Une voiture sans complexe, quoi.

  160. La X-90, c’est le genre de voiture qui te fait te demander si le designer avait un compte à régler avec quelqu’un. Un ovni sur roues, assurément.

  161. La X-90, c’est l’exemple parfait de la voiture que personne ne voulait, mais qui, paradoxalement, représente une certaine forme d’anticonformisme automobile. Un peu comme un mauvais film culte.

  162. Moi, la X-90, elle me fait penser à ces pubs des années 90 où tout était possible. Une bouffée d’optimisme un peu kitsch, quoi.

  163. Finalement, je crois que la X-90 a surtout prouvé qu’on ne peut pas tout mélanger impunément. L’originalité ne suffit pas toujours.

  164. Sébastien Dubois

    J’avoue, je l’avais complètement oubliée, celle-là. Ça me rappelle que parfois, les constructeurs tentent des trucs… et ratent leur cible, mais avec panache.

  165. Pour moi, la X-90, c’est surtout le symbole d’une époque où les marques prenaient plus de risques, même si ça finissait par un flop. Ça manque aujourd’hui.

  166. La X-90, c’est surtout une curiosité. Je me demande si elle n’était pas juste en avance sur son temps, avant que les SUV coupés ne deviennent à la mode.

  167. Bret a raison, elle ose. Mais la fascination vient peut-être du fait qu’elle est moche et qu’on se dit qu’on aurait pu être le seul à oser.

  168. Christophe Dubois

    X-90, voiture inavouable ? Mouais… Moi, j’ai toujours pensé que c’était une Jimny à qui on avait coupé la tête. Un Jimny fun, quoi.

  169. La X-90, c’est un peu comme un film nanar : tellement bizarre qu’il en devient attachant. On se dit que quelqu’un a cru dur comme fer à ce projet.

  170. La X-90, c’est l’anti-voiture de fonction par excellence. Elle respire la liberté, même si c’est une liberté un peu bizarre.

  171. La X-90, c’est le genre de voiture qui te fait te demander ce que les designers avaient fumé ce jour-là. Un ovni automobile, quoi.

  172. La X-90 ? Elle me rappelle ces fringues qu’on achète en solde, un peu trop excentriques, qu’on regrette ensuite. Un achat impulsif raté sur quatre roues.

  173. La X-90, c’est la preuve qu’on peut rater son coup et quand même laisser une trace. Un peu comme une erreur de parcours qui devient une anecdote amusante.

  174. La X-90, c’est la voiture qu’on regarde en se disant qu’elle aurait pu être géniale, avec juste quelques ajustements. Un potentiel gâché, en somme.

  175. La X-90, c’est le genre de voiture qui divise. Soit on la déteste, soit on sourit en la voyant. Pour moi, c’est plutôt la deuxième option. Elle a au moins le mérite de ne pas laisser indifférent.

  176. La X-90, c’est vrai qu’elle interroge. On dirait un jouet pour adultes, un peu disproportionné. Je me demande si elle était vraiment agréable à conduire au quotidien.

  177. La X-90, ça me fait penser aux tentatives maladroites de se démarquer. On y met toute la bonne volonté du monde, mais le résultat…

  178. Lionel Bret a raison. La X-90, c’est un peu comme un mauvais film qu’on revoit toujours avec plaisir, pour se moquer gentiment. C’est attachant, bizarrement.

  179. Je me demande si la X-90 n’était pas juste trop en avance sur son temps. Le marché n’était pas prêt pour un tel mélange des genres.

  180. La X-90, c’est un peu le vilain petit canard de l’automobile, non ? On la juge sur son physique, mais qui sait, elle cachait peut-être un cœur d’or.

  181. La X-90, c’est la voiture que mon voisin avait et dont j’étais jaloux enfant. Une bizarrerie, certes, mais une bizarrerie qui rendait heureux.

  182. La X-90, j’imagine que le designer s’est dit « et si on prenait un 4×4 et qu’on lui coupait le toit, juste pour voir ? ». Le résultat est… spécial.

  183. La X-90 ? Elle me rappelle surtout l’époque où les constructeurs osaient vraiment, sans se soucier du « qu’en dira-t-on ». Une bouffée d’air frais.

