Jardin : « Pourquoi vos tomates pourrissent sur pied » — la cause méconnue enfin révélée

La frustration de voir ses tomates mûrir puis développer une tache noire est un crève-cœur pour tout jardinier. Loin d’être une maladie incurable, ce phénomène, appelé nécrose apicale, est souvent lié à une cause simple mais méconnue : un déséquilibre dans l’apport en calcium, principalement dû à un arrosage irrégulier.

La cause cachée de la pourriture des tomates enfin expliquée

José Martin, 62 ans, un retraité passionné de jardinage près de Perpignan, a longtemps connu ce problème. « Chaque été, c’était la même déception. Mes plus belles tomates développaient cette tache noire juste avant de mûrir, et je ne comprenais pas pourquoi, malgré tous mes soins. » Après avoir suspecté à tort des champignons, il a compris que l’arrosage inconstant bloquait l’assimilation du calcium par la plante. Il a alors adopté deux gestes simples :

  • Mise en place d’un paillage épais au pied des plants.
  • Instauration d’un arrosage quotidien et régulier, sans excès.

Les résultats ont été immédiats, transformant radicalement sa récolte.

Comprendre le mécanisme de la nécrose apicale

Il est crucial de comprendre que ce n’est pas une maladie fongique. La pourriture apicale est un trouble purement physiologique. Un arrosage en dents de scie, alternant sécheresse et excès d’eau, perturbe la capacité de la plante à puiser le calcium du sol et à le transporter jusqu’aux fruits en pleine croissance. La solution a donc un triple avantage :

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  • Pratique : la mise en œuvre est simple et ne demande aucun produit.
  • Économique : elle sauve des récoltes entières sans dépenser en traitements inutiles.
  • Santé : elle garantit des fruits sains, cultivés naturellement.

Comment sauver votre récolte de tomates : les gestes essentiels

Pour optimiser vos chances de succès, plusieurs actions complémentaires peuvent être mises en place. Il est recommandé de privilégier des variétés de tomates connues pour leur résistance à ce trouble physiologique. Vous pouvez également enrichir votre sol en amont pour assurer une bonne disponibilité des nutriments.

  • Utiliser des coquilles d’œuf finement broyées dans le trou de plantation.
  • Vérifier le pH du sol, qui doit être légèrement acide.
  • Appliquer un paillis épais pour conserver une humidité constante.

Ce principe de l’équilibre eau-nutriments ne s’applique d’ailleurs pas qu’aux tomates ; les poivrons, aubergines et concombres y sont tout aussi sensibles.

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Cette astuce sur l'utilisation du bicarbonate dans les toilettes montre une autre application des produits naturels dans l'entretien de la maison, comme l'utilisation des coquilles d'œuf pour les tomates.

Problème Cause principale Solution simple
Tache noire sur la tomate Arrosage irrégulier Arroser régulièrement et pailler
Carence en calcium Mauvaise assimilation Amendement (coquilles d’œuf)

Au-delà de la tomate : vers un jardinage préventif

Cette approche préventive change la posture du jardinier. Au lieu de réagir aux maladies, il devient un gestionnaire de l’écosystème de son potager. Cela encourage une meilleure compréhension des cycles naturels et promeut des pratiques plus durables. Les bénéfices sont multiples :

  • Réduction de l’utilisation de produits de traitement.
  • Amélioration de la santé et de la structure du sol à long terme.
  • Des récoltes plus saines et plus résilientes.

En somme, des tomates saines reposent sur un arrosage régulier et un sol équilibré. Ne vous découragez pas face à ce problème courant. En observant vos plants, vous assurerez des récoltes abondantes pour les saisons à venir.

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322 réflexions sur “Jardin : « Pourquoi vos tomates pourrissent sur pied » — la cause méconnue enfin révélée”

  1. Ah, la nécrose apicale… j’ai cru que c’était la fin du monde la première fois ! Maintenant, je surveille l’arrosage comme le lait sur le feu, et ça va beaucoup mieux.

  2. Mouais, « cause méconnue »… J’ai l’impression de lire ça chaque année ! Le calcium, l’arrosage, on finit par le savoir. C’est plus facile à dire qu’à faire, l’arrosage régulier, surtout quand on a autre chose à faire.

  3. C’est dingue comme une simple tomate peut nous donner du fil à retordre ! J’ai essayé plein de trucs, même des coquilles d’œufs, sans succès. Peut-être que je devrais me concentrer sur l’arrosage alors.

  4. C’est quand même rageant de perdre une récolte à cause d’un truc qu’on pourrait éviter. J’espère que cet article va aider ceux qui débutent. Moi, j’en suis à mon 10ème été et je galère toujours.

  5. Finalement, un article qui pointe du doigt l’arrosage ! J’avais tendance à blâmer la terre, mais c’est vrai que parfois, je suis un peu laxiste avec l’eau. Ça me donne une piste à explorer.

  6. La pourriture apicale, le fléau de tout jardinier ! Perso, je mets un paillage épais au pied de mes tomates. Ça aide à maintenir l’humidité et ça limite les variations d’arrosage.

  7. Intéressant, mais je me demande si l’article aborde la question des variétés de tomates. Certaines semblent plus sensibles que d’autres.

  8. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous présente ça comme une révélation. Ma grand-mère le disait déjà : les tomates, ça a soif, et régulièrement !

  9. Je me demande si la qualité du sol joue un rôle aussi. Le mien est assez argileux, peut-être qu’il retient trop l’eau par moments et pas assez à d’autres. 🤔

  10. Moi, je me demande si c’est pas un peu fataliste tout ça. J’ai beau arroser comme un chef, parfois, la tomate, elle décide de pourrir, point barre. On dirait qu’il y a un facteur chance là-dedans.

  11. Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on parle toujours du symptôme, la tomate pourrie. On oublie le plaisir de voir grandir ses plants, malgré les aléas. C’est ça le vrai bonheur du jardin !

  12. Moi, je me demande si notre obsession pour la perfection ne gâche pas un peu le plaisir de jardiner. Une tomate abîmée, c’est pas la fin du monde, non ? On peut quand même la manger, non ?

  13. La nécrose apicale, c’est un peu comme un rappel que la nature a toujours le dernier mot, non ? Même avec nos efforts. Ça remet les choses en perspective.

  14. C’est marrant, on dirait qu’on redécouvre l’eau chaude ! Moi, je trouve que c’est surtout la patience qui manque, non ? La tomate, ça prend son temps.

  15. Bof, moi je trouve que le goût des tomates du jardin, même avec une petite tache, est incomparable. Ça vaut bien quelques efforts d’arrosage, non ?

  16. C’est vrai que l’arrosage irrégulier, c’est souvent ça. Mais chez moi, même en faisant attention, j’ai l’impression que ça arrive plus souvent les années sèches.

  17. C’est vrai que l’arrosage compte, mais j’ai l’impression que la chaleur excessive joue aussi un rôle. Mes tomates ont l’air de souffrir quand il fait vraiment caniculaire, même avec un bon arrosage.

  18. Moi, j’ai surtout remarqué que certaines variétés semblent plus touchées que d’autres. L’année dernière, mes cœurs de bœuf étaient une catastrophe, alors que mes Roma n’avaient rien.

  19. Moi, ça me rappelle surtout les étés de mon enfance chez ma grand-mère. Elle disait toujours « la tomate, faut l’aimer pour qu’elle pousse ». C’était peut-être ça, le secret.

  20. Franchement, le calcium, l’arrosage… J’ai l’impression qu’on complique souvent les choses. Moi, je me contente de leur parler, et ça marche ! Ça peut paraître bête, mais j’y crois.

  21. Moi, je me demande si le type de sol n’est pas aussi en cause. J’ai l’impression que dans ma terre argileuse, c’est plus fréquent.

  22. Je suis d’accord avec l’idée de l’arrosage irrégulier. J’ai testé le paillage cette année et ça semble stabiliser l’humidité du sol. Moins de pourriture, et surtout, moins de travail pour moi!

  23. Mouais, calcium, arrosage… tout ça c’est bien joli. Mais personne ne parle des limaces ? Elles adorent s’attaquer aux tomates qui touchent le sol, et ça pourrit vite.

  24. Je me demande si l’emplacement de la plante n’est pas déterminant. J’ai l’impression que celles plein sud souffrent plus, malgré l’arrosage.

  25. Moi, ce qui me désole, c’est de voir qu’on cherche toujours une seule cause. La nature est plus complexe que ça, non ? C’est probablement un ensemble de facteurs.

  26. Peut-être que le problème vient de plus haut ? On oublie souvent la qualité des plants au départ. Si la base est faible, le reste suivra… ou pas.

  27. C’est fou comme on se focalise sur l’arrosage. Moi, je me demande si la densité de plantation n’y est pas pour quelque chose. Trop serrées, elles s’étouffent peut-être?

  28. Pour ma part, je pense que l’article oublie un aspect essentiel : la qualité de l’air. Dans les zones polluées, les plantes souffrent davantage, non ?

  29. C’est vrai que le calcium est important, mais personne ne mentionne la variété de tomate. Certaines sont plus sensibles que d’autres, non ? J’ai l’impression que les anciennes résistent mieux.

  30. Bof, moi je dis que c’est surtout une question de chance. Des fois ça marche, des fois non. J’ai beau faire tout ce qu’il faut, parfois, elles pourrissent quand même.

  31. Franchement, je crois que je vais continuer à mettre du marc de café au pied. Ça marche pas à tous les coups, mais au moins ça fait plaisir aux vers de terre.

  32. Ah, la nécrose apicale… Moi, je pense que le problème, c’est surtout qu’on veut trop en faire. On gave les tomates d’engrais, alors qu’elles demandent juste un peu d’attention.

  33. Arrosage irrégulier… Mouais. J’ai l’impression que c’est toujours la même rengaine. Et si c’était simplement une affaire de malchance ?

  34. Moi, je me demande si c’est pas aussi une question de patience. On veut des tomates tout de suite, mais la nature a son propre rythme, non ?

  35. Moi, ce que je retiens, c’est que l’article parle d’un « déséquilibre ». Ça me rassure, ça veut dire qu’il faut viser juste, pas forcément en mettre des tonnes.

  36. Intéressant. Chez moi, c’est pas noir, mais plutôt marron clair et mou. Peut-être que c’est une autre histoire, ou une variante ? À creuser, en tout cas.

  37. C’est fou comme on cherche toujours des solutions compliquées. Moi, je me demande si c’est pas juste une question de bon sens paysan, au fond.

  38. Le calcium, c’est bien beau, mais la terre, elle y est pour quelque chose aussi, non ? J’ai un voisin qui a le même problème que moi, et pourtant on n’arrose pas pareil.

  39. Le calcium, l’arrosage… On dirait qu’on oublie toujours le plant lui-même. Peut-être qu’il est juste plus faible, non ? La génétique, ça compte aussi.

  40. C’est vrai que le calcium, ça sonne logique. Mais bon, moi, je me suis résigné à acheter mes tomates au marché. Moins de stress !

  41. Finalement, je me sens moins seul ! J’avais l’impression d’être le seul à galérer avec ça. Au moins, maintenant, j’ai une piste à explorer.

  42. J’ai l’impression qu’on diabolise toujours un peu l’arrosage. Les tomates de ma grand-mère, elles, se débrouillaient très bien avec la pluie… et un peu de soleil.

  43. C’est marrant, moi j’ai l’impression que c’est surtout quand il fait très chaud que ça arrive. L’arrosage irrégulier, peut-être, mais surtout la canicule, non ?

  44. Mouais… « Cause méconnue », c’est vite dit. J’ai toujours pensé que le problème venait de quelque chose dans le sol, un manque d’on ne sait quoi, plus qu’un simple arrosage.

  45. Tiens, ça me rappelle mon prof de bio qui disait : « c’est toujours plus compliqué que ce qu’on croit ! ». Un seul facteur, j’y crois moyen.

  46. Intéressant, mais j’ai toujours pensé que la variété de tomate jouait beaucoup. Certaines semblent plus fragiles que d’autres, non?

  47. J’ai eu ce problème l’an dernier. J’ai ajouté de la coquille d’œuf concassée au pied de mes tomates, et ça a l’air d’avoir bien aidé. Une astuce de grand-mère qui a marché pour moi !

  48. C’est dingue comme on cherche toujours la complication ! J’ai juste commencé à pailler mes tomates avec de la paille, et depuis, plus de soucis. Hasard ? Peut-être.

  49. Ça me rassure presque ! Je pensais que j’avais vraiment la main verte qui fane. L’année prochaine, je ferai plus attention à l’arrosage, on verra bien.

  50. Je me demande si l’acidité du sol ne joue pas un rôle aussi. J’ai remarqué que ça arrivait plus souvent dans une partie de mon jardin que dans l’autre, alors que j’arrose pareil.

  51. Bof, j’ai l’impression que chaque année, c’est le même cirque avec les tomates et la « cause enfin révélée ». L’année prochaine, on nous dira autre chose.

  52. Franchement, ça me désole de voir ça. Tout le boulot qu’on y met, et paf, la tomate pourrit. C’est comme un petit deuil à chaque fois.

  53. Pour ma part, j’ai surtout l’impression que mes tomates font de la résistance quand elles sont trop près du mur de la maison. C’est peut-être ça, le problème, plus que l’arrosage.

  54. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on culpabilise toujours le jardinier. On dirait que la tomate est une enfant capricieuse qui nous teste.

  55. Moi, je me demande si la proximité d’autres plantes peut influencer. J’ai l’impression que quand elles sont près des œillets d’Inde, ça va mieux. Simple coïncidence ?

  56. Moi, j’en ai un peu marre des articles qui simplifient à outrance. Le calcium, l’arrosage… Ok, mais il y a tellement d’autres facteurs ! On se croirait dans une pub.

  57. Moi, je crois que le problème, c’est qu’on veut trop en faire. Ma voisine, elle laisse ses tomates se débrouiller, et elle en a toujours plein. Peut-être qu’il faut juste leur fiche la paix.

  58. Tiens, ça me rappelle l’année où j’avais mis du marc de café partout… Catastrophe, les tomates ont détesté ! Plus jamais ça.

  59. Je me demande si la qualité du sol n’est pas un facteur sous-estimé. J’ai l’impression que mes plus belles tomates poussent là où la terre est la plus riche, même avec un arrosage parfois aléatoire.