  184. La X-90, c’est surtout une voiture qui me rappelle les publicités colorées de mon enfance. Un objet plus qu’une voiture, presque.

  185. La X-90, j’avoue, elle me laisse perplexe. Je comprends l’attrait pour l’originalité, mais là, c’est un peu trop. On dirait une voiture Playmobil.

  186. La X-90, c’est un peu comme ces fringues qu’on a portées avec honte et qu’on retrouve en brocante 20 ans après en se disant « mais en fait, c’était pas si mal ». Une madeleine de Proust automobile.

  187. La X-90, c’est le genre de voiture qui te fait te demander ce que les designers avaient fumé. Un OVNI automobile qui ne laisse pas indifférent, c’est sûr.

  188. La X-90, je me demande si son échec n’était pas juste une question de timing. Trop tôt pour un concept aussi décalé ? Peut-être qu’aujourd’hui, elle aurait plus de succès.

  189. La X-90, c’est la voiture que personne n’assume avoir aimé, mais que tout le monde regarde avec un sourire en coin. Elle fait partie de notre inconscient collectif automobile.

  190. La X-90, c’était une voiture tellement bizarre que j’avais l’impression qu’elle venait d’un autre pays. Un design vraiment déroutant pour l’époque.

  191. La X-90, je l’ai croisée une fois dans un parking. Elle m’a fait sourire, sincèrement. C’est rare qu’une voiture ait cet effet-là.

  192. La X-90, j’ai toujours pensé que c’était un Jimny qui avait mal tourné. Un 4×4 qui a perdu son âme en voulant devenir un coupé.

  193. Je n’ai jamais compris l’intérêt de ce modèle. Un coupé 4×4, c’est un peu l’antithèse de tout, non ? L’audace ne suffit pas toujours.

  194. Bret a raison. La X-90 n’est pas qu’une curiosité. Elle symbolise une époque où l’automobile tentait encore des choses, même ratées. On ne prend plus ce risque aujourd’hui.

  195. Je me souviens surtout de la pub Pepsi avec la X-90. Ça m’avait plus marqué que la voiture elle-même, c’est dire… Un placement de produit raté, peut-être ?

  196. La X-90, c’est un peu comme un rêve bizarre qu’on a du mal à oublier. Je me demande si Suzuki savait vraiment ce qu’ils faisaient à l’époque.

  197. La X-90, c’est la preuve qu’on n’est pas obligé d’être beau pour être mémorable. Elle a une personnalité, elle. Pas comme toutes ces voitures aseptisées d’aujourd’hui.

  198. La X-90 ? Elle me rappelle surtout un jouet qu’on aurait oublié dans le grenier. Un truc un peu cassé, mais avec lequel on a quand même envie de rejouer.

  199. J’ai toujours pensé que la X-90 était le genre de voiture que tu achètes parce que tu as gagné au loto et que tu veux prouver que l’argent ne fait pas le goût.

  200. La X-90, c’est la voiture que mon voisin avait. Je me souviens surtout du bruit du moteur, assez particulier. Un souvenir d’enfance, quoi.

  201. La X-90, je la trouve moche, mais terriblement attachante. On dirait un croisement improbable entre un 4×4 et une Twingo. Un raté assumé, en somme.

  202. La X-90, je me demande surtout à qui elle plaisait à l’époque. Y avait-il un réel marché pour ça ? Je n’ai jamais croisé quelqu’un qui en rêvait.

  203. Lionel Bret a raison, il y a quelque chose d’attachant dans cet échec. C’est un peu le vilain petit canard devenu une légende underground.

  204. Je crois que la X-90 a surtout souffert d’un marketing inexistant. Qui savait vraiment à qui elle était destinée ? C’est dommage, le concept avait du potentiel.

  205. La X-90 ? Je crois que c’est surtout une voiture qui a anticipé son époque, le côté fun avant tout. Dommage qu’elle soit arrivée trop tôt.

  206. La X-90, c’est la voiture que mon père détestait le plus. Il disait que ça n’avait ni queue ni tête. Drôle de voir qu’elle suscite encore autant de réactions.

  207. La X-90, c’est vrai qu’elle est bizarre. Mais au moins, elle ne ressemble à aucune autre. Dans un monde de clones, ça vaut quelque chose.