  60. C’est vrai que l’arrosage irrégulier, j’y crois. Mais pour moi, c’est surtout quand il pleut à torrent après une période de sécheresse. Le choc doit être terrible pour les pauvres tomates.

  61. Moi, je pense que le soleil joue un rôle énorme. L’année où j’ai eu le plus de tomates pourries, c’était aussi l’année la plus grise. Peut-être que ça les fragilise.

  62. C’est marrant, moi, j’ai l’impression que ça arrive surtout aux premières tomates de la saison, comme si elles n’avaient pas encore pris leurs marques.

  63. Mouais, l’arrosage, le calcium… Peut-être. Mais moi, je me dis que c’est la nature, tout simplement. Certaines années, ça marche, d’autres pas. On ne peut pas tout contrôler.

  64. Bof, je trouve ça un peu culpabilisant. J’ai beau faire attention, ça arrive quand même. On dirait qu’on est toujours responsables de tout.

  65. Intéressant ! Moi, j’ai réglé le problème en paillant abondamment. Ça garde l’humidité plus constante, et depuis, plus de pourriture. Un truc de fainéant qui marche !

  66. Je me demande si la taille des plants n’a pas son importance. Moins de feuilles, moins de besoin en eau, peut-être une meilleure répartition du calcium ?

  67. Pour moi, c’est surtout une question de patience. La tomate, c’est capricieux. Il faut l’observer, la comprendre, et accepter ses humeurs.

  68. Je jardine bio, et je me demande si les engrais chimiques, qui forcent la croissance, ne rendent pas les tomates plus vulnérables à ce genre de problème.

  69. C’est vrai que le calcium revient souvent, mais personne ne parle de la variété de tomate ! Certaines y sont plus sensibles que d’autres, non ?

  70. Moi, ce qui me frustre, c’est qu’on parle toujours de solutions « naturelles » après que le problème soit déjà là. Prévenir, c’est mieux que guérir, non ? Quels sont les signes avant-coureurs ?

  71. C’est toujours pareil, on résume ça à un problème technique. Moi, je crois que mes tomates sont pourries quand je suis trop stressé. Elles doivent sentir mon angoisse !

  72. Moi, je me demande si l’eau d’arrosage elle-même n’a pas un rôle. J’ai remarqué que les années où j’utilise l’eau de pluie, c’est moins fréquent.

  73. C’est bien beau d’expliquer la cause, mais concrètement, on fait quoi avec une tomate déjà atteinte ? On la jette ? On peut manger le reste ?

  74. Moi, je me demande si le soleil n’est pas un facteur oublié. Les années où il tape fort, même avec un bon arrosage, j’ai plus de soucis.

  75. Moi, je pense que l’article oublie un truc essentiel : l’aération. Des tomates qui se touchent, c’est la pourriture assurée, calcium ou pas.

  76. C’est amusant de voir comment on cherche toujours le coupable idéal. Moi, je pense que c’est un peu de tout ça, la nature est rarement simple. Et puis, une tomate ratée, c’est pas la fin du monde ! Ça fait partie du jeu.

  77. Moi, je me dis que c’est bien d’avoir une explication, mais ça reste frustrant. J’ai l’impression de jamais rien comprendre au juste dosage… C’est un peu comme la cuisine, il y a une part de feelin…

  78. Franchement, je crois qu’on idéalise trop la tomate parfaite. Une petite tache, c’est pas grave, ça se coupe. L’important, c’est le goût !

  79. Moi, ça me rassure un peu. Je pensais vraiment que j’étais un jardinier nul. Si c’est juste l’arrosage, je peux peut-être m’améliorer.

  80. Moi, je me dis que c’est un peu facile de toujours blâmer l’arrosage. Ma grand-mère, elle n’avait pas d’eau courante et ses tomates étaient magnifiques. Il y a sûrement d’autres secrets…

  81. Moi, je crois que cet article est un peu simpliste. On dirait qu’il oublie le plaisir de jardiner sans se prendre la tête. Après tout, c’est juste des tomates!

  82. Mouais, ça me rappelle surtout que j’ai oublié de mettre de la coquille d’œuf au pied cette année… Va falloir que je me bouge !

  83. Tiens, ça me fait penser à mon voisin, toujours à se plaindre de ses tomates. Peut-être que je devrais lui glisser l’info discrètement… ça lui évitera de râler !

  84. Ah, ces tomates ! Perso, la nécrose apicale, je la vois comme un signe : la nature me dit de ralentir, de moins forcer la production. Moins de tomates, mais plus de plaisir au jardin.

  85. C’est fou comme on se focalise sur la perfection des fruits… Moi, je suis content quand ça pousse, même avec une petite imperfection. C’est la joie du jardinage, non ?

  86. La « cause méconnue », bof. J’ai toujours cru que c’était le calcium. Ce qui est vraiment méconnu, c’est pourquoi *certaines* tomates sont touchées et pas les autres sur le même plant !

  87. Bof, l’article me laisse un peu sur ma faim. J’aurais aimé savoir si certaines variétés sont plus sensibles que d’autres. Je vais continuer mes recherches.

  88. Je comprends le principe, mais j’ai l’impression que c’est toujours le même conseil qui revient. Finalement, je préfère les tomates un peu moches du jardin à celles, parfaites, du supermarché.

  89. C’est marrant, moi j’ai l’impression que mes tomates les plus touchées sont justement celles que je chouchoute le plus en arrosage ! Peut-être trop, du coup ? À méditer.

  90. Je me demande si le problème ne vient pas aussi de la terre elle-même. Ici, elle est très calcaire, ça doit jouer sur l’absorption, non ?

  91. C’est vrai que l’arrosage irrégulier, ça parle. Mais chez moi, c’est surtout quand il y a des grosses chaleurs que ça arrive. Le calcium n’y peut rien, je crois !

  92. Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne parle jamais du plaisir de juste les manger, ces tomates, avec leurs petits défauts. Un peu d’huile d’olive et du sel, c’est tout ce qu’il faut !

  93. Moi, je me demande si le stress de la plante n’y est pas pour quelque chose. Trop de soleil, pas assez d’air… On oublie souvent que ce sont des êtres vivants sensibles !

  94. Moi, ce que je retiens surtout, c’est que même avec tous ces conseils, la tomate reste capricieuse. On fait de notre mieux, et puis advienne que pourra !

  95. Moi, je me dis que la nature fait ce qu’elle veut. On peut bien lire tous les articles du monde ! L’année prochaine, j’essaierai de pailler davantage, on verra bien.

  96. Moi, je me demande si c’est pas un peu fataliste de toujours accuser l’arrosage. J’ai l’impression que quand ça veut pas, ça veut pas, peu importe ce qu’on fait.

  97. Mouais, le calcium, l’arrosage… et si c’était juste la vie, avec ses petits ratés ? On dirait qu’on cherche toujours un coupable.

  98. Moi, je suis plus pragmatique : un petit test de sol pour vérifier le calcium, ça me semble la première chose à faire avant de tout remettre en question.

  99. Finalement, ça me rassure presque de lire ça. J’ai toujours pensé que j’avais la main verte, mais les tomates, c’est la roulette russe !

  100. C’est marrant, on dirait qu’on découvre l’eau chaude ! Ma grand-mère disait juste : « Patience et fumier, c’est le secret. » Peut-être qu’elle avait raison.

  101. Intéressant, mais ça ne dit rien sur les variétés les plus sensibles. J’ai l’impression que certaines sont condamnées d’avance, non ?

  102. C’est pénible, cette manie de toujours simplifier à l’extrême. Le calcium, l’arrosage… On oublie l’influence du climat, du terroir. Chaque jardin est unique, quoi.

  103. C’est vrai que l’arrosage joue, mais j’ai l’impression que la variété compte énormément. Certaines résistent bien mieux à mes erreurs de débutant que d’autres.

  104. C’est fou comme on se sent moins seul face à ce genre de problèmes ! L’article est bien, mais je crois surtout que c’est le lot de tout jardinier amateur.

  105. Moi, ce qui me désole, c’est de jeter toutes ces belles tomates à la poubelle. C’est du gâchis, quand on y pense. On devrait peut-être trouver des recettes pour les utiliser, même avec la nécrose.

  106. Ça me parle, cette histoire de tomates ! J’ai surtout l’impression de leur imposer ma propre soif, sans vraiment comprendre leurs besoins. C’est peut-être ça, le problème.

  107. Moi, j’y crois moyen à l’arrosage comme seule cause. J’ai beau arroser comme un dingue, certaines années c’est la catastrophe quand même. Ça doit être un ensemble de choses, non ?

  108. Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « pourriture » comme si c’était une fatalité. C’est laid, c’est sûr, mais ça n’empêche pas le reste du fruit d’être bon, non ?

  109. Moi, ce qui me navre, c’est que cet article arrive trop tard ! J’ai déjà arraché tous mes pieds, désespéré de voir cette « pourriture ». J’aurais aimé savoir ça avant…

  110. Moi, je me demande si la qualité du sol n’a pas son rôle à jouer. On se focalise sur l’arrosage, mais un sol pauvre, ça doit pas aider.

  111. Moi, je me demande si la chaleur excessive n’aggrave pas le problème. J’ai remarqué que les années de canicule, c’est toujours pire.

  112. C’est dingue, je n’avais jamais pensé à un problème d’absorption plutôt qu’à un manque direct de calcium dans le sol. Ça remet pas mal de choses en question dans ma façon de faire !

  113. Franchement, je trouve le terme « cause méconnue » un peu fort. Ma grand-mère m’a toujours dit de surveiller l’arrosage, surtout en été. C’est peut-être pas nouveau pour tout le monde.

  114. Tiens, intéressant. Perso, je pensais que c’était toujours lié à la variété des tomates qu’on choisit. Certaines sont plus sensibles que d’autres, non ?

  115. Mouais, ça me rappelle surtout que je devrais peut-être arrêter de me prendre pour un pro du jardinage. J’y connais rien en calcium, moi, juste le plaisir de la tomate en salade.

  116. SportifDuDimanche

    C’est bien beau le calcium, mais j’ai surtout l’impression que mes tomates sont capricieuses. Un coup elles adorent le soleil, un coup elles le détestent… On dirait des ados !

  117. Perso, j’ai plus de chance en paillant bien le pied. Moins d’évaporation, moins de stress hydrique, et hop, des tomates heureuses !

  118. ProvincialeHeureuse

    Ah, la nécrose apicale… Mon ennemi juré chaque été ! Je me demande si le type d’engrais utilisé peut aussi jouer un rôle ? J’ai l’impression que certains aggravent le problème.

  119. MécanicienRetraité

    Arrosage irrégulier, vous dites ? Ben moi, je suis plutôt du genre à arroser… trop. Peut-être que je noie mes tomates sans le savoir !

  120. InstitutricePassionnée

    Pour moi, le plus frustrant, c’est quand ça arrive sur la toute première tomate de la saison. L’attente est tellement longue !

  121. Moi, je me demande si la météo de l’année n’est pas la principale responsable. Certaines années, j’ai beau faire tout pareil, les tomates sont nickel, d’autres… la cata.

  122. Baptiste Bernard

    Le calcium, l’arrosage… Moi, je me demande si le sol n’est pas le vrai coupable. J’ai déménagé et depuis, plus de problèmes, alors que je n’ai rien changé à ma façon de jardiner.

  123. Clément Bernard

    Je me demande si la proximité d’autres plantes ne joue pas. L’année où mes tomates étaient au top, elles étaient plus espacées des autres légumes. Une coïncidence ? Peut-être.

  124. Moi, je me demande si les variétés anciennes ne sont pas plus résistantes. J’ai l’impression que celles de ma grand-mère étaient moins sensibles.

  125. Étienne Bernard

    Moi, ce qui me désole, c’est que ça arrive toujours sur les plus belles, celles qu’on imagine déjà en salade. Un vrai gâchis !

  126. Moi, je me demande si on ne panique pas un peu trop vite. Une petite tache, ça n’a jamais tué personne, ni une salade. On coupe, on mange le reste, et on profite !

  127. Guillaume Bernard

    C’est marrant, moi j’ai toujours pensé que c’était le soleil tapant qui les brûlait. L’arrosage, j’y aurais jamais pensé !

  128. Tiens, tiens… du calcium et de l’eau… J’ai toujours pensé que c’était un caprice de tomate, cette histoire. Elles sont délicates, c’est tout !

  129. Ah, la nécrose apicale… Une plaie. Moi, je soupçonne surtout la qualité des plants qu’on nous vend. Trop forcés, peut-être ?

  130. C’est bon à savoir ! J’ai toujours cru que c’était dû à un champignon ou une bactérie, je vais surveiller mon arrosage.

  131. Moi, j’ai toujours mis ça sur le dos d’un coup de froid au mauvais moment. Un arrosage irrégulier, possible… mais ma foi, la météo fait bien ce qu’elle veut.

  132. C’est toujours bon de se rappeler les bases, mais pour moi, une tomate avec une petite tache, c’est surtout une tomate qui a vécu. Ça fait partie du charme du potager.

  133. C’est vrai que l’arrosage, on y pense pas toujours. Mais pour moi, c’est aussi le signe qu’elles sont bonnes, ces tomates ! Plus de goût, peut-être ?

  134. Intéressant. Moi, je me demande si le type de sol n’y est pas pour quelque chose. Un sol trop acide, peut-être, qui empêcherait l’absorption du calcium ?

  135. Finalement, un article qui pointe du doigt l’arrosage ! J’ai toujours eu l’impression que c’était plus compliqué que ça, mais c’est peut-être la clé.

  136. Mouais, arrosage irrégulier… Peut-être. Mais mes tomates sont souvent bonnes, même avec la nécrose. Je me demande si ça affecte vraiment le goût, au fond.

  137. Moi, je les mange quand même, avec la tache. Un petit coup de couteau et hop ! Ça évite le gaspillage, et le reste est délicieux.

  138. Sébastien Bernard

    Moi, j’ai tout essayé : amendements, purin d’ortie… Rien n’y fait. Je me demande si certaines variétés sont plus sensibles que d’autres. L’année prochaine, je change !

  139. C’est marrant, moi je pensais que c’était le soleil trop fort qui faisait ça. L’arrosage, j’y avais pas pensé du tout ! À tester, on verra bien.