  208. La X-90, c’est surtout une leçon : même l’originalité ne suffit pas si l’ensemble ne fonctionne pas. Un concept trop bizarre tue le concept.

  209. La X-90? Elle me fait penser aux fringues qu’on regrette d’avoir portées, mais qu’on garde quand même au fond du placard, juste pour le souvenir. Un plaisir coupable, quoi.

  210. J’ai toujours pensé que la X-90 était une preuve que les designers peuvent parfois trop écouter les marketeurs. Un coup de crayon hésitant, à mon avis.

  211. Sébastien Durand

    La X-90, je l’ai croisée une fois sur une route de campagne. Son conducteur avait l’air tellement heureux au volant. Ça m’avait fait sourire.

  212. La X-90, c’est la voiture que j’aurais aimé détester, mais son côté « ovni » la rend presque sympathique, non ? On dirait un jouet grandeur nature.

  213. La X-90, c’est surtout la preuve qu’on peut aimer une voiture sans avoir à la justifier. Elle me parle, c’est tout.

    Ou :

    Je ne suis pas sûr que l’audace soit une qualité suffisante.

  214. La X-90, c’est vrai qu’elle rate sa cible, mais au moins elle a une identité, elle. On ne peut pas en dire autant de toutes les voitures d’aujourd’hui.

  215. La X-90, c’est un peu le « one-hit wonder » de l’automobile. Un truc éphémère qui marque, mais qu’on n’écoute plus vraiment.

  216. Christophe Durand

    La X-90, c’est un peu la madeleine de Proust de ceux qui ont grandi dans les années 90. Elle sent la liberté, même si elle n’était pas pratique.

  217. La X-90, c’est peut-être ça le vrai luxe : s’offrir une bagnole que personne ne comprend, juste parce qu’elle nous fait triper. Un pied de nez à la normalité.

  218. La X-90 ? Elle me rappelle ces pubs des années 90 qui voulaient choquer à tout prix. On en parlait, mais on n’achetait pas.

    Je me demande si Suzuki a vraiment cru à ce modèle, ou si c’était juste un test marketing délirant.

  219. La X-90, c’est un peu le vilain petit canard qui se croit cygne. Son originalité forcée la rend presque touchante, mais ça ne suffit pas à la rendre désirable.

  220. La X-90, c’est la preuve qu’une voiture moche peut avoir du charme. On dirait une Suzuki Samurai qui aurait mal tourné, mais c’est pour ça qu’on l’aime.

  221. La X-90, pour moi, c’est surtout un mystère. Comment une voiture aussi particulière a pu sortir des bureaux d’études ? Ça devait être une ambiance incroyable chez Suzuki à l’époque !

  222. La X-90, elle me laisse indifférent, en fait. Je n’ai jamais compris l’attrait pour les voitures « moches ». L’originalité, oui, mais à condition qu’il y ait une cohérence.

  223. La X-90, c’est la voiture que mon prof de maths avait. Je me souviens qu’on se demandait tous comment il faisait pour caser ses affaires de cours dedans. Ça le rendait presque cool, en fait.

  224. La X-90, je l’avais complètement oubliée ! C’est vrai qu’elle est bizarre, mais elle a une bouille sympathique. Un peu comme un jouet qu’on a honte d’aimer.

  225. Ce que je retiens, c’est que même un échec commercial total peut laisser une trace. C’est réconfortant, presque. Ça prouve qu’on peut se planter en beauté.

  226. La X-90, c’est l’exemple parfait d’une voiture qui vieillit mieux que prévu. Elle a pris de la valeur, non pas financièrement, mais en capital sympathie.

  227. Mon père en avait une, rouge. Je me souviens surtout du bruit sourd du moteur sur l’autoroute. Un souvenir d’enfance un peu étrange, mais qui remonte à la surface aujourd’hui.

  228. Je me demande si cette voiture n’est pas simplement la preuve qu’il faut parfois oser, quitte à se tromper. Au moins, Suzuki a essayé quelque chose de différent.

  229. Je ne suis pas sûr qu’elle soit si inavouable que ça. Elle incarne plutôt une époque où l’automobile cherchait son identité, non ? Un peu comme un brouillon raté, mais un brouillon plein de bonnes intentions.