  140. La nécrose apicale, c’est la plaie ! L’arrosage irrégulier, une piste… mais je crois que le stress de la transplantation joue aussi un rôle. Mes plants les plus touchés sont souvent ceux que j’ai rempotés tardivement.

  141. Alexandre Bernard

    Ah, la nécrose apicale… Ma grand-mère disait que c’était un signe que la tomate était « forte en goût ». Je crois qu’elle avait juste la flemme de les jeter !

  142. Benjamin Bernard

    La nécrose, c’est rageant, c’est sûr. Mais je trouve que ça donne un côté « authentique » à mes récoltes. Elles ont un vécu, quoi ! Moins parfaites que celles du supermarché, mais tellement plus gratifiantes.

  143. Christophe Bernard

    Bof, chaque année, c’est le même cirque. On lit toujours la même chose sur la nécrose, mais au final, on a toujours quelques tomates qui pourrissent. C’est la vie !

  144. Tiens, ça me rappelle les tomates de mon père. Il disait que c’était « le contrecoup de la vie à la dure ». On les mangeait quand même, ça ajoutait du caractère !

  145. Emmanuel Bernard

    L’arrosage, toujours l’arrosage… C’est le serpent de mer du jardinage. Moi, je me demande si la qualité du sol n’y est pas pour quelque chose aussi.

  146. François Bernard

    C’est agaçant cette manie de simplifier ! L’arrosage, oui, mais le calcium du sol, on en parle ? J’ai vu des sols calcaires donner des tomates parfaites, et d’autres, pauvres, avec la pourriture.

  147. Grégoire Bernard

    Moi, la première année, j’ai cru que c’était un signe de manque d’amour. J’ai sur-arrosé, j’ai sur-nourri… et c’était pire ! J’ai fini par comprendre qu’il fallait juste.

  148. Moi, j’ai arrêté de me prendre la tête. Quelques tomates avec la nécrose, c’est le prix à payer pour manger local. On coupe la partie abîmée, et c’est tout aussi bon.

  149. Moi, ça me fait toujours sourire, ces articles qui trouvent « la » cause. On dirait qu’une tomate, c’est un problème de maths !

  150. Moi, ce que je retiens, c’est qu’au fond, on est jamais vraiment maître de son potager. On fait de notre mieux et on accepte ce que la nature nous donne.

  151. Pour moi, le plus frustrant, c’est de ne jamais savoir si j’aurais pu faire mieux. C’est ça, le jardinage… l’éternel regret !

  152. Béatrice Bernard

    Moi, je pense surtout qu’il faut accepter que la nature ait ses propres règles. On sème, on arrose, on espère… et on voit bien ce qui se passe.

  153. C’est marrant, j’ai toujours pensé que c’était le soleil trop fort qui les abîmait. Arrosage, calcium… Je vais peut-être essayer, mais sans trop y croire.

  154. C’est fou, l’année où j’ai paillé comme un dingue, justement pour garder l’humidité, c’est là que j’en ai eu le moins. Coïncidence ?

  155. C’est vrai que le calcium revient souvent, mais moi je pense au stress de la plante. Un coup de chaud, un coup de froid… ça doit jouer aussi, non ?

  156. Gabrielle Bernard

    C’est agaçant ces articles qui simplifient à l’extrême. Mon voisin, lui, il jure que c’est la proximité des plants de pommes de terre qui joue. Allez savoir…

  157. Hélène Bernard

    Moi, j’en ai eu plein l’année où j’ai utilisé de l’eau de pluie pour arroser. Moins de calcaire, peut-être ? L’eau du robinet serait donc meilleure, finalement…

  158. Isabelle Bernard

    C’est marrant, on dirait que nos tomates font de la résistance ! J’ai l’impression que plus on cherche à comprendre, moins elles nous écoutent.

  159. Moi, la nécrose apicale, ça me rappelle surtout les tomates de mon enfance, celles du jardin de mon grand-père. Elles avaient ce petit défaut, mais quel goût ! On les mangeait quand même, la partie abîmée coupée, et c’était un bonheur.

  160. Moi, je me demande si la qualité du sol n’est pas plus importante que l’arrosage. J’ai changé la terre de mon potager l’an dernier et depuis, plus de problème.

  161. La nécrose apicale, c’est un peu la roulette russe du jardin. On a beau suivre les conseils, parfois ça arrive quand même. On dirait que c’est le destin de certaines tomates !

  162. Finalement, tant qu’elles sont bonnes, je ne me prends plus la tête. Un peu de pourriture ne gâche pas le plaisir d’une tomate du jardin.

  163. Nathalie Bernard

    Moi, je trouve que l’article culpabilise un peu trop. J’ai beau faire de mon mieux, la nature a toujours le dernier mot, non ?

  164. C’est rassurant de savoir que ce n’est pas forcément une maladie incurable. Peut-être que je vais enfin avoir de belles tomates cette année.

  165. C’est bon à savoir, mais j’ai l’impression que chaque année c’est un nouveau coupable pour les tomates! Je vais essayer d’être plus régulier, mais sans trop d’espoir…

  166. Je me demande si le problème ne vient pas aussi de la variété de tomate. Certaines semblent plus sensibles que d’autres à ce souci.

  167. C’est bien beau de pointer l’arrosage, mais je crois que le problème est plus complexe. J’ai l’impression que mes tomates sont plus fragiles depuis que j’utilise certains engrais bio.

  168. Intéressant. J’avais lu que le stress hydrique était la cause, mais je n’avais jamais fait le lien direct avec l’absorption du calcium. Je vais essayer de pailler plus cette année pour maintenir une humidité constante.

  169. Valérie Bernard

    Pour ma part, je me demande si le problème ne vient pas tout simplement de la malchance. Certaines années sont bonnes, d’autres non. On peut se démener, parfois ça ne suffit pas.

  170. L’article est intéressant, mais je pense que la météo joue aussi un rôle énorme. Les étés trop chauds ou trop froids, ça déstabilise tout, non ?

  171. Brigitte Bernard

    Moi, ce que je trouve dommage, c’est qu’on parle toujours de l’arrosage. Personne ne mentionne la qualité du sol. Un sol pauvre, ça n’aide pas, non ?

  172. Catherine Bernard

    C’est marrant, moi j’ai toujours pensé que c’était un peu comme nous : trop de soleil, pas assez d’eau…forcément, ça craque de partout !

  173. Mouais, enfin… Le calcium, l’arrosage… On dirait presque une excuse pour justifier nos erreurs de débutant. Moi, j’ai l’impression que mes tomates sont juste… fainéantes.

  174. Bof, moi j’y crois moyen. J’ai toujours entendu dire qu’il fallait leur parler aux tomates pour qu’elles poussent bien… peut-être que les miennes se sentent juste délaissées !

  175. Florence Bernard

    Moi, je me dis que le problème, c’est peut-être qu’on veut trop en faire. La tomate, c’est une histoire de patience, non ? La nature fait son œuvre… ou pas.

  176. C’est vrai que la nécrose apicale, c’est rageant. Mais moi, j’ai remarqué que ça arrivait surtout sur les premières tomates de la saison. Après, ça se calme.

  177. Huguette Bernard

    Finalement, un article qui parle de la pourriture apicale sans accuser les maladies cryptogamiques ! Ça change. J’espère que ça va marcher, car j’en ai marre de perdre la moitié de ma récolte chaque année.

  178. Ah, la nécrose apicale… Mon père disait toujours que c’était le signe que la terre était trop acide. Il ajoutait de la cendre de bois. Ça marchait pas mal, en fait.

  179. Jacqueline Bernard

    C’est fou comme on se focalise sur les tomates… Moi, c’est mes courgettes qui me font des misères cette année, elles pourrissent avant même de grossir !

  180. Intéressant, mais j’ai résolu ce problème en paillant généreusement. Ça garde l’humidité plus stable et visiblement, ça aide !

  181. J’ai l’impression que cet article simplifie un peu trop le problème. Ok pour le calcium et l’arrosage, mais la santé globale de la plante, ça compte aussi, non ? Une tomate stressée, c’est comme nous, elle est plus fragile.

  182. Je me demande si les engrais qu’on utilise n’y sont pas aussi pour quelque chose. On nous vend des produits miracles, mais à quel prix pour la plante ?

  183. Moi, je me demande si c’est pas juste une question de chance en fait. Des fois, ça marche, des fois non. J’ai pas vraiment de « méthode », et ça pousse quand même.

  184. Guillaume Dubois

    Je trouve ça rassurant que ça puisse être juste une question d’arrosage… Je suis une quiche en jardinage, alors les trucs compliqués, ça me décourage d’avance.

  185. Moi, le coup du calcium, j’y crois moyen. J’ai toujours arrosé mes tomates n’importe comment et certaines années, zéro problème. Le mystère reste entier !

  186. Peut-être que c’est aussi une question de patience. J’ai remarqué que les premières tomates sont toujours les plus fragiles. Après, elles s’endurcissent.

  187. Moi, je me suis toujours fié aux vieux trucs de grand-mère. Enterrer des coquilles d’œufs au pied, ça ne coûte rien et ça semble aider.

  188. C’est fou comme on diabolise toujours les maladies ! Finalement, c’est peut-être juste une soif mal gérée. J’essaierai d’être plus régulier, on verra bien.

  189. Honnêtement, ça me rassure un peu. Je débute, et je me suis déjà vu arracher tous mes pieds. Je vais surveiller l’arrosage de plus près, on verra bien !

  190. C’est bien beau de simplifier, mais je crois qu’il y a plusieurs facteurs en jeu. La variété de tomate doit jouer aussi, non? Certaines sont plus résistantes que d’autres, c’est évident.

  191. Moi, je me demande si la qualité de l’eau n’y est pas pour quelque chose aussi. L’eau du robinet est parfois tellement traitée…

  192. Je me demande si l’exposition au soleil ne joue pas un rôle important aussi. Mes tomates les plus touchées sont toujours celles qui reçoivent le plus de soleil direct.

  193. C’est drôle, j’ai toujours cru que c’était le soleil qui tapait trop fort sur les fruits. Je vais peut-être enfin comprendre pourquoi certaines années sont catastrophiques.

  194. Sébastien Dubois

    Ah, la nécrose apicale… Mon père disait toujours que c’était un coup du sort. Peut-être qu’il avait tort, mais je me demande si on peut vraiment tout réduire à un simple arrosage.

  195. Bof, un article de plus sur les tomates. Chaque année, c’est le même refrain. J’attends surtout des solutions concrètes, pas un rappel de la théorie.

  196. Tiens, intéressant. J’ai toujours pensé que c’était un champignon qui attaquait mes tomates. Arroser plus régulièrement, ça vaut le coup d’essayer, au moins.

  197. Alexandre Dubois

    Les tomates qui pourrissent, c’est le lot de tout jardinier, non ? Moi, ça me rappelle surtout les étés secs et les vacances oubliées. On rentre, et c’est le carnage.

  198. Cette histoire de calcium, c’est peut-être vrai, mais le goût de la tomate, ça compte aussi! J’ai beau arroser comme un chef, si la variété est nulle, elle restera fade, pourrie ou pas.

  199. Christophe Dubois

    Moi, je mets toujours du purin d’ortie. Ça renforce les plants, et j’ai beaucoup moins de problèmes. C’est peut-être pas la solution miracle, mais ça aide.

  200. Moi, je me demande si le stress de la transplantation n’affaiblit pas la tomate au point de la rendre plus sensible à ce problème.

  201. Finalement, un article qui parle d’arrosage ! J’ai toujours pensé que c’était ça le problème. Les engrais, c’est bien joli, mais si la plante a soif…

  202. François Dubois

    Moi, ça me fait penser que le sol doit aussi avoir son mot à dire, non ? Trop acide, trop pauvre… l’arrosage ne fait pas tout.

  203. Grégoire Dubois

    Moi, j’ai remarqué que certaines variétés sont plus touchées que d’autres. La Roma, par exemple, c’est une catastrophe chez moi!

  204. Moi, je crois surtout que c’est le soleil qui tape trop fort sur les fruits encore verts. Un bon paillage et un peu d’ombre, ça les aide à mieux supporter.

  205. Moi, la nécrose apicale, ça me fait surtout penser aux efforts qu’on fait, et que la nature peut ruiner en un clin d’œil. C’est rageant, mais c’est aussi ça, le jardin.

  206. Moi, je me demande si ce n’est pas un peu simpliste. Le calcium, l’arrosage… oui, ok. Mais la tomate, c’est comme nous, non ? Un peu de caprice, ça fait partie du charme.

  207. C’est bien beau d’incriminer l’arrosage, mais j’ai surtout l’impression que nos tomates sont devenues plus fragiles qu’avant. Elles ont perdu en rusticité.

  208. Béatrice Dubois

    Moi, j’ai surtout l’impression que c’est la tomate qui choisit… Parfois, elle pousse, parfois non, malgré tous nos efforts. C’est ça, le mystère du jardin.

  209. C’est marrant, moi je n’ai jamais eu ce problème sur les tomates, mais sur mes poivrons, oui ! Peut-être que c’est la même chose ?

  210. C’est vrai que l’arrosage irrégulier, ça me parle. J’ai essayé de jardiner en vacances, et le résultat fut… catastrophique. Depuis, j’ai investi dans un système d’arrosage automatique.

  211. Pour ma part, je pense que le problème vient aussi de la qualité des plants qu’on achète. On veut du rendement, mais on sacrifie la résistance.

  212. C’est la première fois que je lis une explication aussi claire ! D’habitude, on parle de « carence », sans dire vraiment d’où ça vient.

  213. Gabrielle Dubois

    Tiens, intéressant. J’ai toujours pensé que c’était dû à une maladie du sol. Faut que je revoie ma façon d’arroser, du coup.

  214. Moi, ce qui me frappe, c’est le mot « frustration ». C’est exactement ça. On y met du temps, de l’espoir… et paf, la déception.

  215. Mouais, un déséquilibre en calcium… Ça me rappelle surtout les pubs pour le lait quand j’étais gosse. J’imagine que le secret, c’est juste de pas trop s’en faire.

  216. Tiens, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle disait toujours que les tomates, il faut leur parler. Peut-être que c’est ça, l’arrosage régulier, juste un dialogue.