  230. Inavouable, peut-être pas, mais surtout incomprise. Je pense que Suzuki visait un public jeune et fun qui n’existait pas encore vraiment. Ils étaient en avance sur leur temps.

  231. Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée d’une voiture « inavouable ». On dirait qu’on a honte d’aimer quelque chose de différent, c’est triste.

  232. Pour moi, la X-90, c’est un peu le chien moche qu’on finit par adorer. Son côté raté la rend attachante, finalement.

    Un peu comme ces films de série B qu’on regarde en cachette.

  233. Une voiture inavouable ? Peut-être. Mais surtout, terriblement inutile. J’ai du mal à voir l’intérêt pratique, au-delà d’une curiosité passagère.

  234. L’X-90, c’est la voiture que mon voisin avait. Il l’avait gardée 15 ans, immatriculée en collection, et la bichonnait. Un jour, il m’a dit : « C’est pas une voiture, c’est un personnage.

  235. La fascination ? Mouais. Pour moi, c’est surtout un rappel que même les grandes marques peuvent se planter en beauté. Un peu la DeLorean de Suzuki.

  236. Je me souviens des pubs à la télé. Elles étaient tellement bizarres que ça m’avait marqué. C’est peut-être ça, la fascination.

  237. Inavouable ? Je l’ai toujours trouvée rigolote, moi. Une bouffée d’air frais dans un paysage automobile souvent trop sérieux.

    Elle me rappelle les Spice Girls : kitsch, mais avec une énergie communicative.

  238. Je me demande si on n’est pas injustes avec elle. Elle n’était pas laide, elle était… différente. C’est peut-être ça qui dérangeait.

  239. La X-90, c’était un peu le pari risqué de Suzuki. Ils ont tenté un truc, ça n’a pas marché, mais au moins ils ont essayé. On ne peut pas en dire autant de tous les constructeurs.

  240. Je pense que son échec a surtout démontré les limites du marketing. Une bonne idée mal exécutée devient un objet de curiosité, pas un succès.

  241. L’article parle de fascination, mais je pense que la nostalgie joue un rôle énorme. On idéalise souvent les objets de notre jeunesse.

  242. Pour moi, la X-90, c’est surtout le symbole d’une époque où l’automobile osait être… moche. On ne prend plus ce genre de risque aujourd’hui.

    Elle illustre parfaitement la tendance des constructeurs à vouloir absolument créer un nouveau segment, quitte à forcer le trait.

  243. La X-90, c’est la preuve que l’originalité ne suffit pas. Il faut aussi que ça réponde à un besoin, même latent. Elle n’en avait aucun.

  244. La X-90 ? J’en avais complètement oublié l’existence. Cet article me fait l’effet d’une madeleine de Proust automobile, un souvenir bizarre mais tenace.

  245. Je crois que la X-90 est surtout une formidable étude de cas pour les écoles de design. Un « comment *ne pas* faire » qui vaut de l’or.

  246. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on en parle encore. Y’a bien pire comme voitures oubliées… Preuve qu’elle a laissé une trace, non ?

  247. C’est marrant, j’imagine toujours le designer de la X-90 se dire « J’ai une idée ! » puis personne n’a osé lui dire non.

  248. Au fond, la X-90, c’est un peu comme un mauvais film culte : on sait que c’est raté, mais on ne peut s’empêcher d’y revenir.

  249. C’est vrai qu’elle est moche, mais cette tentative ratée a au moins le mérite de nous faire sourire aujourd’hui. Une bouffée d’air frais dans le paysage automobile actuel, trop uniforme.

  250. Jacqueline Durand

    Moi, je pense que la X-90 préfigure les SUV coupés d’aujourd’hui, mais avec 20 ans d’avance et un look… disons, « particulier ». L’idée était peut-être pas si mauvaise finalement.

  251. Je me demande si le rejet de la X-90 n’est pas lié à son positionnement ambigu. Ni vraiment 4×4, ni vraiment coupé, elle n’a jamais trouvé son public.

  252. Je me demande si l’attrait de la X-90 ne vient pas de sa rareté. Plus personne n’en a, ça en fait presque un objet de collection.

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