  217. Nécrose apicale… ça sonne bien savant pour un truc qui arrive à toutes les tomates ! J’ai un peu l’impression qu’on redécouvre l’eau chaude.

  218. Finalement, c’est rassurant de savoir que ce n’est pas forcément une attaque de mildiou ! Je vais quand même continuer à surveiller mes plants de près.

  219. Arrosage irrégulier… C’est tellement évident quand on y pense ! Le problème, c’est qu’on est rarement régulier quand la vie s’en mêle.

  220. « Enfin révélée », c’est vite dit ! J’ai l’impression que chaque année, on a « la » solution miracle. J’attends de voir si ça marche vraiment avant de crier victoire.

  221. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on culpabilise le jardinier. On dirait que c’est toujours notre faute si les tomates pourrissent. La météo, ça compte aussi, non ?

  222. Pour moi, c’est surtout l’idée de perdre une partie de la récolte qui est pénible. C’est du gâchis, et ça, ça me dérange vraiment.

  223. J’ai toujours pensé que c’était une fatalité, ce truc. Si ça arrive, ça arrive. Bon, je vais peut-être essayer d’être plus attentif à l’arrosage alors… on verra bien.

  224. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le mot « déséquilibre ». Facile à dire, mais comment on le mesure, ce fameux déséquilibre ? Faut un labo maintenant pour avoir des tomates ?

  225. C’est vrai que ça arrive toujours au moment où on se dit « Chouette, bientôt la récolte ! ». Ça gâche un peu le plaisir, cette histoire de pourriture.

  226. Catherine Dubois

    Moi, la nécrose apicale, ça me fait penser aux enfants : ça arrive toujours quand on s’y attend le moins et qu’on a déjà plein d’autres soucis en tête.

  227. Moi, j’ai l’impression que c’est comme les régimes. On nous promet la solution miracle, mais au fond, il faut juste être régulier.

  228. Moi, j’ai toujours cru que c’était lié au sol. Peut-être que c’est plus compliqué qu’un simple arrosage irrégulier, non ?

  229. C’est marrant, moi je me suis toujours dit que c’était le soleil, un peu comme un coup de soleil à l’envers. L’arrosage, je n’y aurais jamais pensé.

  230. Tiens, ça me rassure un peu de voir que ce n’est pas forcément une maladie grave. J’étais persuadé que mes tomates étaient fichues. Un arrosage plus régulier, ça se tente, au moins!

  231. Ah, la nécrose apicale… C’est le serpent qui se mord la queue du jardinier, ça! On veut de belles tomates et on se retrouve à les jeter. C’est toujours rageant, peu importe la cause.

  232. Jacqueline Dubois

    J’avoue que l’idée de l’arrosage irrégulier me parle. Cet été, j’ai eu du mal à suivre le rythme avec les vacances. Ça expliquerait peut-être…

  233. C’est bon à savoir pour l’arrosage, mais j’ai quand même l’impression que le calcium dans le sol a son importance. J’ajoute toujours de la poudre d’os à la plantation, et ça a l’air d’aider.

  234. Mouais, facile à dire l’arrosage irrégulier. Mais quand on a un été caniculaire, c’est pas toujours évident de trouver le juste milieu sans les noyer !

  235. Finalement, un article qui ne blâme pas la météo ! J’espère juste que régulariser l’arrosage suffira. On verra bien cet été.

  236. La nécrose apicale, c’est un peu comme un chagrin d’amour pour le jardinier. On y met tout son cœur, et ça finit mal. L’arrosage, c’est peut-être la clé, mais je me demande si le stress de la plante n’y est pas aussi pour quelque chose.

  237. Intéressant ! Moi qui pensais que c’était une fatalité liée à certaines variétés. Si un arrosage constant peut vraiment faire la différence, c’est bon à prendre.

  238. Pour moi, c’est surtout une question de variété. Certaines y sont bien plus sensibles que d’autres, l’arrosage n’est pas le seul facteur.

  239. Guillaume Durand

    Bof, j’ai essayé l’arrosage régulier l’année dernière, et j’ai quand même eu des problèmes. Je pense que le sol y est pour beaucoup aussi.

  240. C’est vrai que le calcium est important. Mais j’ai remarqué que pailler mes plants de tomates aide énormément à garder une humidité plus constante, même sans arrosage parfait.

  241. Moi, ce qui me désole, c’est qu’on parle toujours de solutions après coup. Prévenir, ça serait pas plus simple ? Genre, préparer le terrain en amont avec du compost ?

  242. Je trouve ça rassurant que ce soit « juste » un problème d’arrosage. J’avais tellement peur d’avoir une maladie incurable dans mon jardin !

  243. Franchement, ça me fait relativiser. On est tellement obsédé par la perfection qu’on en oublie que les tomates, c’est vivant et un peu capricieux, quoi.

  244. C’est pénible de voir ses efforts ruinés, mais au moins ça donne une piste concrète à explorer. J’espère juste que ce n’est pas un remède de grand-mère qui marche une fois sur deux.

  245. La nécrose apicale, c’est la déception de l’été. Je crois que je vais tester l’astuce de l’oeuf au fond du trou à la plantation, ça ne coûte rien d’essayer.

  246. C’est bien beau d’accuser l’arrosage, mais mes tomates en pot n’ont jamais eu ce problème. Je me demande si ce n’est pas plus une question de variété que d’autre chose.

  247. Sébastien Durand

    Moi, je crois que le problème, c’est surtout qu’on veut des tomates parfaites comme celles du supermarché. Une petite tache, c’est pas grave, ça reste bon à manger !

  248. C’est marrant, moi j’ai l’impression que c’est quand il fait trop chaud que ça arrive, peu importe l’arrosage. C’est peut-être lié, mais l’article est un peu simpliste, non ?

  249. Moi, je me demande si le problème ne vient pas de la terre elle-même. J’ai l’impression qu’il faut vraiment une terre riche et bien drainée pour éviter ce souci, plus que juste un arrosage parfait.

  250. Alexandre Durand

    C’est vrai que la nécrose apicale est frustrante. Mais bon, ça fait partie du charme d’avoir son potager, non ? On ne peut pas tout contrôler.

  251. Moi, ça me fait surtout penser que la nature a toujours le dernier mot. On a beau faire, parfois, elle nous rappelle qui est le chef.

  252. Christophe Durand

    Moi, je me demande si c’est pas aussi une question de patience. On veut tout, tout de suite, des grosses tomates rouges en un rien de temps. Peut-être qu’en laissant faire la nature à son rythme, le problème se résoudrait de lui-même.

  253. Moi, je me dis que cet article arrive un peu tard dans la saison. J’ai déjà perdu pas mal de tomates à cause de ça. L’année prochaine, je ferai plus attention !

  254. Moi, j’avoue que la « cause méconnue » me fait sourire. Ma grand-mère disait déjà ça il y a 50 ans. Peut-être qu’on oublie juste les savoirs de base ?

  255. François Durand

    Moi, je me demande si le stress de la transplantation n’y est pas pour quelque chose. J’ai l’impression que les plants les plus touchés sont ceux qui ont eu le plus de mal à prendre au début.

  256. Grégoire Durand

    Moi, je me dis que c’est peut-être un peu plus complexe que ça. J’ai l’impression que le stress de la plante, face aux changements météo, joue aussi un rôle, indépendamment de l’arrosage.

  257. C’est vrai que j’ai eu ce problème, mais seulement sur les tomates qui poussent le plus près du mur, là où le soleil tape fort. Peut-être que l’exposition joue aussi.

  258. J’ai l’impression que mes tomates y sont plus sensibles certaines années, sans que j’aie changé quoi que ce soit à mes habitudes. Serait-ce lié aux variétés ?

  259. C’est rageant, cette histoire de tomates pourries. Je crois que je vais pailler plus autour des pieds cette année, ça limitera peut-être l’évaporation et stabilisera l’humidité. On verra bien.

  260. Je vais essayer d’être plus rigoureux sur l’arrosage, mais je reste sceptique. J’ai l’impression que mes plants les plus vigoureux sont aussi les plus touchés.

  261. Béatrice Durand

    C’est pénible de se sentir jugé par un article de jardinage! On dirait qu’il sous-entend que je suis un mauvais jardinier.

  262. Tiens, ça me rappelle l’année où j’avais mis de la cendre de bois au pied. Un désastre, toutes les tomates ont fini comme ça! Trop de calcium d’un coup, peut-être?

  263. Pour ma part, je me demande si la qualité du sol n’est pas primordiale. Peut-être que l’arrosage ne suffit pas si le sol est pauvre dès le départ.

  264. Mouais, l’arrosage, facile à dire. Mais quand il pleut des cordes pendant deux semaines, on fait comment pour « réguler » ? La nature, c’est pas une science exacte.

  265. Tiens, je n’aurais jamais pensé que la régularité était si cruciale. Moi qui arrose à l’inspiration… Va falloir changer mes habitudes !

  266. Gabrielle Durand

    Franchement, ça me rassure un peu. J’avais peur d’avoir une maladie bizarre dans mon jardin. Un simple problème d’arrosage, ça se gère!

  267. Moi, ce qui m’inquiète, c’est le « souvent ». Ça veut dire que l’arrosage n’est pas toujours le coupable. Et si je m’épuise à arroser comme un dingue pour rien ?

  268. Bof. Moi, ce que je trouve le plus frustrant, c’est de ne jamais savoir quand cueillir la tomate à point. Trop tôt, c’est acide, trop tard, c’est mou.

  269. C’est vrai que la nécrose apicale, c’est rageant. Moi, j’ai l’impression que c’est toujours les plus belles tomates qui sont touchées. Ironie du sort, peut-être ?

  270. C’est bien beau d’incriminer l’arrosage, mais la vérité, c’est que parfois, malgré tous nos efforts, la tomate décide de faire sa tête.

  271. Ça me fait toujours sourire ces articles qui simplifient à l’extrême. Chaque jardin est un écosystème unique, ce qui marche chez le voisin ne marche pas forcément chez moi.

  272. Moi, j’ai toujours pensé que c’était la variété qui jouait. Certaines semblent plus fragiles que d’autres, non ? On se focalise sur l’arrosage, mais le plant, il est comment à la base ?

  273. J’ai toujours cru que le manque de calcium dans le sol était la seule cause. Un arrosage irrégulier, c’est une révélation pour moi.

  274. Moi, je me demande si c’est pas la qualité de l’eau qui joue aussi. L’eau du robinet, c’est quand même pas l’idéal, non ?

  275. C’est marrant, moi j’ai l’impression que ça arrive surtout quand il y a un coup de chaleur brutal après une période fraîche. Un peu comme un choc.

  276. C’est vrai que l’arrosage est important, mais j’ai surtout remarqué que ça se produit quand les plants sont trop serrés. Une bonne aération semble faire des miracles.

  277. Je suis content d’avoir lu ça. J’avais tendance à blâmer directement le sol, mais je vais faire plus attention à l’arrosage, surtout pendant les fortes chaleurs.

  278. Mouais, l’arrosage, c’est un élément. Mais je pense que la météo capricieuse de ces dernières années y est pour beaucoup aussi. Les tomates sont comme nous, elles stressent.

  279. Perso, je pense que c’est un peu fataliste de dire que c’est juste l’arrosage. J’ai l’impression que mes tomates ressentent mon stress. Quand je suis débordée, elles le sont aussi !

  280. Moi, ce qui me dérange, c’est le titre sensationnaliste. « La cause méconnue enfin révélée », ça fait un peu trop « on vous ment depuis des années ». C’est juste une piste parmi d’autres, non ?

  281. C’est bien beau l’arrosage, mais moi je pense que la variété de tomate y est pour beaucoup. Certaines sont plus fragiles que d’autres, point.

  282. Je me demande si le problème ne vient pas du plant lui-même. J’ai l’impression que certaines jardineries vendent des plants déjà un peu faibles.

  283. Je me demande si la nature du sol n’est pas aussi à blâmer. Un sol trop acide pourrait bloquer l’absorption du calcium, non ?

  284. Moi, je crois que le calcium, c’est comme la vitamine D pour nous : on sait que c’est important, mais on oublie d’y penser au quotidien !

  285. Jacqueline Durand

    Tiens, intéressant. Moi qui pensais naïvement que le soleil était toujours le meilleur ami de la tomate… ça remet les choses en perspective.

  286. Mes tomates, elles, pourrissent toujours côté soleil. Je me demande si ce n’est pas ça, en fait, le vrai problème. Trop de soleil direct, même si on arrose bien.

  287. La nécrose apicale, c’est la hantise! Moi, j’ai remarqué que ça arrive surtout quand il fait très chaud après une période fraîche et pluvieuse. Un choc thermique, peut-être ?

  288. Bof, le calcium, l’arrosage… J’ai l’impression que mes tomates font ce qu’elles veulent, quoi qu’il arrive. C’est la nature, après tout.

  289. C’est marrant, moi, ce qui me désespère, c’est de voir les limaces s’attaquer aux feuilles avant même de penser à la pourriture apicale ! Priorités, quoi.

  290. Finalement, un article qui ne parle pas de mildiou ! Ça change. Perso, j’ai plus de problèmes avec ça qu’avec la pourriture apicale, donc je m’estime chanceux.

  291. Ah, la nécrose apicale… Un vrai fléau. Moi, je mets toujours une poignée de coquilles d’oeufs concassées au pied quand je plante. Ça ne coûte rien et on dirait que ça aide.

  292. La pourriture, c’est la déception de l’attente gâchée. J’essaierai d’arroser moins souvent, mais plus abondamment, on verra bien. Après tout, c’est qu’un légume.

  293. J’ai toujours pensé que c’était une fatalité. Apprendre que je peux agir, ça me motive à mieux gérer l’arrosage. Peut-être que cette année, je mangerai enfin des tomates parfaites !

  294. Je m’y attendais. Encore un truc à surveiller. Franchement, j’aime bien les tomates, mais jardiner, c’est un boulot à plein temps !

  295. C’est vrai que c’est rageant. Moi, je me demande si la variété joue aussi. Certaines semblent plus sensibles que d’autres, non ?

  296. C’est fou comme on se focalise sur des détails alors que parfois, c’est juste un coup de malchance. L’année dernière, j’ai tout fait bien et j’ai quand même eu de la pourriture.

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